Ces trois mots résument bien ma préparation en vue de la prochaine saison jusqu’à maintenant.
L’an dernier je m’entrainais à l’aide du plan bloc de 40 semaines. Ça avait très bien été, mais avoir pris les services d’un entraineur privé cette année fait toute la différence. Ça permet une progression saine pour éviter les blessures, facilite la conciliation famille – travail – entrainement – études, et c’est vraiment motivant! Avoir des rétros sur les entrainements et savoir que quelqu’un regarde ce que je fais me donne le coup de pied dont j’ai besoin parfois pour faire les trainings et me pousser davantage!
Je vois la progression depuis le début de mon entrainement en novembre. Je ne suis pas la plus rapide, mais quand je me compare par rapport à moi il y a 6 mois, il y a vraiment une amélioration, sur la vitesse, l’endurance et la technique. J’ai déjà pu constater la progression lors du triathlon de Québec le 1 juin dernier, puisque j’ai amélioré mon temps sur la distance sprint de 7 min par rapport à l’an dernier. C’est très encourageant pour la suite!
Au mois de mars dernier, je suis allée en vacances au Panama ce qui m’a permis de nager un peu en eau libre! Super belle expérience de nager dans l’océan pacifique, c’était magnifique tôt le matin! Ça m’a rappelé à quel point j’aime nager en eau libre! J’étais d’ailleurs vraiment contente de commencer l’eau libre au Lac Delage avec le club! D’autant plus que la météo est vraiment de notre côté cette année avec une eau qui est déjà bien confortable!
Mis à part deux blessures à l’épaule, la santé et le corps tiennent le coup! J’ai la chance d’avoir la meilleure physio alors elle me répare rapidement! Vraiment, être bien entouré fait toute la différence!
Dans les prochaines semaines, l’objectif sera de poursuivre les tests de nutritions, pratiquer les transitions et continuer la progression! L’arrivée des longues journées facilite grandement la tâche! Pour maintenir un bon équilibre, je m’entraine très tôt le matin et c’est vraiment plus facile lorsqu’il fait clair! Ça permet de sortir le vélo dehors et de faire de belles longues rides solos et en gang! Que du plaisir!
J’accorde, depuis 11 ans, un soin particulier à l’image de marque. Cette image, l’identité de l’entreprise, passe indéniablement par le logo. Ce logo est synonyme de valeurs puissantes et rassemble des humains. Ces derniers mois, un grand travail a été fait afin de placer un point commun entre les logos des clubs, des événements et le logo de Sports Capitale.
Nous vous dévoilerons, lors du diner annuel, le 5 novembre, le logo complet. Évidemment nous avons pris soin de contrôler et minimiser les changements afin que l’identité continue d’être reconnue. Christine Cimon, la super La graphiste affiliée au club, à sue faire évoluer l’image de marque afin que tous se reconnaissent. Ces actions ont été arrimées avec le design de la nouvelle collection de linge de triathlon sur Bioracer et le lancement de la boutique Natation.
LE(S) LOGO (S)
Dans la superbe recherche afin de trouver le point commun entre les logos des clubs, des événements et celui de Sports Capitale, le C est rapidement ressorti. La lettre devient donc le logo emblématique. Le C restera sobre et affiné, il aura une identité simple, mais reconnaissable. Ce C, vous le devinez, sera imbriqué dans Sports Capitale et dans les Clubs Capitale Natation et Capitale Triathlon. Autre évolution « tranquille », la couleur suivra toujours le sport. Donc, le bleu sera représenté sur le mot natation et le vert sur le mot triathlon.
LE LINGE TRIATHLON ET CYCLISME
Le club a eu la chance d’avoir l’appui et la collaboration de Véronique Proulx pour l’évolution du trisuit. Légère modification de la teinte de vert, affinement des lignes et diminution du pourcentage de vert, la nouvelle collection présentée est juste incroyablement belle et plaira assurément aux cyclistes et triathlètes. Afin que tous puissent recevoir la commande de linge avant les fêtes, la boutique est ouverte, et ce jusqu’au 10 novembre! https://mybioracer.ca/collections/capital-triathlon
LA BOUTIQUE NATATION
Tout comme Bioracer en triathlon, nous étions à la recherche d’une entreprise afin de créer une boutique en ligne sur laquelle nos athlètes seraient en mesure d’acheter un maillot aux couleurs du club. Afin de plaire à plus d’une silhouette, celui-ci a donc été désigné et est disponible sur plusieurs modèles et marque tel Arena, Speedo et Finz. Une édition spéciale est également ajoutée à la boutique, l’édition Funkita plaira assurément énormément! Dans cette même boutique, vous pourrez acheter du matériel d’entraînement varié. Nous avons appelé la section les « choix du coach ». Merci à Marie Sedant pour le travail de coeur dans le dossier natation!
Une identité rassemble des gens et place de l’avant des valeurs communes. Les valeurs de dépassement, de plaisir et de respect sont au sein même de notre logo, depuis maintenant 11 ans
Je suis dans le triathlon depuis plus de 5 ans désormais et je dirais que le facteur prédominant pour avoir une belle progression est d’avoir du plaisir. Sans plaisir, on ne peut rester motiver et constant dans notre progression sur le long terme. Avec le plaisir, on ne s’entraine plus, on s’amuse et la discipline et la rigueur sont alors acquises. J’aimerais donc vous donner ma philosophie sur mon entrainement depuis 2 ans et vous montrez qu’on peut progresser en s’amusant.
Je croise beaucoup d’athlètes qui ont un objectif spécifique et s’entraine dans la quête de le réussir. J’ai passé par là pour l’atteinte de mon premier Ironman que je crois avoir réussis. Toutefois, je trouve personnellement que je devais faire énormément de sacrifice et quand j’ai atteint ma cible, je n’avais plus le goût de toucher à mon vélo, je n’avais plus le goût de courir et j’avais perdu ma motivation, je n’avais plus de cibles. Quelle était la prochaine étape alors ?
Puis, j’ai commencé à sortir des structures d’entrainements et plutôt me poser les questions suivantes :
Comment aimes-tu t’entrainer ?
Qu’est-ce que tu n’aimes pas comme entrainement ?
J’ai fait des efforts pour voir comment progresser dans mes faiblesses sans compromettre mon plaisir et ma motivation en étant créatif. Je crois qu’un entrainement qui correspond à 90 % du besoin, mais dont on a du plaisir est plus payant qu’un à 100 % dont on doit se battre pour le faire. Voici quelques exemples qui ont conduit à une philosophie plus saine d’entrainement et une progression étonnante.
Ce que j’aime :
Me fier à mon énergie et ajuster mon effort en conséquence
La compétition saine et amicale.
Les entrainements en groupe
Les courses sur « Zwift » et compétitions prédéfinies
Découvrir de nouveaux parcours en vélo et course et rouler de façon sécuritaire
La vitesse et la progression avec certains segments « Strava » pour me mesurer
Les statistiques sportives sont une réelle obsession
Combiner le multisport
Ce que je n’aime pas :
Les « one size fit all » ou les cadres trop rigides
La zone 1
Faire des entrainements solitaires trop fréquents
Les entrainements qui ne sont pas « family-friendly »
Trop de techniques et pas assez d’instincts
Me dénaturer de mes forces
La musculation de salon ou en gym
Alors désormais, quand je reçois des compliments de mes proches me disant comment tu fais pour rester motiver aussi longtemps et constamment, la réponse est simple :
Fraichement arrivé de Lanzarote, je me rends compte que la cinquième discipline du triathlon est possiblement moins bien maitrisée. La natation, le vélo, la course à pied sont au cœur de l’entrainement. La nutrition aussi pour ceux plus expérimentés, mais la gestion des équipements semble un sujet un peu négligé. Voici quelques constats observés :
La pression des pneus: quand on lit la pression sur le pneu, on ne parle pas de la pression à mettre dans le pneu, mais bien la pression maximale que le pneu peut supporter. Trop de pression conduit à plus de frottement et un risque de flat accru sur nos routes québécoises plus capricieuses. Voici un site intéressant : SILCA Professional Tire Pressure Calculator
La chaîne et sa lubrification: C’est la partie qui transmet la puissance de vos pédales à la roue. Assurez-vous qu’elle ne soit pas trop usée et surtout propre. Trop de lubrification n’est comme pas assez. De plus, ne la lubrifiez pas n’importe comment et utilisez un lubrifiant de qualité. Pour ceux qui sont maniaques de propreté comme moi, je vous suggère de « waxer » au lieu de les lubrifier : SILCA Secret Chain Blend – Hot Melt Wax
L’aérodynamisme et le positionnement : On voit tellement de vélo de haute valeur sur le circuit Ironman dont le pilote n’est pas efficacement positionné. Il est aussi important sinon plus d’être positionné que d’avoir un bon vélo et le tout peut être payable par vos assurances collectives. N’hésitez pas à prendre un rendez-vous et le placer à votre agenda!
Le coefficient de frottement: Vous vous entrainez fort pour que vos jambes et votre cardio vous propulsent, mais certains détails peuvent vous aider à aller plus vite au-delà de votre positionnement. Je dirais dans l’ordre : un casque aérodynamique, de bon pneu, des roues profilés, limiter les bidons d’eau sur le cadre, avoir des vêtements ajustés. Garder en tête que vous devez prendre le moins d’espace dans l’air, frotter le moins possible sur la surface et peser le moins de poids possible pour avancer plus rapidement à la même puissance.
Les fameux souliers de carbone en course à pied : Ce n’est pas une formule miracle et trop de coureurs les prennent et cela leurs nuits. En gros, le carbone vous propulse, mais il peut propulser autant vers l’avant que vers l’arrière, alors soyez prudent. De mon côté, si je sens pour courir plus vite que 4 min 40 du kilomètre, le carbone peut être considéré. Plus lent, le tout me conduira à des crampes à cause de l’effet de propulsion arrière. Alors, restez vigilant.
Les étirements: On me mentionne souvent comment je fais pour ne pas me blesser avec autant d’intensité. Pour ma part, je suis très rigoureux sur les étirements et l’entretien. Je me masse avec une balle au niveau de la « glute » 3 à 4 fois par semaine, un peu de rouleau sur les bandelettes, un « pso-rite » pour relâcher le psoas, un peu de « suces » pour les épaules, un peu de « massage gun » sur les mollets et ligaments du genou. Je me fais aussi masser religieusement avant et après chaque gros défi. Ne négligez pas le tout et vous verrez que le tout vous redonnera de l’énergie. Un corps hypothéqué est souvent fatigué et finira par flancher.
Chaque athlète a ces propres recettes, je voulais vous partager ce qui fonctionne bien pour moi. N’hésitez pas à m’en parler à un entrainement, j’adore échanger des conseils.
Non non je ne parle pas de la cabane à sucre ici! Mais du syndrome il-fait-tellement-beau-je-ne-peux-pas-juste-faire-un-5km-même-si-je n’ai-pas-couru-de-l’hiver! L’arrivé du printemps amène son lot de pièges et il faut rester vigilent et respecter son plan. Pour ceux qui ont couru durant l’hiver, la transition se fera plus facilement naturellement. Il faut seulement faire attention à l’adrénaline qui est présente quand on court sous le soleil et la chaleur pour les premières fois et qui nous pousse à courir juste 4 ou 6 ou 10km de plus qu’à notre habitude.
Pour ceux qui ont fait la transition au ski de fond durant l’hiver, il faut se méfier lors du retour à la course. Le cardio sera au rendez-vous mais la mécanique de la course versus le ski de fond ou la natation est très différente, ce qui met à risque de blessure. La course représente des impacts unipodals à raison d’autour 90 par minute, alors imaginez quand on court 30-40 minutes. Le ski de fond ou la natation gardent en forme au niveau cardiovasculaire et musculaire, mais ne préserve pas le corps à subir les impacts de la course. Il faut donc faire un retour graduel, idéalement en fractionné si la course a été totalement absente durant l’hiver.
Également, lorsqu’on parle de cours sur tapis roulant, il est préférable quand même de faire une transition quand on retourne à l’extérieur. Le tapis offre un environnement très contrôlé, sans vent, sans variations de parcours et sans variations de dénivelé. De plus, comme c’est le tapis qui passe sous les pieds et non les muscles du corps qui poussent pour nous propulser, tout ces facteurs contribuent à encourager une diminution de la distance de course lors des premières sorties extérieurs pour revenir graduellement au temps habituel.
En terminant, il est possible de consulter en physio lors de blessure mais également pour se faire guider, pour faire une évaluation du patron de course ou pour avoir des exercices en prévention alors n’hésitez pas à consulter.
Ce que le triathlète ne veut pas entendre sur la natation.
Le triathlète veut bien faire, et ce, dans les 3 sports. Celui-ci passera à l’entraînement en moyenne 55% de son temps sur le vélo, 25% de son temps à la course à pied et le reste…à la natation… Oufff. Soyons honnête, pourquoi passer si peu de temps dans le sport le plus technique des 3? Plusieurs vous diront que les gains sont marginaux. Ils vous diront qu’aller « chercher » le même gain en temps dans une discipline tel le vélo serait plus facile. Facile certes, mais durable?
Nager plus d’une fois semaine!
D’entrée de jeu, il faut comprendre que les gains de forme physique générale faits dans l’eau sont transférables sur les 2 autres sports.
Maintenant, prenons l’exemple d’un athlète « moyen » qui nagera sont 1900M en 35 minutes sur le demi-Ironman Tremblant. Appelons-le pour l’occasion, Lionel. Certes, si Lionel veut conserver son temps de 35 minutes, un entrainement de natation par semaine de 60 minutes suffira. Maintenant, un investissement d’un bloc automne/hiver à raison de 3 à 4 entraînements de natation par semaine changera nettement sa façon de nager et sa progression. Il est envisageable de retrancher facilement plus de 4 minutes sur le temps de 35 minutes à Lionel. Celui-ci nagera donc en bas de 31 minutes et son effort pour un temps plus rapide sera aussi considérablement réduit. Gagner 4 minutes dans les 2 autres sports? Tu investis combien sur ton vélo afin « d’économiser » du temps? À vélo, sauver du temps sans effort s’appelle l’aérodynamisme et il te coûtera assurément de l’argent. À la natation, ce même concept s’appelle l’hydrodynamisme et c’est pas mal gratuit… Bon OK, tu devras nager un peu plus, mais ces heures dans l’eau te feront comprendre les appuis, la traction et ceci te fera « économiser » du précieux temps pour la vie!
En conclusion
Certes nager 1 fois par semaine t’aidera à progresser rapidement. De facto, tu plafonneras aussi rapidement. Nager 2 à 4 fois par semaine placera des acquis et favorisera la compréhension technique du bon mouvement.
Je termine en vous disant ceci : « L’exécution parfaite d’un geste technique débute toujours avec sa compréhension. Cette compréhension ne viendra qu’avec le temps. Pas le temps à répéter le même mouvement mal fait, le temps de s’arrêter, ralentir, comprendre et appliquer ».
Bon entraînement!!
Francis Bachand
Niveau 4 – DAE Institut National du sport
Fondateur et entraîneur | Capitale Triathlon – Capitale Natation
Après avoir eu beaucoup de mal à gérer l’anxiété reliée à l’atteinte d’un objectif ambitieux sur le demi-marathon d’Ottawa, je me suis promis d’avoir du plaisir pour tout le reste de la saison de triathlon. Bien que cela puisse paraître évident, j’ai réalisé que les objectifs de chrono que je me fixais éclipsaient celui bien simple, mais primordial, d’apprécier les courses.
Étant de nature assez compétitive, je voulais atteindre des résultats à la hauteur des efforts investis, mais sans m’infliger le stress qui vient avec le la crainte d’échouer. C’était tout un défi !
Mon entraîneur Coach Phil m’a comprise en me proposant des plans de course un peu moins agressifs qui me permettaient de prendre le départ en confiance et de garder cet état d’esprit jusqu’à la ligne d’arrivée. Avec cette nouvelle façon d’aborder les courses inscrites à mon calendrier, tout a changé. Je n’ai plus jamais été déçue de mes performances et j’ai recommencé à profiter des événements sans une appréhension démesurée. Je me suis surprise à sourire tout en donnant le meilleur de moi-même, en dépassant les cibles fixées et en ne conservant que du positif de mes récits de course. Donc à la question est-ce que j’ai eu une saison à la hauteur de mes objectifs? La réponse est: bien au-delà.
D’abord et avant-tout, j’ai profité de chacunes des étapes du processus pendant lequel j’ai partagé de nombreux entraînements avec mes merveilleuses amies et mon amoureux. J’ai franchi fièrement la ligne d’arrivée de mon premier Ironman 70.3 avec des souvenirs incroyables. Je suis montée sur la 3e marche du podium féminin sur le triathlon olympique de Duchesnay et fait une 2e place dans mon groupe d’âge sur le triathlon sprint de Magog (10e femme) et lors du 10 km du Marathon Beneva de Québec (5e femme). Fait le plus imprévu, je termine la saison avec des PB sur chacune de ces distances, et ce, sans jamais avoir focussé sur un temps précis.
Au final, cette approche m’aura donc permis de performer en dépassant largement mes attentes. Oui, j’ai atteint des résultats hautement satisfaisants, mais ma plus grande victoire aura assurément été celle de conserver du plaisir tout au long de l’été, autant en entraînement que lors des compétitions.
J’attends maintenant impatiemment de voir ce que 2023 me réservera comme apprentissages.
Les clubs Capitale Triathlon et Capitale Natation grandissent à belle vitesse. Il fallait donc, rapidement, structurer le développement et tracer une ligne directrice afin d’éviter de se perdre. Eh bien, voici le résultat du travail des derniers mois! Nous vous présentons, dans cet article, les améliorations structurelles mises de l’avant.
1 sport = 1 spécialiste
Parce que chaque sport comporte son lot de spécificités, nous avons nommé un spécialiste par discipline. De ce fait, l’entraineur responsable veillera à la saine progression et à l’application des évolutions techniques et physiologiques des athlètes. Également, il ou elle établira soigneusement une périodisation (Planification annuelle d’entrainement). La ligne directrice tracée, la progression sera linéaire et les athlètes en sortiront gagnants.
À titre d’exemple, en vous joignant aux entrainements de course à pied par intervalles du samedi, nous vous fourniront un entrainement complémentaire à la course et un entrainement complémentaire de musculation fonctionnelle. Ces deux entrainements seront à faire individuellement dans la semaine, si vous le souhaitez. La planification de chacun des sports sera faite par les experts suivants :
Alyssia Hamel, étudiante en intervention sportive à l’Université Laval, est nommée entraîneuse-chef du volet Jeunesse. Bien qu’elle ne puisse pas accompagner directement tous les groupes jeunesse, elle s’occupera de tracer la périodisation de l’année et par session. Elle s’assurera aussi d’une logique entre les deux groupes d’âge et veillera à la progression des jeunes.
Félix Lévesque-Pero est détenteur d’un baccalauréat en intervention sportive et est en voie d’obtenir son baccalauréat en enseignement. Il s’occupera du volet scolaire jeunesse. Il dirigera donc le volet endurance du profil Multisport et le parascolaire, natation et triathlon à l’école secondaire Saint-Jean-Eudes. Son arrivée dans le club est un ajout de taille et nous en sommes très heureux.
Ces quelques actions viendront se refléter dans la structure et dans l’encadrement des jeunes et des adultes du club. Nous sommes très fiers du travail réalisé dans les derniers mois.
Le club aura 10 ans en octobre prochain. Ce qui fait notre force est clair et frappant; l’inclusivité et la diversité. Le club Capitale Triathlon est ouvert à tous les niveaux. Le club respire le dépassement, et ce, à tous âges, mais aussi, à tous niveaux.
De l’athlète visant la performance tels un podium Coupe Québec ou une qualification pour le Championnat du monde longue distance au débutant désirant s’initier au triathlon, le bassin de membres Capitale Triathlon est très large. Le club place de l’avant des entraînements pensés pour les familles sportives. À titre d’exemple, afin de faciliter l’accès aux familles à de saines habitudes de vie, une structure permet à un jeune de s’entraîner régulièrement en même temps que le parent, dans 2 groupes distincts.
Pourquoi un club?
Le plaisir ne veut pas dire « ne pas se donner », mais bien choisir de se donner au moment opportun. Le club soude des liens d’amitié à coup de camps d’entraînement tels Utah et Lanzarote et ce, à chaque année. Au fil des sessions, les gens y trouvent un aspect compétitif plaisant avec des défis de club et des activités sociales tels un café post entraînement ou parfois même, la bière et le 5 à 7!
Nous ciblons la diversité par l’entraînement. Donc, que tu vises la médaille, le chrono ou la bière sur la ligne d’arrivée, ta place est avec nous, dans la grande famille Capitale Triathlon
Avoir des objectifs, c’est une chose. Se donner les moyens de les atteindre en est une autre. Dernièrement, aux nouvelles, on disait que le gouvernement veut rendre la pratique du hockey obligatoire chez les jeunes. Mais pourquoi? Pourquoi cibler un seul sport?
En fait, si nous voulons nous mettre en forme et avoir de saines habitudes de vie, il existe plusieurs clés. Et assurément, aucune d’entre elles ne contient le mot « obligatoire ». En fait, quand nous visons la santé ou l’équilibre de vie, la question principale devrait, selon moi, être : Le changement proposé pourra-t-il être conservé à vie, et ce, dans le plaisir? Voici donc quelques clés à prioriser afin d’adopter une vie sportive équilibrée!
Le côté social
Assurez-vous que le sport choisi vous gâtera socialement. Débutez avec un€ ami(e) et agrandissez ce cercle de sportifs.
Si vous avez des amis qui mangent au Mc Do trois fois par semaine, il y a de bonnes chances que votre dessert préféré devienne un chausson aux pommes. La même approche est vraie dans le sport. S’entourer de sportifs qui bougent pour les bonnes raisons assurera une pérennité sportive. Gageons même que vous parlerez sports autour d’une bonne bière, et ce, sans culpabiliser!
Le dépassement
Les entraînements de groupe ont fait leurs preuves depuis plusieurs années. Le simple fait d’avoir « rendez-vous » avec d’autres membres aide à combattre la procrastination. Effectuer l’entraînement en groupe fournit l’aide et la motivation tant recherchées.
L’encadrement
Évidemment, faire partie d’un club sportif, pour un sport d’équipe ou individuel, vous assurera un aspect social et une structure facilitante. Bien faire les choses et avoir à votre disposition des outils et du personnel qualifié pour répondre à vos questions, c’est la base.
Je viens de tomber de l’autre côté, dans le ‘dark side’, du côté du patient et non du soignant. Après vingt ans d’entrainement assidu et de diversité de sport, mon tendon d’achille a décidé de me quitter un matin. S’est ensuivi beaucoup de larmes, d’incrédulité et j’ai ensuite dû faire face à une panoplie de décision. Je vais à l’urgence ou non? Qu’est-ce qui m’attend? C’est quoi la suite? Je me fais opérer ou j’y vais avec le traitement conservateur? Et j’ai beau être physio sportive depuis quinze ans, j’étais aussi mêlée qu’une poigné de clou.
Ce processus m’a porté à réfléchir comme les gens qui me consultent le font, à avoir les mêmes insécurités, les mêmes questionnements et la même peur, la peur de m’arrêter, la peur de ne plus me définir par le sport. Et cela m’amène à dire combien la relation avec votre thérapeute est importante. D’avoir une personne qui vous connais, en qui vous avez confiance et avec qui vous pouvez discuter sans gêne.
Les exercices prescrits sont aussi importants que la confiance que la personne qui s’occupe de vous vous amène. Il faut que vous soyez convaincu que ce sera LA personne qui vous aidera et vous amènera où vous voulez être. Et pour cela vous devez être capable de lui dire, de lui nommez vos objectifs, vos craintes, si le plan de traitement vous convient… Vous remettez entre les mains de vos physios, masso, ostéo votre santé, votre bien-être alors bâtissez votre relation avec quelqu’un en qui vous avez confiance, dans le bureau de laquelle vous avez envi de vous confiez et de mener votre projet au bout, peu importe lequel.
Je pratique ma résilience, ma capacité d’adaptation et pour la première fois, mon été ne sera pas parsemé de courses avec ma fille et de tennis avec mon garçon. Pour la première fois on se croisera peut-être dans les corridors de nage, sur les routes en vélo mais une chose est certaine tout ce long processus fera de moi une meilleure physio pour mes futurs patients.
Vous avez sûrement vu, dans les derniers mois, des publications plaçant de l’avant le nom « Sports Capitale ».
Plusieurs se demandent ce que c’est exactement et où nous allons avec tout ça! Rassurez-vous, jamais nous ne dénaturerons les entités propres à chacun des sports, que ce soit le triathlon ou la natation.
En outre, Capitale Triathlon restera toujours Capitale Triathlon, et c’est la même chose pour Capitale Natation.
Le nom Sports Capitale vient cependant jouer un rôle très important dans la structure entrepreneuriale des clubs. Nous pouvons désormais, sous ce nom, diversifier nos opérations. À titre d’exemple, nous avons mis au monde Les Classiques Capitale, une série de quatre courses, à Québec, dès l’été 2022. Ainsi, nous utilisons les forces de la structure pour bien développer les nouveaux projets.
LE DÉVELOPPEMENT
Que l’on parle du club de triathlon ou de celui de natation, notre philosophie pour les prochaines années restera la même :
« Être en mesure de connaître personnellement chacun de nos athlètes nous permet de comprendre leurs besoins et d’ajuster notre approche en conséquence. Notre force réside dans les relations humaines, où les valeurs véhiculées sont le respect, le dépassement et le plaisir. Nous sommes une structure privée qui demeure actuelle et innove sans cesse. Des clubs ACCESSIBLES À TOUS, peu importe le défi, l’âge et la vitesse de chacun! »
Sports Capitale nous aide dans plusieurs sphères, tels le recrutement des entraineurs, la centralisation de leur contrat, les volets scolaires et les événements. Cette centralisation nous permet une uniformité qui est et deviendra une grande force pour les clubs et l’événement s’y rattachant!
Tu te demande quelle est la différence avec les autres courses? Voici Cinq bonnes raisons de joindre l’une ou plusieurs Classiques!
1. Les courses se tiennent le soir les jeudis! C’est donc accessible et moins contraignant!
2. Nous avons basé les courses sur la qualité nécessaire. La course est donc chronométrée par Sportstats et sanctionnée par la fédération.
3. Nous avons misé sur des partenaires uniques! De facto, tu auras sur ta ligne d’arrivée, une collation Zenit et uneconsommation Noroie. Nous te parlons pas de la super ambiance du jeudi soir!
4. Les courses sont dans un environnement central et accessible, la Base plein air Sainte-Foy
5. Soucieux de l’empreinte écologique, aucune production de matériel jetable tel médaille et T-shirt ne sera faite.
En résumé, un moment unique mémorable et accessible. L’occasion rêvée de venir se mesurer entre amis
Les dates de nos quatre classiques : 26 mai, 30 juin, 28 juillet et 25 août.
Un défi pour toi, au profit de Motivaction Jeunesse
Le Défi 55, de Motivaction Jeunesse, est de retour pour une troisième année! Les clubs Capitale sont partenaires de cette campagne de financement pour encourager les jeunes défavorisés ou immigrants de Québec à s’accrocher à l’école en restant actifs, en se dépassant et en continuant de rêver, contre vents et marées.
Comment les membres Capitale peuvent-ils participer? Facile! Invente ton propre défi à la marche, à la course ou au vélo, ou en combinant tous ces sports, en multiples de cinq. 5 kilomètres de course? 55 minutes de vélo? 255 km de course, marche, vélo? À toi de voir!
Inscris-toi ensuite en cliquant sur le lien plus bas.
Encourage ta famille, tes amis à se joindre à toi ou à inventer leur propre défi et à gonfler la cagnotte amassée au nom de Capitale Actif. Le dimanche 29 mai, nous serons dans le parc Cartier-Brébeuf, sur le bord de la rivière Saint-Charles, pour dévoiler le montant que nous remettrons à Motivaction Jeunesse et pour encourager ceux et celles qui réaliseront leur défi. Tu peux aussi décider de réaliser ton défi chez toi, d’ici au 29 mai. N’hésite pas alors à te prendre en photo ou à te filmer et à nous le partager sur le groupe Capitale!
Au nom des jeunes, du sport et de Motivaction Jeunesse, MERCI!!
L’accident a eu lieu il y a maintenant 18 mois. Le suivi à l’institut de réadaptation s’est terminé en mars et les bilans sont écrits. J’aurai eu la chance, durant ces longs mois, d’avoir une famille et une équipe incroyable à mes côtés. Ma famille aura été le pilier de cette réadaptation. Ils auront placé, jour après jour, confiance et positivisme au premier plan. Médecins, neuropsychologue, ergothérapeute et physiothérapeute auront travaillé ensemble afin d’améliorer la suite de mon chemin et je leur en suis grandement reconnaissant.
Un bilan final
Chaque jour, cette pensée me traverse l’esprit. Chaque jour, je me dis que je pourrais « ne plus être là ». L’accident m’aura retiré beaucoup de privilèges que l’on tient souvent pour acquis. Ma mémoire est sévèrement touchée et elle le restera. Les conséquences sont claires : elles affectent principalement la mémoire épisodique, et je dois l’accepter. La mémoire épisodique désigne le processus par lequel l’humain se souvient des événements vécus avec leur contexte. Pour simplifier, je peux très bien lire un article le mardi matin et le relire le vendredi, sans souvenir clair
Une autre conséquence de l’accident : mon énergie globale est grandement changée. Ça peut sembler banal et simple, mais croyez-moi, c’est une gestion constante. À titre d’exemple, une petite surcharge de sollicitation cognitive engendre des conséquences graves, voire dangereuses pour ma santé et ma sécurité. Par exemple, rouler en bordure de route à vélo dans un milieu urbain me demande une suranalyse constante et vide la « batterie » en 90 minutes ou moins.
Être à l’écoute de mes limites, prendre des notes claires, être proactif et prévenir une trop grande sollicitation cognitive font maintenant partie de mon quotidien.
Pas que du « négatif »
Certes, plein d’aspects de ma vie ont changé. Cependant, j’ai la chance de pouvoir conserver le sport. Je suis très content d’avoir cette sagesse et cet équilibre. Bien sûr, le sport ne se fera pas sans restrictions, mais rien ne m’empêchera de me trouver des objectifs réalistes qui me stimulent. En ce sens, mon objectif pour la saison estivale qui approche en sera un de courte distance : deux courses à pied de cinq kilomètres et un triathlon sprint! Le travail des derniers mois aura développé chez moi plusieurs changements positifs. Je suis plus attentif aux autres, plus patient (pas toujours, que ma conjointe vous dira… ), plus ouvert aux changements et, surtout, je comprends plus que jamais l’importance du plaisir, et ce, à tous les niveaux.
La suite
Il y a plusieurs mois, ma neuropsychologue m’a demandé d’écrire une phrase que je pourrais me répéter lors de fatigue ou de moments plus difficiles. « Réfléchir reposé demande de lâcher prise dans les moments de fatigue ». Chaque jour, je m’efforce de me répéter cette phrase et par le fait même, lâcher prise avec l’aide de mon positivisme légendaire. La vision de la suite est très claire. Avoir des petits objectifs simples, mais réalisables. Sortir de ma zone de confort, et ce, le plus souvent possible.
Je tiens à profiter de cette tribune afin de remercier les membres de l’équipe de l’IRDPQ qui travaille sur le traumatisme crânien. Le professionnalisme et la patience dont ils ont fait preuve tout au long de ma réadaptation auront fait toute la différence pour moi.
Mars 2020, la pandémie. Cette ère qui est venue ébranler toutes nos certitudes. Avant ce moment, à part des blessures ou la maladie, rien ne pouvait nous empêcher de participer aux courses auxquelles nous nous étions inscrits.
Quand le marathon d’Ottawa a été annulé quelques semaines suivant le début du confinement, je n’ai absolument rien fait pendant 1 semaine, à quoi bon. Cependant, j’ai rapidement constaté un grand vide. Je me suis donc questionnée sur les raisons qui me motivaient à m’entraîner. Était-ce uniquement le fait de franchir une ligne d’arrivée qui justifiait toutes ces heures d’entraînement? Oui, la musique, la foule, l’organisation, le classement, tous ces éléments participent au bonheur de réaliser un objectif, mais au-delà de ça, ne devrait-on pas éprouver de la fierté à compléter chacun de nos entraînements? Certains seront plus faciles que d’autres, mais chacun d’entre eux devrait être un objectif en soi.
Comme nous n’avions plus de contrôle sur les courses à venir, j’ai décidé que je suivrais tout de même le plan que je m’étais fixé et que je l’accomplirais exactement comme j’avais prévu le faire. C’était bien la seule chose que je pouvais contrôler. Je n’ai jamais autant progressé qu’en changeant ma vision de l’entraînement et en ne pensant plus uniquement au jour J. J’ai appris à m’entraîner pour le plaisir de me dépasser quotidiennement. Je construisais là une base solide faisant en sorte que peu importe les annulations ou les reports, je gardais le contrôle sur l’aspect le plus important : ma progression vers mes objectifs. Même si ceux-ci ne s’accomplissaient pas dans le cadre d’un événement organisé, rien n’empêchait de vouloir franchir une plus longue distance, atteindre un meilleur chrono ou même commencer une nouvelle discipline.
Je suis devenue davantage stimulée par le processus que par l’exploit. La réalisation des entraînements prévus à mon plan est devenue un besoin. Je vois maintenant le tout comme un rendez-vous qu’il m’est impossible de rater. J’ajoute à cela des séances avec des athlètes du Club tous autant stimulants les uns que les autres, et me voilà encore plus motivée à continuer de repousser mes limites.
Dans les dernières années, je me suis inscrite à des compétitions qui nécessitent davantage de préparation, ce pourquoi dans le but d’optimiser mes performances, de prévenir les blessures, mais aussi d’avoir un rythme d’entraînement, un horaire et une structure qui correspond à mes besoins, je me suis tournée vers l’entraînement privé.
Le fait de pouvoir avoir en tête ce qui s’en vient et de pouvoir prévoir ma semaine en fonction de mes entraînements me permet de gérer mon horaire de travailleuse autonome beaucoup facilement. Christian est une personne passionnée, intéressée, curieuse, réfléchie, rigoureuse, à l’écoute, qui s’adapte et qui possède une expertise diversifiée non seulement en triathlon, mais dans plusieurs sports complémentaires. Il préconise avant tout le plaisir et la diversité des entraînements, ce qui est essentiel pour favoriser la motivation de l’athlète au long cours. La relation entraîneur-athlète représente pour moi un travail d’équipe qui à la base est centrée sur la compréhension des besoins de l’athlète, l’expression de ces derniers desquels découlent la construction d’objectifs.
Les notions de respect, de confiance, de communication, de reconnaissance sont centrales à l’épanouissement de chacun dans la relation et j’ai réellement l’impression que ces valeurs sont partagées par Christian. L’atteinte des buts fixés contribue à la fois à la valorisation de l’entraîneur dans ses capacités à réfléchir, à planifier, à prévoir et à projeter le développement de l’athlète à long terme, mais aussi la valorisation de l’athlète via, entre autres, sa capacité à se dépasser et à repousser ses limites, mais aussi à sa capacité à reconnaître ses limites, à mieux se comprendre et à s’affirmer..
Le triathlon étant un sport individuel, le fait de me sentir soutenue et accompagnée à travers le processus d’entraînement vers une compétition est devenue pour moi une nécessité et favorise mon sentiment d’appartenance envers ce sport. L’entraîneur contribue à travers les échanges et ses rétroactions à développer la vision de l’athlète de lui-même et je pense sincèrement que Christian favorise le développement de ma confiance dans mon rôle d’athlète, pas nécessairement à travers l’apprentissage et la maîtrise de nouvelles habiletés, mais également à travers nos échanges.
Entonces, por todas estas razones, te digo muchas gracias Christian.
Quand j’ai demandé à mon petit garçon de 3 ans ce que c’était le travail d’équipe, il m’a répondu spontanément que le travail c’était de faire une construction et donc que le travail d’équipe était de faire une construction entre amis. À bien y penser, ça représente très bien ma relation avec Coach Phil; nous construisons ensemble et entre amis un plan qui me permettra d’atteindre mes objectifs.
J’ai rencontré Phil alors que j’étais à la recherche d’un entraineur privé. Le but de ma démarche était d’accélérer ma progression vers mes objectifs et d’augmenter mes performances. Cela fait maintenant plus d’un an que nous travaillons ensemble et il est indéniable que Phil m’a apporté beaucoup plus que de la simple performance.
Avec une vie professionnelle et familiale bien remplie, ma plus grande difficulté a toujours été d’intégrer l’entrainement à ma routine de façon durable. Comme beaucoup de sportifs, j’ai toujours eu besoin d’objectifs ambitieux, presque épeurants, pour me motiver à bouger. Par le passé, je répétais donc constamment le même cycle contre-productif; une inscription au marathon, quelques semaines d’entrainement et une participation pénible à un évènement durant lequel je ne retirais pas le plaisir escompté (et évidemment, pas la performance attendue). C’est avec les batteries vides et un goût amer de l’entrainement que je reprenais alors le chemin de la sédentarité pour plusieurs mois, voire même plusieurs années, jusqu’à qu’une autre idée folle me traverse l’esprit.
La première étape avec Phil a donc été de fixer des objectifs réalistes et progressifs. Il est primordial de se fixer une cible ambitieuse à long terme, mais il faut également se fixer des objectifs à court et à moyen terme. Les objectifs à plus court terme sont là pour mesurer la progression, se challenger et surtout, goûter au sentiment au sentiment d’accomplissement que procure l’atteinte d’un objectif. Ça permet d’être gonflé à bloc pour la suite des choses. Quant à lui, l’objectif à long terme est le rêve vers lequel nous tentons de progresser. C’est celui-là qui nous permet de garder le cap même si on traverse une période plus difficile et qui nous garde motivés à l’entrainement malgré le fait que nos compétitions sont chamboulées par des imprévus (COVID, blessure, etc.). Chaque coup de bras, chaque coup de pédale et chaque pas de course nous rapprochent un peu plus de cet objectif qui semblait si inatteignable au départ. C’est simple et tellement évident vous me direz, mais pour un impatient ayant soif de défis comme moi, un coach a été nécessaire pour apprendre à apprécier autant le processus, sinon plus, que la finalité! C’est à ce moment, et seulement à ce moment, qu’on peut affirmer que l’entraînement fait et fera toujours partie de notre quotidien.
Vous ne serez maintenant pas surpris si je vous dis que j’avais à l’époque une seule intensité à l’entrainement : ALL OUT. Sinon, ça ne vaut pas la peine de bouger. Pas le choix quand on a 10 semaines pour passer du divan à la ligne d’arrivée d’un marathon! Là encore, Phil a eu un impact majeur. Il m’a démontré que chaque intensité avait son importance. Et oui, même la longue sortie de course en zone 1 qui me paraît tellement plus longue que si j’avais fait le même 90 minutes en zone 2, 3… et un peu de 4, avouons-le. Ce n’est pas bon pour les stats Strava, mais je dois avouer que c’est payant. Blague à part, si on veut continuer de progresser à long terme, garder un bon niveau d’énergie et limiter les blessures, les entrainements et les cycles doivent être progressifs, diversifiés et bien structurés. J’entends Phil répéter : « la qualité avant la quantité! »
Ma relation avec Phil va toutefois bien au-delà de l’entrainement physiologique et je pense que c’est là la clé d’une relation entraineur-athlète efficace et durable. Il y a une tonne d’entraîneurs compétents et dévoués, mais le fit doit être le bon. Nous n’avons pas tous les mêmes besoins et nous ne répondons pas tous de la même façon aux différentes approches de coaching. Par exemple, tout comme Phil, j’aime les chiffres et la précision. Si le fichier Excel dit que ça passe, ça va passer! Pour d’autres, cette approche peut parfois sembler trop structurée et pas suffisamment modulable en fonction de nos envies du jour. Quand le fit est bon, la confiance et la transparence s’installent rapidement. Il ne faut pas être gêné de dire qu’il y a de la fatigue dans le système, qu’on vit une période plus stressante au travail ou que le petit a encore ramené un virus de la garderie. Comme dans toute équipe, plus la communication est bonne, plus les résultats seront satisfaisants et plus le processus sera agréable. Et finalement, si vous trouvez le fit parfait, c’est un ami qui vous coachera dorénavant.
Bref, je pense que ce que Coach Phil m’a apporté de plus important est l’équilibre. L’équilibre entre l’entrainement et les autres sphères de la vie. L’équilibre entre le plaisir et le dépassement. Et c’est cet équilibre qui amène le plus important: le plaisir et les saines habitudes de vie!
Lorsque j’ai commencé le triathlon en 2019, je n’avais aucune structure d’entraînement. J’ai d’ailleurs souffert de quelques blessures puisque mes entraînements n’étaient pas adaptés en fonction de mes besoins.
J’ai commencé à travailler avec Coach Phil en 2020. Dès le début de notre relation coach/athlète, je savais que nous allions bien nous entendre. Son approche analytique m’a rejoint immédiatement. Étant actuaire de profession, je ne pensais jamais trouver quelqu’un qui aimait plus analyser les statistiques d’entraînement que moi, mais détrompez-vous, Phil est l’expert de l’analyse de données. Je vous confirme qu’il ne laisse rien au hasard. J’ai appris beaucoup sur la structure d’entraînement avec Phil, il personnalise son approche selon mes forces et faiblesses.
Pour 2021, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure de la plus longue distance en triathlon, le Ironman. Phil était prêt à m’accompagner dans ce projet dès la première conversation que nous avons eu à ce sujet.
La discipline la plus difficile pour moi dans les 3 sports est la course. Pendant le processus menant au Ironman, son expertise en course à pied m’a non seulement permis de progresser malgré une blessure au genou, mais la portion course a été selon moi le moment fort de mon Ironman.
Au-delà de la VAM, PAM et du FTP, Phil a une approche très humaine et il sait nous comprendre en tant qu’athlète. Il a à cœur l’atteinte des objectifs de ses athlètes. Il est disponible et toujours de bons conseils. Je tiens aussi à mentionner que sa présence lors du Demi-Esprit et sa fierté lors de mon arrivée a clairement été mon moment « coup de cœur » et j’ai trouvé ce moment très valorisant en tant qu’athlète.
La pandémie vous donne-t-elle l’excuse dont vous aviez besoin pour procrastiner et remettre votre entraînement à demain?
Les derniers mois de changements d’habitudes auront poussé plusieurs sportifs vers le plaisir et son essentialité. Le plaisir tiré du sport devrait, à mon sens, faire en tout temps partie de l’équation. Mais, chers amis, il faut faire attention à ne pas devenir paresseux et non structuré à l’effort.
Vous me direz que l’équilibre n’est plus là! Que sans l’objectif des compétitions, il est difficile de s’entraîner adéquatement. Pourtant, à la base, avoir un objectif mesurable devrait être suffisant pour vouloir s’améliorer.
Avoir du plaisir ne veut pas nécessairement dire ne pas se forcer ou ne pas avoir d’objectif. À titre d’exemple, l’Ougandais Jacob Kiplimo, avec un temps de 0 h 57 min 31 s au demi-marathon, a retiré du plaisir dans sa victoire. Ce plaisir n’était certainement pas sans souffrance! ?
L’exemple est simpliste, mais il faut rester prudent et comprendre à quoi se rattache notre plaisir. Voici quelques idées afin de rester motivé :
Avoir un objectif défini et mesurable. Par exemple, courir un 5 km en X temps.
Avoir un objectif intermédiaire de rendement à moyen et court terme. Par exemple, s’assurer de compléter ses semaines d’entraînement.
Se donner le temps et des objectifs réalistes (ce n’est pas toujours facile).
Savoir ce qui nous rend heureux et s’assurer de le mettre à l’horaire. Par exemple, le côté social des entraînements de groupe.
S’assurer d’avoir des phases de repos dans son plan et se gâter.
Le danger du plaisir non défini est de tomber dans une nonchalance et de ne pas se donner la peine de faire l’effort. Avoir un plan d’entraînement structuré reste une solide option afin de s’assurer un bel équilibre.
Les Classiques Capitale se veulent une série de quatre courses officielles de 5 km. Les courses se tiendront en soirée, le dernier jeudi de chaque mois, de mai à août!
Le parcours sera plat et rapide! Chaque course sera chronométrée par Sportsats et fédérée. Ce sera l’occasion rêvée de venir vous mesurer entre amis!
L’accessibilité et l’ambiance
Les courses s’adressent à un public de 14 ans et plus. Afin d’assurer une grande accessibilité géographique, elles se tiendront toutes au cœur de la ville de Québec.
Notre série de courses mise sur le dépassement et l’accessibilité. Soucieux de l’empreinte écologique, le club ne produira aucun matériel jetable, médaille ou t-shirt.
Chaque course sera chronométrée afin d’assurer le sérieux de la compétition et le dépassement de tous. Sur la ligne d’arrivée, nous offrirons une consommation à chacun des participants. Un moment unique, mémorable et accessible!
Inscrivez déjà les dates de nos quatre classiques dans votre agenda : 26 mai, 30 juin, 28 juillet et 25 août.
La session d’hiver approche! Nous avons travaillé très fort afin de vous livrer une offre de service diversifiée et, surtout, des entrainements rassembleurs et uniques.
Le samedi matin bricks
Cet hiver, le bricks du samedi se tiendra plus tard en avant-midi, dans l’unique et incroyable Centre des sports de la base militaire de Valcartier. Nous profiterons ainsi de la piscine de 25 mètres et de la piste intérieure de 200 mètres. Tous les groupes d’âge seront réunis au même endroit, dans une ambiance rassembleuse et stimulante qui nous fera tous du bien! Évidemment, il sera possible de s’inscrire au combo natation-course, ou encore uniquement à la course à pied sur piste.
Entrainement à la carte maintenant disponible
Il sera possible, dès la deuxième semaine de la session d’hiver, de s’inscrire à un entrainement à la carte. Tu aimerais ajouter sporadiquement une natation ou encore inviter un ami? Ce sera possible et simple de le faire en en réservant et payant un seul entrainement. Évidemment, les plages horaires disponibles seront celles qui ne seront pas réservées par les inscriptions traditionnelles à la session.
Grande flexibilité avec le remplacement d’entrainements sans frais
Tu es inscrit à la session et, pour une raison quelconque, tu dois manquer un entrainement? Il sera désormais possible et facile de le reprendre en allant directement sur le site et en réservant gratuitement ta place pour une autre plage horaire, à une date précise. Le tout se fera sans frais et donnera une très grande flexibilité à nos athlètes.
La salle de vélo virtuelle
Même si la salle de vélo technologique se trouve à l’école secondaire Saint-Jean-Eudes, elle n’est pas réservée qu’aux étudiants. En effet, les mardis soir seront consacrés aux membres des clubs selon deux plages horaires, 17h30h et 18h45. La nouvelle salle est dotée de 10 bases d’entrainement Tacx et de 10 vélos de route. Les entraînements de groupe sont préparés avec le logiciel Perf Pro.
Avec cette nouvelle offre de services, nous vous avons écoutés et nous nous sommes adaptés. Les changements sont nombreux et démontrent la grande flexibilité de notre belle et grande structure privée.
Les clubs Capitale ont la chance, pour les prochains mois, de collaborer avec l’entreprise BioTwin, qui participe à un projet de recherche unique. Impliquant quelques-uns de nos athlètes, ce projet sera échelonné sur quelques mois.
LA MISSION ET L’IDENTITÉ DE BIOTWIN
BioTwin est une entreprise en intelligence artificielle (IA) de Québec qui propose de bâtir le jumeau numérique d’une personne à partir de données biologiques et biométriques (montres connectées). Ce double numérique est mis à jour régulièrement et peut servir de référence de forme physique. Les résultats et les données peuvent orienter la sélection d’un plan d’entraînement et une sphère X de développement. Donc, BioTwin :
crée la plateforme d’intelligence artificielle et les analyses biologiques non ciblées;
y intègre vos données biologiques et biométriques;
crée votre jumeau numérique et le met à jour périodiquement pour un portrait de santé global, personnalisé.
PROJET PILOTE SPORT ET PERFORMANCE
Ainsi, trois fois par semaine, les athlètes participant à l’étude collecteront à la maison, grâce aux trousses d’auto échantillonnage fournies, quelques gouttes de sang, d’urine et de salive séchées sur papier buvard, selon des instructions simples et claires.
Les athlètes doivent également effectuer le partage anonymisé de données biométriques (Garmin ou Strava).
FAIRE PARTIE DE L’AVENIR
Faire partie de cette recherche est une chance unique. Les données seront utilisées par les entraineurs et contribueront à la recherche et au développement de nouveaux protocoles tests.
Nous vous donnerons des nouvelles du projet et vous présenterons quelques candidats dansles prochains mois! ?
Voici un super retour sur ma semaine pré compétition que je prépare depuis plus de 2 ans. Tout d’abord, je suis père de famille de 2 magnifiques filles (Naomie 6 ans, Gabrielle 7 ans), conseiller expert en actuariat et fellow de la « Casualty actuarial society ». J’ai un background de hockeyeur qui a fait un programme sport-études, j’avais du talent, mais rien pour percer au plus haut niveau. Je me suis joint au Club à l’automne 2019, après une première expérience Ironman à Lake Placid sur 70.3. La fierté que j’ai porté après ces évènement m’a fait réaliser que je désirais poursuivre ma route vers le Ironman, mais un hockeyeur a besoin d’aide dans un sport qu’il ne connait pas, surtout dans l’eau.
En gros, je séparais mon parcours vers le Ironman en 4 phases :
Phase remise en forme (2016 à 2018) : Je sortais de mes études pour obtenir mon titre (FCAS), 2 enfants en jeune âge, blessure au ménisque, diagnostique de cholestérol, etc… La balance avait atteint les 225 livres. J’ai donc réussi à maigrir avec l’application « Fitness Pal », jumelé a de la course-commuting (6 km poussette) par jour. Ensuite, 4 boucles GPDL, 2 défis entreprise et un premier demi-marathon et marathon.
Phase initiation au triathlon (2019) :
J’ai fait mon premier triathlon en 2018 à Duchesnay en nageant 200 mètres sur le dos au sprint. Ensuite, le triathlon olympique de la Baie de Beauport (seule édition) avec des vagues une natation de 1900 mètres. Puis, je me dirige vers Lake Placid. J’apprenais les rudiments du sport. Naturellement, le vélo allait très bien, mais la natation « ouf » j’avais besoin d’aide (d’ailleurs, j’en ai toujours besoin).
Phase perfectionnement (2019-2020) :
Printemps 2019, je fais mon entrée dans le Club et j’ai beaucoup d’affinités avec Anthony et d’autres athlètes. Je tombe en amour avec la vibration des triathlètes; qui es tellement différente de celle des hockeyeurs. J’étais sur une belle lancée et la Covid-19 a pratiquement tout bloqué, sauf la plateforme Zwift qui était déjà mon terrain de jeu. Toutefois, j’ai rencontré beaucoup d’athlètes et de coachs passionnés pour me guider.
Phase Ironman (2020-2021) :
Tremblant 70.3 2020 tombe à l’eau. Je me dépêche et je m’inscris au 140.6 en 2021. À ce moment, je sais que je dois maximiser ma progression et je constate que j’ai une grosse affinité avec Coach Phil, père de 2 filles, très analytique et axé technologie. Celui-ci accepte de me prendre sous son aile. Nous travaillons ensemble depuis juillet 2020. On progresse rapidement et Phil se rend compte que je suis un athlète têtu, rigoureux et compétitif. Phil me dose beaucoup dans mes efforts et la progression va mieux qu’anticiper, surtout en vélo. Nous avons de l’avance au début de l’été et je me blesse à la bandelette en même temps que Tremblant 2021 soit annulé. On s’ajuste et on vise maintenant le Maryland. Malheureusement, mes enfants ne pourront être à mes côtés comme espéré, mais je suis prêt, anxieux et tellement reconnaissant de pouvoir réaliser mon objectif dans les circonstances.
Retour sur Muskoka 70.3 où j’ai pu me qualifier pour les championnats 70.3 en 2022.
Il y a d’abord là-dedans une question de chance puisque j’ai eu le 2e ‘slot’ avec ma 6e place dans mon groupe d’âge. Mais sinon, ce fut une très très bonne journée où on réussit mieux en course qu’à l’entraînement. Une bonne nage (pour moi) avec des pieds pour drafté dans la 2e moitié (37min48; M50-54 : 29e/101; sexe : 233/792; global 304/1119), très bon vélo avec un parcours qui me convenait en côtes et valons, marqué par ma première pluie en 25 triathlon (pluie intense et orage sur 30km) et la remontée du peloton (M50-54 : 10e/101; sexe : 88/792; global 97/1119). Et une très très bonne course pour moi vu la difficulté du parcours toujours en montées et descentes, le soleil de plomb, la chaleur et l’humidité (ressentit 35 degrés) qui montre que mon hydratation et alimentation ont bien marché. Ma remontée s’est achevée avec un temps global de 4h53min30 (M50-54 : 6e/101; sexe : 63/792; global 65/1119).
Stéphane Jolin m’avait demandé la semaine avant mon objectif. Compte tenu de la difficulté du parcours à vélo et surtout à la course, je lui ai dit ‘en bas de 5h et m’approcher des 5 premiers dans mon groupe d’âge’. Bref, je suis bien content.
Content parce que ça, mais fin à 18 mois de doutes et d’incertitude et de changement constant dans la planification. Je me suis inscrit à Muskoka le samedi précédent… Ma course A devait être Tremblant (reporté, puis annulée), puis Timberman (frontière fermée jusqu’au 22 août), puis Maine (frontière fermée jusqu’au 22 septembre), puis Magog (distance de la càp coupé de moitié). Merci la planification en mode santé publique…
Mais je dois cette qualification à beaucoup de monde qui mon aidé à progresser. D’abord à Éric Lacroix et Nina Wolf en spinning chez Nautilus avant même que je me mette au triathlon en 2017. À Simon Jacques mon nutritionniste et Claudia Bernier entraineur chez Nautilus qui mon aidé à perdre mes 40 premières livres. À Francis Pronovost mon collègue qui m’a accompagné dans mon 1er sprint et mon 1er olympique en 2017 et mon 1er 70.3 en 2018. Aux nombreux coachs chez Capitale triathlon qui mon aider à progresser dans les trois sports. À Francis Bachand et à Capitale triathlon pour nous offrir un large éventail de possibilité d’entraînement. À mon coach Martin Cleroult que j’ai connu comme coach de vélo chez Capitale triathlon qui me pousse et endure mes incertitudes et mes doutes depuis 18 mois. Et bien sûr à ma blonde et mes trois enfants qui m’aiment même quand je ne suis pas là…
La pandémie aura eu un impact énorme sur nos contacts sociaux. Malgré une augmentation marquée de nos membres, plusieurs d’entre eux ne se connaissent pas. Le 6 à 8 mensuel refera donc son apparition. Chaque mois, les membres du club auront l’occasion de se retrouver afin de se rencontrer, sans la sueur. ?
Avec la même intention d’augmenter la cohésion du groupe et de mettre son côté social à jour, les membres inscrits ont maintenant tous accès à un entrainement de musculation libre chaque mardi soir.
Mettre de l’avant l’aspect social ne veut pas dire que nous délaisserons le sérieux à l’entrainement. Il faut savoir quand souffrir et quand mettre le plaisir de l’avant. L’équilibre avant tout! ?
LE DÉVELOPPEMENT
Dans les prochaines années, nous investirons autant d’énergie qu’avant à l’entrainement. L’objectif est simple : rendre chaque effort le plus payant possible.
Que l’on parle du volet jeunesse ou des volets adultes courte et longue distance, notre philosophie pour les prochaines années reste la même :
« Être en mesure de connaître personnellement chacun de nos athlètes nous permet de comprendre leurs besoins et d’ajuster notre approche en conséquence. Notre force réside dans les relations humaines, où les valeurs véhiculées sont le respect, le dépassement et le plaisir. Nous sommes un club privé qui demeure actuel en innovant sans cesse. Un club ACCESSIBLE À TOUS, peu importe le défi, l’âge et la vitesse! »
UN CALENDRIER DE COMPÉTITION VARIÉ ET DÉFINI
Vous verrez rapidement en saison hivernale notre calendrier d’événements ciblés par le club. Un entraîneur sera présent à ceux-ci afin de donner l’encadrement requis.
Afin d’assurer une belle diversité et répondre aux besoins de tous, le calendrier ciblera :
3 Coupe Québec
2 triathlons longue distance
1 compétition « plaisir »
Une forte présence dans six événements garantira une superbe ambiance et des relations humaines de grande qualité.
La session débute le 20 septembre et voici les options disponibles pour les triathlètes, en plus des 15 plages horaires de natation par semaine.
COURSE DU SAMEDI OPTION SENTIER ET ROUTE
Les samedis sont ouverts à tous les niveaux. Pour le gang route comme pour le gang sentiers, le départ se fait du centre Le Saisonnier à Lac-Beauport à 9h. La technique et le développement de la VAM sont les deux objectifs clés de ces entraînements. L’entrainement est offert aux jeunes de 6 à 17 ans et aux adultes. Tous les membres adultes et 12 ans et + qui sont inscrits à 2 entraînements de natation et plus par semaine ont automatiquement accès à la course du samedi gratuitement.
LE VÉLO VIRTUEL ENSEMBLE À DISTANCE
La session d’automne en sera une de 10 semaines qui se tiendra du lundi 11 octobre au dimanche 19 décembre 2021. Les entraînements, en groupe sur Zwift, se font 2 fois par semaine le lundi et le jeudi. Vous pourrez choisir le groupe de 6h30am, 12h00 ou 18h pour vos séances d’intervalles.
Parce que votre FTP à vélo n’est qu’une facette de votre personnalité, vous aurez une analyse complète de votre profil de cycliste pour débuter la session. Ensuite, même si les entraînements se font en groupe, ils seront programmés de façon individuelle pour chaque cycliste en fonction de sa courbe de puissance. Ma philosophie d’un bon entraînement par intervalles est qu’il doit être assez difficile pour créer une amélioration, mais toujours en gardant une marge de sécurité pour éviter les baisses de motivations, le surentraînement ou les blessures. L’équilibre avant tout. Aux plaisirs de pédaler avec vous. – Coach Phil
LE VÉLO EN SALLE DU MERCREDI SOIR
Les mercredis seront en mode vélo de groupe. Ils seront ouverts à tous à l’école Saint-Jean-Eudes. La nouvelle salle de vélo est dotée de 10 bases d’entrainement Tacx et de 10 vélos de route. Les entraînements de groupe sont préparés avec le logiciel Perf Pro. Les dates de session et les inscriptions sont à venir!
L’ENCHAINEMENT SWIM YOGA DU VENDREDI MATIN CÉGEP LIMOILOU
Une nouveauté dans l’offre de service du club! Le vendredi matin, vous aurez la chance de faire un entraînement de natation suivi d’une séance de yoga. Suite à vos entrainements de natation, je vous proposerai des cours de yoga structurés qui vous permettront d’assouplir et de renforcer votre corps au niveau musculaire et articulaire. La respiration consciente sera également de la partie pour maximiser les bienfaits de chaque posture. La pratique du yoga dans toute sa simplicité́ pour vivre le moment présent en relation avec soi-même ce qui favorisera une meilleure connaissance de soi dans le non-jugement et la bienveillance! Namaste Diane Dessureault
ACCÈS À LA SALLE DE MUSCULATION GRATUITEMENT
Tous les membres adultes et 12 ans et + inscrits à un entrainement avec nous ont automatiquement accès à la salle de musculation le mardi soir de 18h00 à 19h30. La salle de musculation est à l’école Saint-Jean Eudes. Bon moment de venir faire ta musculation et de mettre à jour le social. Un entrainement sera suggéré et affiché au mur chaque semaine
RENCONTRE INFO À PARTAGER
Nous tiendrons une séance d’information le mardi 7 septembre à 18h30. Ce sera alors le moment de venir prendre l’information sur la session à venir et visiter la nouvelle salle de vélo et salle de musculation. Bien que cette séance d’information s’adresse principalement aux futurs membres, elle est ouverte à tous! https://fb.me/e/WO1Ttp1T
Nous travaillons depuis plus de deux ans sur une structure scolaire d’envergure, centrée sur les jeunes. Cette année, Sports Capitale compte dans son volet scolaire trois écoles de niveau primaire, une de niveau secondaire et une de niveau collégial.
LE PROFIL MULTISPORT ENDURANCE
À l’école Saint-Jean-Eudes, Capitale Triathlon et Capitale Natation offriront dès la rentrée scolaire un profil multisports d’endurance individuelle.
L’élève pourra donc, à chaque étape scolaire, développer des habiletés et découvrir des sports d’équipe, mais aussi individuels.
Pour chaque étape de l’année, un jeune passera 48 périodes en profil multisports. Sur ces 48 périodes, 32 seront divisées en deux groupes :
Groupe 1 : les sports d’équipe
Groupe 2 : les sports à développement individuel
De la natation, de la course à pied, du vélo et quelques options de dépassement seront au menu de la saison scolaire.
LE PARASCOLAIRE NATATION ET TRIATHLON
Les options scolaires sont définies et les écoles, bien impliquées. Le chemin est clair et tracé pour un jeune qui décide de suivre ce développement.
PARASCOLAIRE PRIMAIRE
École Guillaume-Mathieu
École Vision Nord
Externat Saint-Cœur-de-Marie
PARASCOLAIRE SECONDAIRE
L’école Saint-Jean-Eudes
PARASCOLAIRE COLLÉGIAL
Collège Merici
LA FORCE D’UNE ÉQUIPE
La structure scolaire d’envergure de Sports Capitale est centrée sur les jeunes, offrant des options de développement pour chacun autour d’un pilier central, une équipe solide.
Les clubs Capitale Triathlon et Natation sont en pleine croissance. C’est donc avec un immense plaisir et une grande fierté que nous vous annonçons qu’Anthony Léveillé sera entraîneur-chef dès cet automne.
Anthony est depuis quelques années bien impliqué au sein des deux clubs Capitale. Passionné de sport, il gravite dans le monde du triathlon depuis plusieurs années. Son expérience en tant qu’athlète, telle que sa participation à deux Ironman, au marathon de Boston et à des ultra-trails, lui permet également d’avoir une vision claire des demandes de compétition. Pour le détenteur d’un baccalauréat en intervention sportive de l’Université Laval et candidat à la maîtrise en administration des affaires, l’apprentissage et le dépassement font partie de son identité.
Ce nouveau poste apportera une structure solide au niveau de la planification et des opérations, permettant à l’entreprise de mettre sur pied une meilleure offre de service et de fournir un rendement plus efficace. Anthony Léveillé et Francis Bachand pourront continuer ensemble à maintenir des activités d’entraînement et des événements à la hauteur de vos attentes, que ce soit pour Capitale Triathlon ou Capitale Natation.
Les projets et la suite
Parce que votre santé nous tient à cœur, nous avons comme projet à court terme de consolider les volets jeunesse et scolaire. De plus, il est important pour nous de peaufiner l’offre de service aux groupes d’âge en natation et en triathlon. Par la suite, nous tenons à développer des projets spéciaux qui combinent passion et plaisir.
C’est donc dès septembre prochain qu’Anthony entrera en poste à temps plein avec nous. Déjà aimé de tous, il saura vous faire rire… et souffrir un peu!
DÉVELOPPER SON SPORT ET SON CLUB, UN PROJET À LA FOIS
Une nouvelle année approche pour les clubs Capitale! La dernière nous aura donné le temps de travailler sur plusieurs projets prévus pour 2022. Parce qu’on aime ça vous tenir au courant, on vous expose en quelques paragraphes les nouveautés des clubs Capitale. Attachez vos lunettes, y’a du stock!
L’OFFRE D’ENTRAÎNEMENT NATATION CONTINUE DE GRANDIR
Les volets jeunesse et adultes du club se développent à grande vitesse. Cet été, huit entraînements en eau libre et trois entraînements en piscine extérieure sont à l’horaire chaque semaine. En septembre prochain, le club offrira 18 plages horaires par semaine, et ce, dans trois bassins de Québec. Capitale Natation est maintenant un club fédéré et de belles et grandes annonces sont encore à venir!
LA SALLE DE VÉLO VIRTUEL CAPITALE TRIATHLON À L’ÉCOLE SAINT-JEAN-EUDES
Depuis un an, la salle de vélo virtuel est utilisée par les étudiants du profil Multisport de l’école Saint-Jean-Eudes! Dès octobre prochain, nous aurons un accès à des cours de soir, ouverts à tous! La salle est munie de 18 bases d’entraînement Tacx et de 10 vélos déjà montés. Plusieurs options s’ouvrent donc pour l’automne, soit des entraînements où vous pourrez apporter votre vélo ou en réserver un sur place.
LA CONTINUITÉ DU PROGRAMME PODIUM
Nous notons un SOLIDE engouement envers ce programme. Déjà, nous sommes à établir les bases du programme pour 2022. Dès le 10 septembre, les inscriptions ouvriront pour accueillir deux nouveaux athlètes. Le programme de développement Podium est ouvert sur candidature annuelle et est exclusif à cinq athlètes sélectionné.es âgé.es entre 13 et 17 ans. Ces cinq jeunes ont la chance d’évoluer au sein d’une organisation privée et complète, soit Capitale Triathlon et Capitale Natation.
En terminant, nous annoncerons début juillet la plus grande nouvelle depuis notre fondation, il y a neuf ans! ?
Il fallait rendre ces derniers mois productifs et je pense que l’équipe a réussi sa mission!
Bonjour tout le monde ! Je suis enchantée de faire votre connaissance. Mon nom est Danielle Dubois, je suis nutritionniste diplômée, sportive et maman de deux enfants. Je suis une passionnée de course et de vélo.
J’œuvre dans l’industrie agroalimentaire depuis plus de 20 ans et je m’intéresse aux impacts d’une saine alimentation et des bonnes habitudes de vie sur le corps humain. Je prône fortement l’équilibre dans toutes les sphères de notre vie et je suis persuadée qu’on a tous à l’intérieur de nous le courage de passer à l’action pour réaliser nos rêves. De plus, je suis convaincue que la science de la nutrition peut avoir un effet très positif sur notre qualité de vie et sur nos performances.
Je me suis lancée dans l’aventure Zenit pour faire du bien aux gens. Zenit, ce sont les recettes « maison » que j’ai développées pour vous offrir des produits faits avec des ingrédients simples, rien de plus. Tous les produits sont pensés pour vous offrir le meilleur avec des compositions qui vous donneront de l’énergie lors de vos activités sportives.
Des collations avec des ingrédients d’ici et/ou biologiques. Le meilleur pour votre corps voilà tout.
Au plaisir de vous rencontrer
Danielle Dubois
Nutritionniste, Dt.P.
Présidente, Fondatrice & CEO | President, Founder & CEO
Dans les derniers mois, la pandémie nous aura assurément rendus un peu plus antisociaux. Les heures passées seul sont nombreuses et les distractions sociales, trop peu présentes. Rencontrer de moins en moins de gens, c’est comme l’entraînement: moins tu en fais, moins tu en veux!
C’est important d’être «à l’écoute de ses émotions» et de les respecter. Il faut cependant savoir distinguer la lâcheté et les mauvaises habitudes du reste!
Les types de sportifs pandémiques
À la lumière des derniers mois, je peux cibler facilement deux types de sportifs pandémiques:
1. Le sportif qui n’a pas besoin d’objectifs, de mesure ou de compétition pour s’entraîner. Depuis quelques mois, il est ultra discipliné. Il a beaucoup plus de temps seul et il le consacre à l’amélioration de sa forme physique. Rassurez-vous, cet individu représente environ 5 % à 10 % des sportifs.
2. Le sportif qui suit et écoute ses émotions et qui, par manque d’objectifs, se perd dans un néant d’excès. Trop d’entraînements une semaine et aucun la semaine suivante. Il manque clairement de discipline, car originalement, il s’entraîne avec un objectif externe clair, qui se mesure face aux autres: la compétition.
Mais quel profil est à privilégier, et pourquoi?
Aucun! ? L’important, selon moi, c’est la conscience des deux possibilités. Posez-vous des questions afin de voir si votre motivation est la bonne. Est-ce que vous faites cet entraînement et ces dépassements pour vous et pour vous seul ou vous entraînez-vous pour l’apparence et ce que vous dégagez par rapport aux autres? Si la marque de votre cuissard est plus importante que votre bonheur et votre amélioration physiologique, il est peut-être temps d’y réfléchir!
Le fait d’avoir besoin d’un objectif de compétition ou d’un objectif mesurable n’est pas à proscrire. Mais il faut être en mesure de s’entraîner en son absence et, surtout, se questionner sur le plaisir qui se rattache à l’effort physique, sans la valorisation externe.
La santé (dans sa définition la plus globale) et le plaisir devraient guider votre choix, et ce, peu importe votre niveau et votre désir de dépassement.
Alors toi, pourquoi tu t’entraînes?
Francis Bachand
Diplômé DAE Institut National du sport
Fondateur et entraîneur | Capitale Triathlon – Capitale Natation
Le FTP (Functional Treshold Power) est devenu, avec les années, la mesure ultime et la référence. Mais est-ce logique et est-ce la seule mesure?
L’intérêt à connaître son FTP devrait être identique à celui de connaître sa PAM (puissance aérobie maximale). Il s’agit ici d’outils de mesure de progression ou de régression. Afin de bien relativiser, rappelons-nous simplement que le plus important déterminant de la performance dans les sports d’endurance, c’est la PAM ?
Commençons avec un peu de terminologie afin de parler le même langage.
Le FTP
En français, le FTP est le seuil de puissance fonctionnelle. Pour résumer, c’est la puissance moyenne sur un effort maximal d’une heure.
Le FTP correspond généralement à 72-77% de la PAM. Toutefois, cette façon de calculer votre FTP est à proscrire. Elle est vague et ne reflète pas le niveau d’aérobie. Il existe plusieurs méthodes, mais la plus connue demeure le test de 20 minutes et l’estimation de la puissance moyenne maximale.
FTP = 95% du résultat (+/- 3%)
La PAM
La PAM est d’une très grande utilité. Il s’agit de la puissance développée lors d’un exercice où la consommation d’oxygène par le système cardiorespiratoire est à son maximum (VO2max). Elle peut se mesurer simplement en réalisant un test progressif et maximal par paliers de 1 minute, ou encore, un test de puissance maximale sur 5 minutes.
As-tu travaillé ta puissance cet hiver?
Maintenant, selon ton profil cycliste, plusieurs « chemins » d’amélioration sont possibles. En effet, un cycliste débutant et intermédiaire verra son FTP s’améliorer rapidement, et ce, même si le travail avait comme cible la PAM. À l’inverse, un cycliste aguerri devra, en phase hivernale, miser sur une augmentation de la PAM afin de « lever le plafond » et laisser un peu de place pour l’augmentation éventuelle de son FTP.
Au printemps, lorsque les intervalles s’allongent et que leur pourcentage d’effort s’abaisse vers le FTP et le travail spécifique , il faut se donner le temps de faire la transition. Ce travail d’endurance, combiné à un bon travail ciblant la PAM en saison morte sera gage d’une amélioration notable, après quelques heures en selle! ?
Après mon accident de vélo en août dernier, je suis parti de zéro, c’est le moins qu’on puisse dire : atrophie musculaire et perte de masse au maximum. Forcé de reprendre à la base, j’ai décidé que le plan sur 16 semaines présenté plus bas allait servir de mesure. J’ai donc noté mes données toutes les semaines et j’ai monitoré ma progression sur ces quatre mois.
Le plan testé aura été très différent qu’à l’habitude. Il avait comme cible la PAM mais aussi la puissance maximale pure. Le travail de cette dernière cible devait être fait à la perception de l’effort.
Valeurs de départ :
PAM estimée : 280 W
FTP estimé : 220 W
Évidemment, quand je parle de valeurs de départ, je fais référence au moment de ma reprise de l’entrainement et non au lendemain de l’accident! ?
Les huit premières semaines se sont plutôt déroulées sur une base aérobie, donc une reprise des sensations et du volume à très basse intensité. Une fois la fondation solide, je me suis permis les tests requis :
Une PAM à 302 W
Un FTP estimé à 228 W
Sur des mésocycles de cinq semaines, trois blocs précis ont été structurés :
Quantité : Répéter un maximum de fois une répétition d’une durée X pour un MAXIMUM de répétitions.
Qualité : Répéter un maximum de fois une répétition d’une durée X pour un MINIMUM de répétitions.
Puissance maximale : Entraînement fait en puissance maximale sans données connues, donc à la perception de l’effort. Protocole de 14 jours intensif de l’Université de la Californie.
Les résultats finaux sont somme toute impressionnants. Les tests ont été faits après une semaine de récupération :
PAM : 321 W
FTP estimé : 260 W
À la lumière de ces 16 semaines, la plus grande amélioration aura été faite lors du protocole de puissance maximale de deux semaines. Évidemment, cette filière énergétique n’est pas souvent travaillée dans les sports d’endurance, ce qui explique probablement le résultat.
Je ne suis pas fan de la recette miracle. Le constat que j’ai fait de ces dernières semaines me confirme que la puissance pure est souvent oubliée, mais qu’elle ne devrait pas l’être. Le cliché du triathlète qui s’entraine en endurance et toujours dans la même zone refait donc surface.
La perception de l’effort est parfois très surprenante et les gains s’y rattachant le sont tout autant.
Alors, c’est peut-être le moment de sortir de votre zone de confort?
Dans mon dernier article, je parlais de la clé du succès dans un sport à développement tardif : la variation. Pourquoi se surspécialiser en bas âge dans un sport à développement? Pourquoi ne pas miser davantage sur les aptitudes physiques et physiologiques que l’on acquiert dans la diversité?
Premièrement, il faut savoir que le plus grand taux d’abandons dans le sport survient entre la fin du secondaire et l’entrée au cégep. Est-ce dû à une spécialisation trop rapide? Est-ce que la grande charge d’entraînement spécifique contribue à décourager l’athlète? Est-ce que le nombre prématuré de répétitions, et peut-être des répétitions mal réalisées, amène des blessures?
LE DÉVELOPPEMENT MULTISPORT : UNE SÉRIEUSE OPTION POUR LES JEUNES
Le cadre sportif scolaire est très important pour nos jeunes. Le profil multisport englobe le développement des habiletés d’un jeune et lui permet de toucher à plusieurs sports. Le jeune peut ainsi découvrir ce qu’il aime et ce qu’il aime moins.
Le profil multisport de l’École secondaire Saint-Jean-Eudes offrira, dès septembre prochain, une option plus qu’intéressante pour le développement sportif des jeunes. L’école travaillera de concert avec Capitale Triathlon et Capitale Natation pour proposer une option multisport d’endurance individuelle.
L’élève pourra donc, à chaque étape scolaire, développer des habiletés et découvrir des sports d’équipe, mais aussi individuels. L’enseignant du profil, M. Pascal Chabot, évaluera les habiletés sportives des jeunes et les développera. Il sera secondé par Francis Bachand, diplômé de l’Institut national du sport, et par Anthony Léveillé, diplômé de l’Université Laval en intervention sportive, qui offriront l’encadrement requis dans les sports individuels.
Pour chaque étape de l’année, sur une moyenne de quatre cycles scolaires de 20 jours, un jeune passera 48 périodes en profil multisport. Sur ces 48 périodes, 32 seront divisées en deux groupes :
Groupe 1 : les sports d’équipe
Groupe 2 : les sports à développement individuel
De la natation, de la course à pied, du vélo et quelques options de dépassement seront au menu de la saison scolaire.
Avec le profil multisport, les élèves auront tout le loisir de se développer à leur rythme, et dans le plaisir.
Pour lire mon dernier article sur le développement des athlètes, c’est par ici!
Bon, tu t’entraines depuis quelques années déjà et une constante revient invariablement : tu as besoin de te faire dire quoi faire.
À chaque entrainement, tu cherches la « twist » menant au succès. La formule mathématique qui te rendra meilleur.e! Mais si cette formule n’existait pas? Si cette formule était, en fait, une recette de variables et de changements? Rassure-toi, je ne ferai pas de référence à Ricardo dans cet article. ? Prenons, par exemple, au hasard… le vélo. (Ok, j’avais une chance sur trois de tomber sur un bon sport.) Combien de fois t’es-tu assis sur le vélo afin de faire un entraînement d’intervalles à la perception de l’effort?
La perception de l’effort, tu connais?
Selon Borg et Neely (Borg et Neely, 1992), la perception de l’effort correspond à la sollicitation d’un ensemble de systèmes et de processus sensoriels s’intégrant en une perception générale de l’effort. Elle inclut la sensation de tension et de douleur dans les muscles actifs et les articulations, l’essoufflement, les battements du cœur et la sudation. Cette perception intègre les informations provenant de nombreux signaux (Borg, 1998). Elle est définie comme l’intensité subjective d’effort, d’inconfort, de pénibilité qu’a le sujet en réponse à des stimuli lors de l’exercice physique, et correspond à un niveau de pénibilité.
Assez spéculé!
Pour un entraineur, c’est impératif de connaitre les « vraies » valeurs maximales de son athlète. L’idéal reste donc d’accorder du temps et de tester différentes façons de se mesurer. Dans les dernières années, j’ai fait un « petit test » avec une multitude d’athlètes. Le protocole est fort simple :
1 minute à générer un maximum de puissance sans les données (à l’aveugle)
Contre
1 minute à générer un maximum de puissance prescrite. L’athlète a alors accès à ses données et sait ce qu’il est possible de générer comme puissance critique sur 1 minute.
Le résultat? Dans 98% des cas, l’athlète privé de données (donc selon la perception) a obtenu un résultat supérieur à ce qu’il « aurait » dû faire.
en conclusion
Alors, que tu intègres un bon bloc de quelques semaines de perception de l’effort ou que tu fasses un entrainement occasionnel sans tes fameuses données prescrites, nous te conseillons ardemment de renouer avec ces sensations qui, trop souvent, sont mises de côté.
L’avantage du plan triathlon est fort simple : sa périodisation prendra en compte la charge d’entraînement dans les trois sports. Point important, la progression sera basée sur un objectif ultime.
Mais pourquoi ne pas suivre un plan pour cycliste et combler le reste des entraînements avec de la course et de la natation?
En fait, même si cette dernière option peut sembler tentante, elle risque de faire progresser uniquement les chiffres sur le vélo, mais surtout, elle ne prendra pas en compte le stress que les deux autres sports peuvent engendrer chez l’athlète. Les risques de blessure sont donc accrus durant cette période, mais également quand la routine des trois sports reprendra. Rapidement, les gains faits dans un sport seront rattrapés par les pertes dans les deux autres, ou par une blessure que pourrait amener un manque de progression.
Attention, je ne dis pas que votre plan ne doit pas cibler un sport et une amélioration. Au contraire. Dans chacune des phases de votre périodisation, le plan ciblera du maintien et, certes, du développement. Ainsi, un bloc de 12 semaines ciblant la puissance aérobie sur le vélo peut très bien être intégré au plan. Profiter de l’hiver pour travailler une faiblesse est logique, et même souhaitable. Faire ce travail en conservant les acquis dans les deux autres sports devrait être une priorité pour un triathlète.
Bref, le pire plan à avoir est sans aucun doute l’improvisation. Il faut prendre le temps de lire, se renseigner ou de contacter un entraîneur qualifié et reconnu par une fédération sportive!
La pandémie vous donne-t-elle l’excuse dont vous aviez besoin pour procrastiner et remettre votre entrainement à demain?
C’est ironique, mais la plupart des gens ont plus que jamais le temps de penser à eux. Privés de restaurant, sortie au cinéma et soirée entre amis, ils se tournent, naturellement, vers eux-mêmes.
Vous me direz que l’équilibre n’est plus là! Que sans l’objectif des compétitions, il est difficile de s’entrainer adéquatement. Eh bien, voici… Ne devriez-vous pas être en mesure de vous faire souffrir à l’entrainement, et ce, sans compétition? En fait, avoir un objectif mesurable devrait être suffisant pour vouloir s’améliorer. Le faire pour sa santé et par plaisir aidera encore plus.
Le fait de vous priver vous fait apprécier davantage ce que vous avez. La pandémie et la privation qu’elle amène devraient vous faire voir le côté positif de la situation. Je vous conseille donc de tourner le tout à votre avantage. C’est peut-être même le temps de travailler la faiblesse que vous repoussez depuis longtemps.
Je vous recommande donc de cibler cette faiblesse et de l’attaquer avec un objectif que vous pourrez mesurer au début et plus tard dans la sason. L’objectif mesurable n’a pas besoin d’être une qualification pour les Jeux olympiques! ? Améliorer son temps sur un 5 KM pourrait faire le travail!
Je peux vous assurer une chose : l’équilibre que vous avez « perdu » ne se trouve certainement pas dans le sac de chips! ? Gardez en tête qu’un jour, tout ça sera derrière nous. Vous aurez des objectifs de compétition et vous serez motivés à fond. Les actions que vous posez en ce moment vous aideront à bien progresser et vous tiendront loin des blessures lors de la reprise.
Bon entrainement et rappelez-vous… on garde le focus!
Pourquoi le volet CX au sein de Capitale triathlon ? Parce que cette année votre Club a décidé de renforcer le volet hors-route qui est déjà présent et offert depuis l’automne 2017. Aussi parce qu’avec la présence du triathlon hors-route au Québec (évènements Xterra et Cross-Triathlons) votre Club souhaite offrir à ses membres la possibilité de choisir entre entrainement sur route ou hors-route, dans le but de l’atteinte des objectifs de chacun.
L’offre sera par ailleurs élargie en ajoutant, aux entrainements déjà offerts par ce volet (course en sentier et vélo de montagne), un entrainement hebdomadaire de course en raquette à la session Hiver, l’ajout d’une plage horaire en semaine, etc.
Pour plus d’informations concernant le volet CX de Capitale triathlon consulter cette page
L’Institut de réadaptation en déficience physique de Québec (IRDPQ)
Vous le savez, la dernière année n’aura pas été de tout repos. Petit bilan de santé : il me reste globalement deux opérations à l’horaire. Par la suite, je ne serai pas trop loin du fameux retour progressif! Il faut faire preuve de patience, de résilience, mais il faut surtout faire confiance aux professionnels. Ça peut paraitre spécial, mais la COVID m’aura aidé… Elle m’aura aidé à bien me reposer, à tester mes capacités et à tranquillement revenir à la normale. À guérir intelligemment!
Passer à l’IRDPQ chaque semaine, ça veut aussi dire avoir la chance d’être suivi par une équipe de spécialistes des plus solides et dévouées. Cette équipe constituée de médecins, physiatres, neuropsychologue physiothérapeutes, et ergothérapeute m’aura fait pleurer, à quelques reprises, par son attention, son écoute et son professionnalisme.
L’Institut national du sport (INS)
Ironie du sort, je graduais, début décembre 2019, de l’Institut national du sport. Le cours est maintenant terminé depuis plusieurs mois et cette graduation, significative, aura été reportée quelques fois à cause de la pandémie. Ce Diplôme avancé en entrainement (DAE) a été l’occasion d’échanges incroyables avec des passionnés de sport. Pour plusieurs entraineurs, le niveau 4 est sans nul doute celui qu’ils souhaitent acquérir… et enfin, c’est réussi pour moi. Merci à l’équipe d’enseignants qui ont pris le temps de nous transmettre leur expérience. Les notions acquises seront une référence pour moi et mes projets futurs.
L’équipe d’entraineurs et athlètes des deux clubs
Être absent rime inévitablement avec remplaçant. L’équipe de Capitale Natation | Triathlon aura, dans les derniers mois, augmenté sa notoriété en mettant en valeur le talent de ses membres. Je ne vous les nommerai pas tous personnellement, sauf une, ma conjointe et fidèle acolyte des 18 dernières années, Genevieve Lavallée. Si vous regardez les clubs aujourd’hui et vous vous dites que tout va bien, vous le devez en majeure partie à cette grande dame qui a toujours cru en nous tous.
Pour terminer… ou commencer !!!
À l’aube de 2021, faites-vous plaisir et donnez-vous des objectifs à moyen et long terme. Assurez-vous qu’ils soient motivants et réalistes, et ainsi vous resterez vivant. Il faut regarder la prochaine année avec espoir, les amis. L’année ne sera probablement pas parfaite comme avant, mais je vous parie un vieux 2 qu’elle sera mieux que 2020!
C’est avec un grand plaisir que je rejoins l’équipe de Capitale Triathlon. J’espère avoir la chance de pouvoir partager ma passion et les connaissances acquises durant ces 30 dernières années à pratiquer ce magnifique sport. Durant ces années j’ai eu la chance de vivres différentes expériences comme athlète, entraineur, directeur général et de la haute performance à Triathlon Québec, et avec un peu de chance, j’aurai l’occasion de transmettre un peu de ces connaissances et contribuer au développement du club.
Je prévois prendre part à quelques cliniques offertes prochainement et possiblement des camps d’entrainement et qui sait, peut-être on se croisera sur le bord de la piscine ou d’une salle d’entrainement éventuellement. C’est donc avec un grand plaisir que je m’ajoute aux entraineurs disponibles pour l’encadrement individuel à distance. Les informations seront disponibles sur le site bientôt.
Avoir des objectifs, c’est une chose. Se donner les moyens de les atteindre en est une autre. Devenir membre d’un club peut parfois être stressant. Vais-je être assez rapide? Vais-je bien m’entendre avec le groupe? Voici les principaux avantages à s’inscrire dans un club, quel qu’il soit!
Le côté social
On le sait, entrer dans un nouveau groupe peut être stressant. S’entraîner avec des gens de tous les niveaux aussi. Rassurez-vous: normalement, il ne faut pas plus de deux entraînements pour bien s’intégrer et, même, se faire un ou une bonne amie! Au fil des années, je suis toujours impressionné de voir les relations qui se créent au fil des entraînements et des activités.
Le dépassement
Les entrainements de groupe ont fait leurs preuves depuis plusieurs années. Le simple fait d’avoir «rendez-vous» avec d’autres membres aide à combattre la procrastination. Effectuer l’entraînement en groupe vous fournit l’aide et la motivation tant recherchée.
L’expertise des entraîneurs
Avoir un plan d’entraînement à exécuter est souhaitable. Les entraîneurs sont une ressource qualifiée, accessible et ouverte. Que vous soyez à un entraînement ou à une compétition, vous aurez accès à tout ce réconfort et cette expérience. ?
Les partenaires
Les partenaires sont présents et chouchoutent les membres. Qu’on parle d’un bon café ou encore de partenaires spécifiques tels une marque de vélo ou un détaillant, ils vous proposeront des rabais importants grâce à l’entente avec le club et fourniront un solide service!
Les compétitions
Le club se regroupe lors de plusieurs compétitions. La tente et les fanions deviennent alors un point de rassemblement où vous pouvez poser vos questions d’avant-course, mais aussi relaxer et célébrer vos performances après l’événement.
En somme, devenir membre d’un club, c’est s’assurer d’avoir accès à ce qu’il vous manque ou ce que vous recherchez dans votre vie sportive. Que vous ayez besoin de coaching ou encore d’un milieu stimulant et amical, vous y trouverez assurément votre compte!
J’écris ces premières lignes en regardant par la fenêtre les petits flocons de neige tomber. On s’en sort pas, chaque année on doit passer par le processus du sous zéro et changer les t-shirts pour des manteaux et des tuques. Par contre, il ne faut pas voir ces changements comme négatifs, mais plutôt s’en servir pour apporter du nouveau à notre entraînement et développer d’autres aspects de notre forme physique… et de notre mental!
Première chose pour apprivoiser l’hiver, c’est de ne pas passer à côté de notre zone de transition, c’est-à-dire l’automne. Si nous avons le malheur de prendre une pause prolongée pendant ce temps, nous perdons la chance de laisser notre corps s’habituer à la baisse de température, à nos poumons de s’habituer de respirer de l’air de plus en plus frais et à notre cerveau d’enregistrer que les canicules sont derrière nous. Et c’est là que commencer à courir l’hiver devient tout un défi.
Deuxième chose, être bien chaussé et bien habillé. On le dit, ‘il n’y a pas de mauvaise température, il n’y a que des gens mal habillés’. Le meilleur truc est de s’habiller en multi couches, avec près du corps un chandail qui absorbe la transpiration et qui garde au chaud (laine de mérinos), puis selon votre tolérance une ou deux autres couches pour maintenir la chaleur, pour finir avec un manteau coupe-vent. Pour ce qui est des chaussures, encore plusieurs options s’offrent. Il est possible autant de garder les chaussures d’été si elles conviennent, que d’acheter des crampons, en ajouter sous les chaussures ou changer pour des chaussures ‘d’hiver’, un peu plus imperméables. Tout dépend si vous faites des sorties en ville où souvent tout est plus déneigé, ou si vous allez dans des sentiers plus glacés et enneigés.
Dernièrement, il faut être en mode adaptation. Le froid, le vent, la neige sont des éléments extérieurs qui modifient la difficulté de notre parcours. Il faut donc ne pas s’attendre à faire de aussi bons temps, des aussi longues distances sans fatigue, et c’est correct. Il faut retourner en enfance, se rappeler les joies de l’hiver et profiter de la saison blanche pour s’amuser en s’entrainant. Ayez comme objectif de faire un maintient de vos capacités qui vous permettra de ne pas recommencer à zéro au printemps. Et qui sait, si vous vous êtes bien amusé, vous aurez peut-être même une longueur d’avance!
En avril dernier, j’écrivais un petit article sur la motivation à l’entrainement; vous le devinerez, c’est encore à propos. Mon avis sur un scénario d’avenir : trouve une course comme objectif 2021 et fonce sur tes faiblesses. Il faudra faire preuve de motivation et de résilience. Il s’agit selon moi de la meilleure façon de passer à travers les prochains mois d’incertitude.
Il ne reste pas grand-chose que nous puissions contrôler, mais l’entraînement reste et restera un facteur déterminant pour notre santé physique et mentale. Voici quatre façons de contrôler l’incontrôlable ?.
Pour faciliter la reprise :
Conserver un plan de musculation simple et complet. Si tu n’en avais pas, c’est le bon moment de commencer!
Conserver un sport de transfert qui reste praticable malgré la situation. La course à pied intégrée progressivement est à mon sens une valeur sûre.
Se donner des objectifs clairs et mesurables. Malgré l’absence de l’entraîneur ou de compétition, cible des objectifs mesurables et réalistes.
Devenir meilleur, c’est aussi s’entraîner en ayant un objectif automesurable. Tes jambes, ton cerveau, ta motivation, ton chrono.
Pour terminer, ne tombe pas dans le négatif en te donnant comme défaite que c’est de la faute de la pandémie. Oui, elle a le dos large, mais optimalement, ta meilleure option reste l’entraînement et un minimum de discipline.
Le plan BLOC est déjà, depuis trois ans, bien implanté dans le monde du triathlon. Quelques centaines de triathlètes ont fait confiance à la structure, et avec raison. ?
Mais quelle est la suite? Mon mentor et bon ami Alex Sereno me disait souvent : « What’s next, coach? » Comment arriver à créer un plan d’entraînement en se rapprochant le plus possible du coaching privé?
PROTOCOLE D’ANALYSE
Depuis plus de quatre ans, je travaille sur une formule et un système d’analyse physiologique. L’objectif est simple : déterminer votre profil d’athlète à l’aide de trois tests physiologiques réalisables chez vous, avec peu de matériel.
Donc, une personne qui adhère au plan BLOC se voit d’abord attribuer deux semaines d’entraînement. Tout le monde passe par ces deux semaines. Elles serviront à cibler les faiblesses de l’athlète et, par la suite, lui attribuer les quatre bons blocs de 10 semaines. Pourquoi travailler votre endurance si celle-ci fait partie de vos forces? Avec un profil physiologique simplifié et complet, nous saurons exactement quoi travailler. Nous ciblerons vos faiblesses. Le gain sera alors exponentiel.
DES TESTS
Les tests utilisés sont la puissance critique sur 1 et sur 20 minutes, la VAM et l’indice d’endurance à la course à pied. Les résultats seront l’indicateur de vos forces et de vos faiblesses. Il sera alors simple de vous attribuer l’un des 36 plans BLOC possibles, ciblant des améliorations physiologiques différentes et une progression différente.
Encore une fois, l’équipe du plan BLOC prend le chemin le plus long. Pas question de faire un plan écourté de 16 ou 20 semaines. Pourquoi? Trop de risques de se blesser par manque de progression et manque de temps pour bien développer chacune des qualités à améliorer.
Le plan sera lancé en français et en anglais dès le 4 janvier 2021. Il sera cependant disponible dès le mois de novembre. Les athlètes qui feront l’achat avant le temps des fêtes se verrons offrir le plan BASE menant au début de plan BLOC et 15% de rabais.
Mes connaissances en matière de commotion et traumatisme étaient plutôt limitées. Provenant d’un sport d’endurance sans contact, les accidents sont plutôt rares et c’est bien ainsi. Comme entraîneur, j’aime bien apprendre de chaque situation. Pour tout vous dire, étant directement touché par cette blessure sournoise, je me considère donc comme un sujet d’expérience afin de vous en parler aujourd’hui.
Le jour de l’accident, une collision avec une voiture et une chute à 50 KM / heures. Résultat simplifié; une fracture du crâne menant à un traumatisme crânien modéré, fracture de la clavicule et de l’omoplate et les multiples contusions.
Quand il y a une hospitalisation de 13 jours et un passage à l’institut de réadaptation de 6 jours, c’est que les conséquences n’étaient pas négligeables. La réhabilitation apporte son lot de travail. Pour une rare fois, le travail devant moi sera moins physique et plus cérébral. C’est quoi un traumatisme crânien célébrable (TCC) modéré? Les traumatismes graves et modérés sont très souvent caractérisés par des fractures du crâne et des pénétrations pouvant causer une hémorragie (saignement au cerveau), un œdème cérébral (enflure au cerveau) et des dommages aux tissus nerveux. La commotion cérébrale, quant à elle, correspond à un traumatisme crânien léger. C’est la gravité du TCC qui détermine, en bonne partie, la durée et le degré de guérison. Il faut penser à une guérison sur plusieurs mois, pour les TCC modéré et sévère. La plupart des personnes qui ont un TCC modéré ou sévère restent avec des troubles de l’attention, de la difficulté à se concentrer, des pertes de mémoire et sont plus sensibles à la fatigue.
Le travail en Neurologie, en ergothérapie et en Physiothérapie est nécessaire et prenant. Que nous parlions de concentration, de focus ou d’étourdissements, il faut faire preuve de patience, de respect des différents protocoles de retour surtout de résilience.
Après un accident, la situation nous rend plus sensibles aux jugements et aux regards des autres. Les gens restent polis, mais je sens qu’il analyse le degré de l’impact. Même avec un TCC, je me rends bien compte que mon entourage me regarde différemment et essaie de m’épargner avec leurs questions. En toute sincérité, je suis habituée comme entraîneur de m’occuper des athlètes, mais pas l’inverse. Le TCC reste un mystère et unique à chaque victime, mais chose sûre, je me servirais des prochaines semaines afin de parfaire mes connaissances sur ce sujet trop souvent négligé dans notre sport.
Vous vous en doutez peut-être, il faut plusieurs années pour former un excellent athlète. Et quand on y réfléchit bien, former un triathlète ne devrait pas être une course. Développé par Capitale Triathlon, le programme Podium est unique et basé sur le développement des jeunes à long terme. En moyenne, un triathlète canadien atteindra les Jeux olympiques à l’âge de 26 ans. Le programme Podium assure donc des objectifs réalistes et un suivi personnalisé pendant toutes ces années entre un entraineur et un jeune.
La structure actuelle de notre sport pousse les jeunes à s’entrainer dans des clubs scolaires, du secondaire à l’université. Malheureusement, à chacun des paliers scolaires, l’athlète devra changer d’entraineur ou de structure. Seriez-vous en mesure de me dire quelle université un jeune triathlète olympique a fréquentée? C’est impossible car, à ce niveau, les athlètes font tous le choix d’un encadrement personnel.
MUSCULATION ET PLAN PERSONNALISÉ
Chez Capitale Triathlon, notre vision est différente. Nous faisons annuellement une sélection de quatre à huit jeunes. Ceux-ci ont accès à un plan privé et à TOUS les entrainements des deux clubs, Capitale Triathlon et Capitale Natation. Cela représente une possibilité de 15 séances de groupe par semaine, dont 11 en piscine. Bien bâtir la fondation, c’est plus qu’important. C’est pourquoi chacun des athlètes est suivi par un entraineur et a un plan de développement musculaire préparé par la kinésiologue Evelyne Blouin.
Notre différence passe aussi par le chemin à suivre. De ce fait, nous encourageons les jeunes du programme à cibler d’autres sports et à y participer activement. À tire d’exemple, nous encouragerons un jeune qui décide de s’investir dans le ski de fond, la natation ou même le basketball. Afin de bien planifier son année sportive, un plan annuel sera établi entre son entraineur et lui.
FINANCEMENT
Le programme est autofinancé par la vente de café Barista Podium. Le jeune athlète a ainsi la possibilité de recueillir le total des frais annuels de 1500$. Trois activités-bénéfices sont organisées dans l’année pour que les deux clubs puissent amasser des fonds pour les jeunes.
Pour en savoir plus sur le programme PODIUM, cliquez sur ce lien :
La saison de vélo intérieur approche à grands pas! Nous avons, dans les derniers mois, travaillé sur des options complètes qui plairont à tous. La saison morte, c’est souvent le bon moment pour travailler les points faibles. Les entraînements peuvent être faits en groupe dans les rencontres Zwift ou de façon autonome et au moment de votre choix. Deux fois par semaine (lundi et jeudi), les intervalles vous assureront du travail de qualité et une progression-clé.
Le plan d’entrainement est conçu par coach Phil. Les séances seront différentes et structurées selon la période de la saison pour que vous soyez fin prêt pour la saison de compétition 2021.
Chaque athlète verra son profil cycliste analysé et recevra des entrainements en fonction de son FTP ET de sa capacité anaérobique. Que vous soyez sprinteur, grimpeuse ou une machine d’endurance, vos jambes seront sollicitées en fonction de leurs forces. S’entrainer à la bonne intensité n’aura jamais été aussi vrai!
L’OPTION À DISTANCE
Nous avons élaboré un plan solide et nous nous sommes assurés que chacun des athlètes pourra le suivre. Chaque lundi et jeudi, trois rencontres dans Zwift (meet up) auront lieu: un le matin, un le midi et un dernier en soirée. Ces trois options vous permettront de vous entraîner avec le club à distance, mais il sera également possible de le faire en solo selon votre horaire personnel.
L’OPTION EN GROUPE DANS LA NOUVELLE SALLE VIRTUELLE
L’école secondaire Saint-Jean-Eudes propose un volet triathlon depuis un an. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’une salle de vélo virtuelle voie le jour.
La salle sera disponible pour notre club dès le mercredi 12 octobre. Elle sera équipée de huit bases d’entrainement et de huit vrais vélos. Afin de répondre au besoin de tous, 12 vélos de spinning avec wattage seront également à la disposition des athlètes. Il sera donc possible d’accueillir 20 athlètes en même temps (avec distanciation physique). Vous aurez droit à deux plages horaires les mercredis soir. Évidemment, un cours jeunesse est aussi à l’horaire afin d’assurer un bon maintien des acquis chez nos jeunes.
Alors que vous cherchez des entrainements à distance ou en groupe, nous avons construit des options pour vous aider à vous dépasser et vous améliorer. Le mois d’octobre sera le mois de lancement des options vélo. En attendant, profitez au maximum des dernières semaines à l’extérieur!
DÉVELOPPER SON SPORT ET SON CLUB, UN PROJET À LA FOIS
Une nouvelle année approche pour Capitale Triathlon! La pause de trois mois nous aura donné le temps de travailler sur plusieurs projets prévus pour 2021. Parce qu’on aime ça vous tenir au courant, on vous expose en quelques paragraphes les nouveautés des clubs Capitale. Attachez vos lunettes, y’a du stock! ?
HARMONISATION DE L’IMAGE
La dernière année aura marqué l’arrivée du petit frère, Capitale Natation. Cette combinaison fait des clubs Capitale une solide structure privée au Québec. De facto, une harmonisation des deux sites web et des deux logos s’imposait. On vous présentera en août prochain l’évolution du logo Capitale Triathlon et Capitale Natation. On vous donne un petit indice: CT et CNNC. ? C’est donc le 17 août que nous lancerons le nouveau site web et la nouvelle image de marque!
UNE SALLE DE VÉLO VIRTUEL CAPITALE TRIATHLON À L’ÉCOLE SAINT-JEAN-EUDES
Vous avez sûrement vu passer la nouvelle: dès octobre, nous aurons, en plus de la piscine de 25 mètres, une superbe salle de vélo virtuel munie de 10 bases d’entraînement Tacx et de 10 vélos déjà montés. Plusieurs options s’ouvrent donc pour septembre prochain, soit des entraînements où vous pourrez apporter votre vélo ou en réserver un sur place!
UN PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT POUR LE VOLET JEUNESSE
Le programme de développement Podium est ouvert sur candidature annuelle et est exclusif à cinq athlètes sélectionné.esâgé.es entre 13 et 17 ans. Ces cinq jeunes auront la chance d’évoluer au sein d’une organisation privée et complète, Capitale Triathlon et Capitale Natation.
La genèse du programme est la structure privée qu’offrent Capitale Triathlon et Capitale Natation. Cette structure deviendra le fil conducteur du développement du jeune athlète. On lui évitera ainsi les changements de structure scolaire, de programme et la démotivation qu’ils engendrent.
UNE OFFRE DE SERVICE SIMPLIFIÉE ET UNIFORME
Dès septembre, vous remarquerez quelques changements dans l’offre de service Capitale Triathlon et Capitale Natation. Nous avons fait un énorme travail afin de favoriser les athlètes qui s’inscriront aux forfaits annuels. D’ailleurs, ceux-ci auront droit au plan BLOC de 40 semaines gratuitement!
LES MEMBRES AVANT TOUT!
Afin de canaliser notre énergie sur les membres actifs des clubs Capitale, des frais de membre annuels verront le jour en septembre 2020. Rassurez-vous, le montant de 54$ par an vous donnera droit à un t-shirt, un casque de bain et les codes promo chez nos différents partenaires. La raison? Le contrôle et la redevance! Nous voulons favoriser nos athlètes. Les partenaires du club sont très actifs et les rabais sont de plus en plus importants.
Il fallait rendre ces trois mois productifs et je pense que l’équipe a réussi sa mission!
Savais-tu que ton Club t’offre la possibilité de rouler en vélo de montagne tous les samedis matin au Lac Delage après la séance de natation en eau libre ?
Le choix route et montagne en tout temps
Nous avons pris la décision chez Capitale Triathlon de ne pas séparer les inscription des volets montagne et route pour permettre aux athlètes de choisir le mode qui leur convient le plus. Plusieurs personnes sont des adeptes du Xterra (ou Cross-Triathlon) autant que du triathlon sur route et choisissent un volet ou l’autre en fonction des course ou de l’intérêt du moment !
Tous les membres inscrits aux samedis matins sont donc invités à se joindre à la gang Montagne ! Au menu :
Plaisir
Apprentissage d’habilités techniques
Entrainement cardio
Discussions et conseils sur le Xterra/Cross-triathlon
Note : Les sorties débutent après la natation et sont d’une durée qui peut varier entre 60 et 90min. Les frais d’accès aux sentiers E47 sont à la charge de l’athlète. Infos par ici : https://empire47-109053.square.site/
Loin de moi l’idée de décourager les gens de faire de l’exercice, je crois que notre santé et équilibre mentale en ont grandement besoin. Par contre, les règles de base doivent résonner à chaque pas de course, et ceux-ci ne doivent pas nous mener plus loin que notre machine peut supporter. C’est beau de voir des gens sortir et débuter la course, encourager par la fonte des neige et le discours de Dr Arruda. Par contre, en ces circonstances, la Quantification du Stress Mécanique QSM) est d’autant plus importante. Le principe de la QSM est de donner un stress minimum au corps afin de lui créer une adaptation, mais sans jamais dépasser sa limite, qui nous amènerait en zone de douleur, blessures, surutilisation. Et attention, le corps étant une machine incroyable, ce ne sera assurément pas à votre première exagération que les symptômes apparaitront. Comme s’il avait une zone tampon… ce qui peut être un avantage comme un inconvénient. À notre premier 10km, on aura un peu de courbature, on se dira que ça aurait pu être pire et qu’on est pas pire en forme finalement. Par contre, 4-6 semaines plus tard, oups! Tendinite, claquage, douleur au genou.
Il faut comprendre que chaque personne a sa propre zone tampon, d’où l’importance des entraînements fait sur mesure qui permet à chacun de progresser selon sa tolérance. Il faut faire attention en ces temps de surabondance de temps libre, de ne pas se jeter dans le surentraînement. Surtout vous, triathlètes, qui avez un horaire bien rempli de trois sports, il faut éviter de se déverser dans la course pour remplacer la natation. Même si le cardio y est, chaque sport amène un stress sur différentes parties du corps. On s’en reparle dans mon prochain article!
Programme de course pour différents niveaux disponibles sur le site de la Clinique du Coureur et auprès de Francis Bachand, Capitale Triathlon
Tu angoisses face à ta saison de triathlon qui est fort probablement à l’eau? C’est peut-être l’occasion de faire les choses différemment. De le faire mieux et de te donner le temps de bâtir une base solide.
Bon j’entends déjà les puristes me dire « oui, mais on ne sait pas encore si l’humanité va survivre alors ce n’est pas le moment de penser à toi » et bien nous sommes triathlète donc de loin, supérieurs à l’humanité. ?
Contrôler le contrôlable
Il ne reste pas grand-chose que nous puissions contrôler, l’entraînement reste et restera un facteur contrôlable. Voici 3 façons de bien contrôler l’incontrôlable 🙂 :
Ne tombe pas dans la défaite facile du « tracas humanitaire » pour ne pas t’entraîner et t’ouvrir une bouteille de vin chaque soir comme si c’était le dernier. Un jour, tout le monde reprendra les courses, toi aussi. Assures toi d’être prêt.
Faire les choses de façons différentes et miser sur ce qu’on n’a jamais fait est gage d’amélioration. Change ta recette et je te prédis ta meilleure saison en 2021.
Devenir meilleure, s’est aussi s’entraîner en ayant un objectif auto mesurable. Tu dois être en mesure de vouloir courir ton 5 KM en 19 minutes, sans personne. Tes pattes, ton cerveau, ta motivation, ton chrono.
Revoir ses objectifs
En résumé, revoir ses objectifs et développer ses faiblesses progressivement me semble un très bon plan. Faire preuve de flexibilité…c’est pas seulement musculaire!
Bon allez les triathlètes, à l’entraînement…et ne me dites pas que vous n’avez pas le temps ?
Francis, notre entraîneur-chef utilise souvent cette pensée…. « Faire la différence… ». Je suis collé à Capitale triathlon depuis un certain temps et c’est ce que j’observe depuis mon arrivée comme entraîneur en 2017. Ce petit billet vous parle d’une petite expérience vécue de l’autre côté de la clôture (lire : athlète au lieu de coach).
Mon passé de maîtres nageurs
Dans mon temps quand j’étais dans les « maîtres nageurs », on nageait, sans qu’il n’y ait de planification en soi ou de progression à long terme. En tous cas, s’il y en avait une, les entraîneurs ne l’expliquaient pas (du moins pas ceux que j’ai eus). Loin de moi la prétention de diminuer les séances de natation adultes à la session chez les maitres nageurs, mais tout comme pour les séances de Spinning à la carte ou à la session (auxquelles j’ai longuement participé étant plus jeune), le concept d’abonnement s’inscrit trop souvent dans un modèle de développement à très court terme. Souvent l’emphase est mise davantage sur la satisfaction des nageurs (ou rouleurs) plutôt que sur une structure pensée et planifiée, dans le but d’engendrer des changements significatifs, à moyen et à long terme, dans les aptitudes de l’individu.
La planification structurée
Je suis entraîneur chez Capitale Triathlon depuis 2017 et cet automne, pour les séances de natation, j’ai décidé de passer plus de temps dans l’eau que debout sur le bord de la piscine. Bref, je suis devenu en quelque sorte le client, ce qui me permet de faire des observations sous un oeil différent. Qu’est-ce qui différencie les entraînements de Capitale natation par rapport à ce que j’ai goûté dans mon passé ? Chaque entrainement est planifié en ayant en tête une progression des apprentissages tout comme une progression des qualités physiologiques. Ce que ça veut dire concrètement : la séance est pensée en fonction de l’amélioration chez chaque individu. Un athlète ou nageur qui est présent aux trois sessions offertes (automne, hiver et printemps-été) bénéficie non seulement de l’aide des coachs au quotidien, mais d’une programmation d’entrainement en natation avec une visée de développement sur le long terme (base annuelle).
L’entrainement spécifique / Qualité vs quantité
Sans expliquer en long et en large les détails et fondements derrière les entrainements qui sont offerts aux nageurs, ces derniers respectent d’une part les principes de périodisation et de planification annuelle. Autrement dit, on ne travaille pas de la même manière à la session d’automne qu’on le fera à la session de printemps-été. La session d’hiver est en quelque sorte une période de transition entre les deux autres.
D’autre part, l’accent est davantage mis sur la « qualité » des entraînements que sur le volume. On entend souvent des nageurs parler avec fierté de la distance nagée par entraînement ou par semaine. Chez Capitale natation, le marqueur d’amélioration est davantage basé sur les gains en efficacité technique et en vitesse. Il va sans dire que le transfert vers l’endurance est pris en compte dans la planification et aura lieu au moment opportun (sessions de printemps et été).
Qu’est-ce que ça change pour moi ?
Un nageur qui s’inscrit pour une seule session y trouvera son compte (sur l’étendue d’une session). Ce dernier bénéficiera des conseils techniques des entraîneurs (dont une séance d’analyse vidéo avec rétroaction du coach), entrainement planifiés et structurés (répondant aux forces de chacun) et profitera de l’effet de groupe pour s’entrainer. Un nageur qui suit les trois sessions de Capitale natation verra ses capacités améliorées étant donné qu’il participe aux trois phases du développement (appelés macrocycles). Ainsi, la capacité à nager mieux (plus vite ou avec plus d’aisance, ou les deux) est assurée !
Pour conclure…
Que vous soyez nageur ou triathlonien, que vos objectifs soient de progresser en vous amusant, que ce soit sur le plan technique ou sur la base des qualités physiologiques, ou que vos objectifs soient de vous améliorer au point d’atteindre des objectifs de performance, il est clair pour moi (c’est le nageur qui parle ici) que vous y trouverez votre compte chez Capitale Natation. Des essais gratuits sont souvent offerts, ça vaut la peine de venir faire un essai ! (Mais attention : le plaisir risque de croire avec l’usage ;-))
Chaque année, environ un tiers des sportifs de 10 à 17 ans abandonnent la pratique d’au moins un sport, le plus haut taux d’abandon se produisant vers l’âge de 11-12 ans. Sept adolescents sur dix tournent le dos au sport à l’âge adulte, dont deux fois plus de filles que de garçons, selon le programme éducatif Respect et Sport.
Selon les recherches de Kino Québec, les blessures ne sont pas la cause première d’abandon. Ce serait plutôt le sentiment de ne pas être à la hauteur et la baisse des performances découlant de blessures.
MAINTENANT, PARLONS NATATION
Ce n’est plus vraiment un secret, nous avons lancé Capitale Natation il y a maintenant six mois. Le club est jeune, dynamique, mais surtout différent (entre autres, grâce à l’analyse vidéo sous-marine et au coaching). Ce service parle beaucoup aux adultes. De facto, nous voulons un club complet qui réunira jeunes et adultes. Donc, à la question: qu’est-ce qui s’en vient? Voici la réponse.
Nous lancerons en septembre le CNNC, le premier club de natation non compétitif au Québec. L’idée de lancer ce club nous est venue d’un long questionnement. Loin de vouloir démoniser la compétition, nous désirons lui retirer un peu de son importance.
LA PRESSION… OU PAS
À la suite de nos recherche, un dénominateur commun nous a frappés : les nageurs sont tous poussés vers la compétition et la pression est énorme. L’attention dans les clubs est mise sur les meilleurs nageurs. La pression de performer, l’obligation de se comparer et le stress qui s’y rattache pèsent sur les athlètes. Par ailleurs, une fois que le jeune a réussi son junior 10, au Québec, aucune structure non compétitive ne lui est proposée. Il entre dans le moule et doit suivre la parade du chronomètre.
Soit dit en passant, nous sommes très conscients que les compétitions sont une étape dans le développement d’un athlète. La création du CNNC viendra simplement ajouter une option différente dans un paysage qui peut varier. Nager pour le plaisir de s’améliorer, nager pour battre ses propres temps.
Croyez-vous qu’il est possible de développer un nageur aussi performant sans ces contraintes externes? Nous y croyons fortement.
NOTRE STRUCTURE
Nous organiserons deux fois par année une compétition optionnelle pour tous nos nageurs. Elles serviront de motivation pour nos jeunes et nos adultes. Elles seront intra-muros et ne seront aucunement obligatoires.
La vision de coaching de Capitale Natation restera la même : deux entraîneurs présents, actifs et dynamiques lors des séances. Les entraînements auront comme objectif la vitesse et la technique, mais on ne vous donnera pas notre recette! ?
La première session débutera le 14 septembre 2020 et se déroulera dans cinq différents bassins de Québec, selon 13 plages horaires variées.
Finalement, nous laisserons tout simplement nos jeunes être des enfants. Après tout, le sport est un loisir. Ces jeunes n’atteindront probablement jamais les Jeux olympiques, alors que le plaisir associé à la pratique sportive les accompagnera toute leur vie.
Les pré-inscriptions ouvrent sont ouvertes et nous accueillerons 70 jeunes en septembre.
Pour lire plus d’information sur Capitale Natation rend toi ICI
Fondateur et entraîneur chef Capitale Triathlon / Capitale Natation
Diplômé de l’institut national du sport
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réf
Thibault G (2011). Conférence au congrès Le rendez-vous des entraîneurs 2011; Sherbrooke. Comité scientifique de Kino-Québec (2011)
L’activité physique, le sport et les jeunes – Savoir et agir. Secrétariat au loisir et au sport, ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, gouvernement du Québec. Avis rédigé sous la coordination de Gaston Godin, Ph.D., Suzanne Laberge, Ph.D., et François Trudeau, Ph.D., 104 p.
Développer un athlète peut s’avérer un beau casse-tête. Entre la vision des fédérations provinciale et nationale et celle de l’athlète, il y a aussi celle des parents. Quand une entité développe des athlètes de pointe en grande quantité, nous avons tendance à croire que la recette « miracle » ou la façon de faire est la bonne.
Mais cette façon de faire convient-elle à tous les athlètes? Est-elle optimale? Et si nous étions complètement à côté de la plaque?
Comprendre la demande énergétique d’un triathlon… et le développement du triathlète
Un triathlète performera sur des épreuves de moins de 45 minutes jusqu’à l’âge de 15 ans. Il passera ensuite à la distance sprint, qui varie entre 50 et 65 minutes, selon les parcours. Le triathlète touchera à la distance olympique à l’âge de 18 ans, qu’il parcourra entre 1h45 et 2h10.
Un entraîneur servira bien sûr à doser la charge d’entrainement. En faisant le suivi du taux de croissance des athlètes et en ajustant les entraînements, l’entraîneur pourra mettre en place des programmes appropriés au développement de l’athlète. Cela permettra également d’éviter une spécialisation précoce et assurera une fondation solide avant de passer à des volumes d’entraînement supérieurs lors des phases de spécialisation du développement à long terme de l’athlète (DLTA). Malheureusement, dans peu de cas, l’entraîneur veillera à ce que son athlète touche à d’autres sports et développe d’autres habités. La peur de perdre la perle rare au détriment d’un autre sport, peut-être? Je vous laisse y réfléchir.
Il existe peu, voire aucune documentation qui démontre qu’être soumis tôt dans la vie à des programmes d’entraînement stricts destinés à développer les éléments aérobiques de base est bénéfique pour l’athlète. Les objectifs auxquels donner priorité seraient donc de développer les habiletés motrices, améliorer la coordination et favoriser le dépassement.
Que se passe-t-il entre 17 et 19 ans?
Majoritairement, un.e triathlète qui se développe pour les standards internationaux les atteindra entre 19 et 23 ans. Paradoxalement, nous perdons, au Québec, la majorité de nos athlètes élites entre 17 et 19 ans, période coïncidant avec l’entrée au cégep.
Est-ce dû à une spécialisation trop rapide? Est-ce que les attentes envers l’athlète étaient trop grandes et il aura subi une trop grande pression? Est-ce que la grande charge d’entraînement spécifique aura contribué à décourager l’athlète? Est-ce que le nombre prématuré de répétitions et peut-être mal faites auront contribué à sa blessure?
Toute cette réflexion m’amène à croire au ralentissement du développement de l’athlète. Le triathlon est un sport à développement tardif, les habiletés doivent s’acquérir progressivement. Des bases solides permettront d’éviter les blessures. Le juste dosage de la quantité d’entraînement permettra également de maintenir l’athlète motivé longtemps. Enfin, le ralentissement de la progression assurera une pointe à un âge logique et mature.
Francis Bachand
Diplômé de l’Institut national du sport — Fondateur Capitale Triathlon et Capitale Natation
Références:
Naughton, G., Farpour-Lambert, N., Carlson, J., Bradney, M. & Van Praagh, E. (2000). « Physiological Issues Surrounding the Performance of Adolescent Athletes », Sports Medicine, 30 (5), 309-325
Grice, T. (2003). « The Development of KidTest 2002 update: A Talent Identification Inventory for Predicting Success in Sports for Children », Applied Research in Coaching and Athletics Annual, 18, 229-247
La relâche est souvent un excellent moment afin de travailler la technique et favoriser l’apprentissage. Nous avons le temps de bien faire les choses et les jeunes ont du repos! Préparer sa saison en s’arrêtant sur les améliorations techniques possibles fera partie intégrale du camp.
Plus de 4 entraîneurs s’occuperont des différents groupes.
6 à 11 ans groupe débutant
6 à 11 ans groupe avancé
12 à 17 ans groupe débutant
12 à 17 ans groupe avancé
L’ENDROIT
Le camp se tiendra une fois plus cette année à l’école Saint-Jean-Eudes. La piscine Bourg-Royal , la coursive et la salle de musculation se retrouvent donc aux mêmes endroits, facilitant ainsi la gestion.
Chaque jour, natation, course, musculation, habileté, film et plaisir! Un service de garde est aussi disponible pour les plus petits.
L’HORAIRE DES CAMPS
Triathlon 10h00 à 16h15
Natation 13h30 à 16h15
Service de garde offert de 7h30 à 17h15
C’EST POUR QUI?
Nul besoin de faire de Capitale Triathlon ou des Condors pour vous inscrire à ce camp. Il est ouvert à tous. Le camp offre, à la carte, une option natation, une option triathlon, et une option service de garde.
Nous vous avions promis une grande annonce, la voici!
ATTENTION : Les inscriptions ouvrent le dimanche 17 novembre, 12h. Nous avons 30 places au Powerwatts et 70 places à la natation.
NOUVEAU CENTRE D’ENTRAÎNEMENT LES SAMEDIS MATIN
L’équipe d’entraîneurs en rêvait, un centre d’entraînement qui regrouperait enfin les athlètes Capitale Triathlon et les programmes jeunesse scolaire, Condors et Mini-Condors… Finalement, le voici! 🙂
L’entraînement du samedi matin se tiendra désormais à l’école Saint-Jean-Eudes. Nous aurons accès à la piscine Bourg-Royal de 7h15 à 8h30 pour ensuite offrir deux options : course extérieure par intervalles ou circuit musculaire en salle.
Les petits auront aussi leur piscine! Les jeunes de 6 à 12 ans s’entraîneront dans le bassin de 20 mètres. L’entraînement de course se fera par la suite sur la coursive intérieure de l’école.
CAPITALE NATATION… 12 PLAGES HORAIRES
Dans le même ordre d’idées, le développement de Capitale Natation se poursuit. Nous offrons dès janvier neuf plages horaires en plus des trois plages du programme Tri-Mini.
VÉLO POWERWATTS, DÉJÀ UN CLASSIQUE
Les entraînements de vélo PowerWatts sont très populaires. Nous conservons le même horaire du mercredi et ajoutons le dimanche.
Nous tenons à remercier l’école Saint-Jean-Eudes pour son ouverture et son accueil.
Longue vie à ce partenariat et une belle session à tous!
Capitale Natation terminera avant les Fêtes sa première session. Un total de 60 athlètes a joint le club en octobre dernier. On jase dans cet article de cette première session, du fondement et de ce qui s’en vient pour le club!
L’objectif est simple : nager moins, nager mieux. Deux entraîneurs présents à chaque entraînement ont assuré un progrès technique pour nos athlètes. Oh, et n’allez pas pensé qu’on les entraînements sont faciles 🙂
La session de 12 semaines était séparée en quatre blocs de développement comprenant chacun des objectifs précis. L’approche individualisée aura été payante pour tous nos athlètes.
Comment se déroule une analyse vidéo?
Le bloc de trois semaines d’analyse vidéo est du solide. N’allez pas penser que nous ne nageons pas et que nous ne faisons que filmer durant ces trois semaines.
Un corridor est consacré à l’analyse et le reste du groupe suit l’entraînement avec l’autre entraîneur. L’analyse se fait en trois points de vue : sous l’eau, de face et de côté ainsi que de face sur l’eau.
La rétroaction sur vidéo est sans aucun doute l’outil le plus apprécié en piscine. Chaque athlète a reçu une analyse vidéo dans laquelle l’entraîneur a écrit et discuté des points à améliorer et de la façon de s’y prendre.
À raison de deux entraînements par semaine, il faudra en moyenne cinq semaines à un athlète afin de corriger ou améliorer une technique.
La session hiver
La prochaine session sera séparée de la façon suivante :
3 semaines de développement technique
3 semaines d’analyse vidéo
4 semaines de confirmation technique
Chacun des blocs et des entraînements comprend un objectif physiologique. La prochaine session est séparée en deux blocs de 10 semaines. Les athlètes peuvent s’inscrire pour les 20 semaines.
En conclusion
Comprendre son erreur technique est facile. Savoir se donner les outils, la capacité et le temps de la corriger est sage.
Restez connecté, de grandes nouvelles seront annoncées très bientôt pour Capitale Natation! ?
Je me suis penché sur une question très générale, mais qui touche plusieurs personnes. « Qu’est ce que je devrais prioriser d’ici ma saison 2020 afin de m’améliorer? »
Évidemment, on me dira que la réponse devrait être individuelle. L’article se terminerait donc là… ben non! Je ne parle pas de physiologie, mais bien de choix et de temps passé à l’entraînement.
Priorité no 1
Une séance de natation encadrée par semaine est à mon sens le minimum. Une rétroaction filmée, voire une rétroaction démontrant le bon mouvement à effectuer est un atout.
Priorité no 2
Un plan d’entraînement. Qu’on adhère à un plan générique ou au coaching privé, il faut appliquer une certaine rigueur et suivre un plan pour assurer une progression et un sommet de sa forme (peak) au bon moment.
Priorité no 3
Le plaisir. Quand on enlève cette variable de l’équation, c’est la fin. Je ne dis pas que tous les entraînements seront une partie de plaisir et que la souffrance ne sera pas présente. Simplement, il faut trouver plaisir à se dépasser. Se trouver un club, une gang ou des amis avec qui s’entraîner, qui nous inspirent et nous tirent vers le haut, est une bonne motivation.
La même recette = la même saveur
S’initier au triathlon ou viser une meilleure performance à une prochaine compétition nécessite assurément du temps, de la sueur et de l’inconfort. À recette égale, le goût de la prochaine saison restera probablement le même. Il faut cibler ce qu’on ne fait pas et ce qu’on aime le moins et le placer en PRIORITÉ.
Nous avons décidé de vous expliquer en détail les objectifs des différentes options d’entrainement avec Capitale Triathlon pour la session automnale. On est de même, nous autres!
Les athlètes du club peuvent compter sur une offre de service complète dans les trois sports. Un total de sept entraînements par semaine est offert.
LE MERCREDI VÉLO ET MUSCULATION CHEZ POWERWATTS
Objectifs: Développement de la PAM et technique de pédalage
Un cours à 18h15 et un cours à 19h30
Les mercredis soir sont consacrés au développement vélo. La salle d’entrainement possède 10 bases fixes avec vélo de route ajustable. Les athlètes inscrits au cours auront accès à une musculation core et stabilisateurs avant ou après leurs entraînements. L’inscription aux mercredis Powerwatts donne également accès gratuitement aux séances free ride du dimanche, 14h. Les athlètes pourront aussi s’entraîner gratuitement dans toutes les séances libres de trois rouleaux du Powerwatts Lebourgneuf et Saint-Augustin.
LA COURSE DU SAMEDI EN SENTIER OU SUR ROUTE
Objectifs: Technique et intervalles courts sur route, développement de la VAM. Technique et développement de la VAM en sentiers. Et aller prendre un café après la course! 🙂
9h30 LAC-BEAUPORT
L’entrainement de course du samedi est un classique au centre Le Saisonnier. Une option en sentiers ou encore une option technique et intervalles sur route sont offertes.
LA NATATION
Objectifs: Entraînement technique avec rétroaction visuelle et correction. Développement de la VAM.
Capitale Natation offre quatre plages horaires, en plus de deux plages pour les 6 à 12 ans avec le programme Mini Condors. Ces entraînements sont axés sur la correction et la rétroaction. Une analyse vidéo par session sera réalisée pour chacun des athlètes.
C’est le 13 septembre prochain que la première session de Capitale Natation sera lancée. Nous recevons une demande de plus en plus spécifique d’encadrement des triathlètes. Les besoins techniques et les entraînements parent-enfant seront donc au cœur du développement des nageurs.
La Force d’un club privé, le fondement.
La bonne technique nécessite une implication et de la rétroaction. Capitale natation s’engage dans un nouveau processus. Une analyse vidéo individuelle par session, un profil d’athlète unique avec conseils personnalisés.
CORRECTION, RÉTROACTION ET ANALYSE VIDÉO
Chaque séance sera donnée par deux entraîneurs, qui auront une approche orientée sur la rétroaction.
Une analyse technique individuelle par vidéo sous-marine sera réalisée pour chacun des athlètes, et ce, chaque session.
Un profil d’athlète sera partagé sur l’application du club et des conseils techniques personnels s’y trouveront.
PARENT-ENFANT :
Les entraînements en début de soirée (ou fin d’après-midi) et du samedi matin comprendront un volet Junior débutant (de 6 à 11 ans). Il sera ainsi possible pour un parent de s’entraîner en même temps que son enfant, dans deux groupes différents ayant chacun son entraineur et ses objectifs de développement. Un groupe Junior intermédiaire et avancé ainsi qu’un groupe Adulte seront offerts à chacun des entraînements.
UN HORAIRE HARMONISÉ POUR LES TRIATHLÈTES :
Parce que les triathlètes ont souvent plus d’un entraînement à leur horaire quotidien, une séance matinale en semaine est prévue, en plus de celle du samedi matin. Deux séances seront aussi proposées en fin d’après-midi afin d’offrir quatre entraînements de natation par semaine.
LA TARIFICATION :
Il sera possible de nager deux fois par semaine pour 195$. Bien que vous deviez sélectionner vos journées d’entraînement, vous pourrez les modifier pendant la session. Il sera également possible de choisir le forfait illimité pour 245$. Le combo avec la course ou le vélo sera aussi disponible à tarif avantageux.
Basée sur la force du groupe, l’équipe de coachs natation est très impressionnante : Christian St-Pierre, Francis Bachand, Alexandre Deschamps,(eau libre) Stéphanie Rathel et Louis-David Trudel.
DES RABAIS FAMILIAUX :
Toujours soucieux d’accommoder les familles, le club offre un rabais de 10% applicable au deuxième membre de la famille, et de 20% pour les familles de trois membres et plus.
UNE CONTINUITÉ SCOLAIRE :
Les jeunes athlètes peuvent compléter leur développement avec le programme parascolaire des Condors Natation et Condors Triathlon à l’École secondaire Saint-Jean-Eudes.
Le contact humain, le sentiment d’appartenance, la proximité des entraîneurs et le développement technique sont au cœur du développement de Capitale Natation!
Évidemment, comme tout bon club sportif, nous avons tenté le coup. Nous avons tenté de mettre sur pied notre sport-études afin de nous conformer à la tendance et développer rapidement des athlètes de qualité. Mais cette qualité rapide, genre de « fast Food » de la production d’athlète, a-t-elle un prix?
Le sport-études a la cote et c’est facile à comprendre. En plus de garder l’étudiant motivé, il facilite la logistique et l’horaire familial. Mais posons-nous un peu la question : pourquoi vouloir développer si rapidement un athlète? En retire-t-il vraiment les bénéfices qu’on croit?
D’où provient le sport-études
Les premiers programmes sport-études nous viennent de la France. En 1960, après les résultats catastrophiques enregistrés lors des Jeux olympiques de 1960 et de 1964, collèges et lycées travaillent ensemble afin implanter des établissements scolaires offrant un programme sports-études.
Au Québec, il existe plus de 600 programmes sport-études. « Ces programmes visent à soutenir des élèves athlètes, identifiés par leur fédération, dans la pratique de leur sport et dans la réussite de leurs études au secondaire. » (Source : ministère de l’Éducation)
Je suis curieux de nature, j’ai fait une petite recherche pour me rendre compte qu’en triathlon, moins de 3 % des élèves admis en sport-études étaient ciblés par la fédération.
La vérité
Mis à part les sports à développement hâtif (et je vais y revenir), je ne vois pas pourquoi il faut se presser à développer un jeune dans un sport à un rythme de trois heures de spécialisation par jour. Selon moi, à ce rythme, on étire simplement l’élastique. Le risque que le jeune se tanne plus rapidement de son sport ou qu’il se blesse prématurément est accru.
De plus, il est important que le jeune comprenne que les journées de huit heures où il sera en mesure d’intégrer son travail, son sport et son transport, ça ne fait tout simplement pas partie la réalité. De ce fait, le passage au cégep est catastrophique : selon Statistique Canada, au terme du secondaire, 9 filles sur 10 ne répondent pas aux normes canadiennes en matière d’activité physique (1) * Les jeunes sportifs passant du secondaire au cégep décrochent à un rythme alarmant.
Quand notre objectif est de développer des athlètes et qu’on apprend qu’un aussi grand nombre d’entre eux décrochent du sport au cégep, il y a lieu de quoi se poser de sérieuses questions sur notre façon de faire, non?
Et les sports à développement hâtifs, eux?
Je vais me contenter de vous faire réfléchir sur la pertinence d’envoyer un(e) jeune de 13 ans aux Olympiques en gymnastique…
La Charte des Jeux olympiques est claire ; ce n’est pas le Comité international olympique (CIO) mais les fédérations internationales de chaque sport qui sont compétentes pour établir les règles relatives à l’âge. (2) *
Le développer plus « lentement » en assurant des bonnes bases physique et psychologique ne serait-il pas plus sensé? Imposer une fenêtre d’âge de participation aux Olympiques ne serait-il pas un beau cadeau à faire à nos enfants athlètes? Sans me lancer sur un autre débat, les statistiques sont claires, 7 athlètes sur 10 souffriront d’une dépression sportive post olympique. Était-il préparé? Avons-nous eu le temps de le préparer? (3) *
Allier développement sportif et diplôme… n’est-ce pas une belle façon de leur montrer que leurs études sont aussi importantes et de préparer leur après-carrière, non?
La solution…
La solution est, selon moi, très simple : Revoir complètement le fondement du sport étude. Revoir les objectifs et l’horaire. Le parascolaire et les profils spécialisés offrent depuis quelques années un excellent compromis. Ces programmes proposent des horaires intéressants, mais surtout réalistes.
Bon, je vous laisse, je dois aller entraîner mes athlètes à devenir plus rapide… tranquillement!
Vous êtes triathlète et vous voulez sortir des sentiers battus? Votre jeune veut s’initier au triathlon mais est davantage intéressé par le vélo de montagne et la course en sentier que la pratique sur route? Triathlètes débutants ou avancés, le volet Xterra de Capitale Triathlon est pour vous!
Les samedis matin, le tout nouveau Centre d’entraînement extérieur de Capitale Triathlon vous offre :
– Nage en eau libre au lac Delage (dès le début juin)
– Pratique sécuritaire du vélo en sentier (vélo de montagne requis) et apprentissage d’habiletés techniques
– Jogging en sentier (immédiatement après le vélo de montagne)
– Entrainements ciblés pour les participants aux activités de triathlon hors route (Xterra, Cross triathlon)
Seul préalable : avoir un vélo de montagne en bon état et ne pas avoir peur de la boue 😉
Les entrainements se dérouleront dans le sentiers de E47 à Lac-Delage. Cet emplacement est idéal car il est annexé au lac et permet la pratique du vélo de montagne tout comme la course en sentier.
Inscriptions par ici : https://capitaletriathlon.com/produit/samedi-triathlon-centre-dentrainement-exterieur-lac-delage/
Pour toute question, vous pouvez vous adresser à notre coach responsable du volet hors route, Christian St-Pierre, en écrivant à: xterra@capitaletriathlon.com
Un camp d’entrainement… construction ou destruction?
La saison des camps d’entrainement bat son plein. Les triathlètes nord-américains s’évadent généralement vers la chaleur et le soleil question d’accumuler les kilomètres de vélo, de course et de natation.
Un camp d’entrainement est sans équivoque un plus dans une planification de saison. Il permet à l’entraineur de placer une base de volume en endurance fondamentale*. Parce que le triathlète n’a pu placer le volume souhaité sur le vélo dans la saison hivernale, la prédominance du camp sera généralement sur le vélo. Il est aussi facile de comprendre que l’augmentation du volume à vélo a moins de chances de causer de blessures à cause de son mouvement concentrique, sans impacts.
Un camp se veut aussi une excellente occasion de prendre le temps de corriger quelques lacunes techniques à la natation et à la course. Les vieux routiers vous parleront de quantité de volume; moi, je vous parle de qualité d’entrainement. Répéter un geste mal fait 10 000 fois ne vous fera pas avancer plus vite. Et c’est sans parler des risques de blessure.
Attention à la zone…
L’effet de groupe a du bon mais peut aussi causer du tort. Il sera probablement très tentant de suivre les athlètes plus rapides que vous. Une, deux ou trois journées et ce sera la panne sèche. Le volume (temps d’entrainement) passé en camp doit se faire en grande partie en zone 1 et en zone 2. Ces zones, nommées aérobie de base, solliciteront le système aérobique, utile aux sports d’endurance. La sagesse de rester dans ces zones cibles vous donnera la chance d’accumuler plus de kilomètres avant la fatigue.
Le retour, la récupération et la consolidation
Le camp se terminera et vous serez de retour dans la routine. Une surcharge de 500% en volume (heures d’entrainement) et les vols souvent longs auront assurément causé leur lot de fatigue. Vous devrez, pour consolider ces belles heures d’entrainement, vous accorder un repos. Je recommande généralement à mes athlètes une semaine de récupération incluant au minimum deux journées de repos consécutives. Le retour des séances de qualité telle une séance de PAM* pourra se faire progressivement, vers la fin de la semaine.
La fatigue sera différente pour chacun. Soyez à l’écoute de votre corps et assurez-vous de bien récupérer. Votre saison en sera améliorée.
Pendant la session printemps-été chez Capitale Triathlon, vous profiterez :
D’un développement évolutif, avec les mêmes entraîneurs deux fois par semaine. D‘entraînements structurés, encadrés et réfléchis pour permettre aux athlètes de tous les niveaux de progresser.
Les quatre entraîneurs responsables des différents groupes dès le 15 mai vous expliquent à quoi ressemblera leur session :
Thomas Têtu Adultes courte et longue distance
Les principaux objectifs de la session seront :
(re)prendre ses repères en natation en eau libre
prendre ses repères sur l’enchaînement des trois disciplines
augmenter progressivement le volume d’entraînement jusqu’aux premières compétitions
« Que vous participiez à votre premier triathlon (court ou longue distance) cet été ou que vous souhaitiez simplement vous entraîner pour le plaisir, vous vous sentirez à votre place. N’hésitez pas une seule seconde à venir vivre des séances de qualité dans un cadre sécuritaire. »
Christian St-Pierre Xterra
« Vous prévoyez participer à un cross-triathlon ou un Xterra, ou tout simplement vous entrainer en hors-route? Le volet Xterra est pour vous! Ce volet, qui en est à sa deuxième année, permettra aux participants de progresser en triathlon hors route (nage en eau libre, vélo de montagne et course en sentier). Les entrainements permettront de développer des habiletés sur le terrain mais aussi d’apprendre les trucs et les stratégies qui font la différence dans cette discipline. Le tout se déroulera les samedis matin et mercredis soir dans le plaisir et la camaraderie, mais en intégrant une fonction entrainement et dépassement de soi. Le préalable pour ce volet est d’avoir un vélo de montagne en bon état et de ne pas avoir peur de se retrouver dans la nature avec une gang super trippante! 😉 «
Francis Bachand Jeunes de 12 à 17 ans
« J’aime que les jeunes développent leurs habiletés en comprenant l’importance de la qualité d’exécution. J’aurai la chance de voir mon groupe deux fois par semaine, ce qui assurera une progression optimale et du solide plaisir! Les jeunes de tous les niveaux sont les bienvenus. »
Louis-David Trudel Jeunes de 7 à 11 ans
« Que votre enfant débute en triathlon ou qu’il soit initié, il trouvera dans mes entraînements la motivation pour se développer dans un esprit de camaraderie. Les séances sont construites pour que chaque enfant progresse à son rythme, peu importe son niveau, et ce, tout au long de la session. Et bien sûr, le plaisir reste la priorité de l’été! »
Il y a un an, je sortais de Forces canadiennes pour m’occuper de mon entreprise, Capitale Triathlon. J’étais loin de me douter du genre d’année qui m’attendait. Les défis sont nombreux et c’est positif. Voici les grandes lignes de 2018 mais surtout… mes souhaits pour 2019!
Les faits marquants de l’année :
L’acquisition des Salons de la course à pied et du triathlon m’a permis d’évoluer comme entrepreneur-entraîneur.
Parce qu’il faut savoir s’ouvrir et toujours apprendre, l’Institut national du sport contribue chaque semaine à rehausser mes connaissances de coaching.
Mes souhaits pour la prochaine année :
Passer plus de temps avec mes athlètes. Être à l’entraînement et les voir évoluer, peu importe leur vitesse, me stimule énormément;
Que l’édition 2019 du Triathlon Duchesnay soit un grand succès avec une première série Grand prix et Coupe Québec U15 et U13;
Qu’à moyen terme, les Salons de la course à pieds et du triathlon deviennent la référence au Québec et marquent, de façon dynamique, le lancement de la saison de compétition;
Que notre sport, le triathlon, continue de gagner en popularité et en accessibilité;
Que tous les athlètes gardent cette belle folie qu’est le dépassement de soi par l’atteinte d’objectifs.
À toi, l’athlète :
Je te souhaite de te trouver un défi réaliste mais aussi motivant. Depuis trois ans, on parle beaucoup du processus et du bonheur dans l’entraînement. Cette année, il serait peut-être temps que ton défi ait le bonheur de te sortir de ta zone de confort… On jase, là!
Dans la vie, souhaiter, c’est du rêve. Pour bâtir tes ambitions et avoir des souvenirs, il ne faut pas que rêver, il faut accomplir.
Cet hiver, Capitale Triathlon fait rimer entraînement avec plaisir!
La session hiver 2019 de Capitale Triathlon se déroule sur 18 semaines, du 7 janvier au 12 mai. Voici ce qui vous est proposé :
Le volet course aura lieu à l’extérieur, les samedis matin, au Collège Mérici. Quel meilleur terrain de jeu que les Plaines et les escaliers du Cap-Blanc?
Divisée en trois blocs de six semaines, la session est bâtie pour amener chaque athlète à progresser à son rythme. Les groupes seront formés pour respecter la vitesse de chacun.
Encore cette année, le club mise sur les entraînements parent-enfant. Nouveauté : les jeunes de 12 à 17 ans auront leur propre groupe, dirigé par coach Francis Bachand, et courront aussi à l’extérieur. Quant aux 7 à 11 ans, ils s’entraîneront bien au chaud à l’intérieur avec coach Alexandra Desbiens.
Le volet natation offre quant à lui neuf plages horaires dans quatre piscines différentes. De quoi plaire à tout le monde! Coach Sylvain Pineau, du Club aquatique Marlins de Québec, vous attend.
Et le spinning vous revient cet hiver! Les jeudis à 18h45, rendez-vous au Club Nautilus Lebourgneuf pour rouler et vous dépasser. Plaisir et garanti!
Pour commencer cette nouvelle année de belle façon, une petite surprise : les athlètes inscrits à la session de course d’automne 2018 et à celle de la session d’hiver recevront gratuitement le t-shirt Capitale Triathlon!
Nous désirons remercier nos partenaires pour la prochaine saison!
Comment bien gérer mon alimentation les jours précédant une course?
Les jours qui précèdent une course sont souvent une source de questionnements par rapport à l’alimentation. La charge d’entraînement diminue progressivement de manière à optimiser la récupération, si bien que la dépense énergétique n’est plus la même que sur une base quotidienne. Par contre, il importe d’arriver avec des réserves énergétiques optimales le jour de la course. Comment s’y retrouver et comment savoir si certaines stratégies comme la surcharge en glycogène sont utiles pour vous? Voici quelques lignes directrices!
Tous d’abord, les habitudes alimentaires que vous adopterez dans les jours menant à votre compétition dépendront grandement du type d’épreuve que vous vous apprêtez à faire. Il faudra dans tous les cas porter une attention particulière à votre apport en glucides puisque ces derniers représentent votre principal carburant à l’effort. Toutefois, vos besoins varieront selon la durée de votre épreuve. En effet, vos muscles disposent normalement d’une réserve de glycogène susceptible de soutenir un effort de 90 minutes et moins. Une alimentation normale avec un apport en glucides adapté à votre niveau d’entraînement vous assure donc de disposer de cette source de carburant. Toutefois, dépassé 90 minutes d’effort, le corps s’épuise si aucun apport énergétique externe n’est fourni. Bien des athlètes ont déjà frappé ce fameux mur lors d’une épreuve de longue durée. Le corps n’ayant plus accès à suffisamment d’énergie est alors incapable de maintenir l’intensité d’effort qu’on lui demande. Toutefois, il est possible d’optimiser nos réserves énergétiques en maximisant la quantité de glycogène que notre corps emmagasine dans les jours précédant une compétition. Cela nous donne alors une petite longueur d’avance. Cette stratégie est mieux connue sous le nom de surcharge en glycogène.
Pour les épreuves d’une durée moyenne de 90 minutes et moins, c’est-à-dire les triathlons de type découverte et sprint, de même que les courses de demi-marathon et moins, il n’y a pas d’intérêt à utiliser une stratégie de surcharge en glycogène. Dans les jours menant à votre épreuve, conservez simplement vos habitudes alimentaires usuelles. Si la faim est un peu moins importante parce que l’entraînement est moins intensif, il est tout à fait adéquat de diminuer votre apport énergétique. Une considération particulière doit être portée à votre alimentation la veille de votre épreuve. À ce moment, il est important de vous assurer que votre corps dispose d’une bonne disponibilité en glucides pour le jour de votre épreuve. Veillez donc à augmenter votre consommation de glucides la veille de la course en choisissant des aliments contenant peu de fibres ou de matières grasses pour ne pas encombrer votre système digestif. Il est inutile d’aller chercher des quantités aussi imposantes que lors d’une surcharge en glycogène. Essayez simplement de combler la moitié de votre assiette avec une portion de féculent aux repas et ajoutez des fruits ou un féculent dans vos collations.
Pour les épreuves s’échelonnant sur une durée de plus de 90 minutes, une attention plus spéciale devra être portée à votre alimentation durant les deux à trois jours précédant votre course. Ainsi, les athlètes préparant des triathlons longues distances tels qu’un 70.3 ou un Ironman bénéficieront assurément d’une stratégie de surcharge en glycogène. Les athlètes qui s’apprêtent à prendre part à un triathlon olympique ou un marathon sont également susceptibles de bénéficier de cette stratégie. Pour ce faire, il faut planifier une augmentation substantielle de l’apport en glucides dans les deux à trois jours précédant la course. On parle ici d’une consommation de glucides qui atteint de 10 à 12 grammes de glucides par kilogramme de poids corporel par jour. Cela fait beaucoup de glucides à manger! Afin d’éviter les inconforts digestifs, optez pour des produits céréaliers sans grains entiers et intégrez au quotidien des sources de sucres concentrés tels que le sirop d’érable, les jus de fruits, les bonbons, les boissons sportives, le lait au chocolat ou les fruits séchés. Sachez aussi qu’une consommation d’eau optimale doit accompagner la surcharge en glycogène. En effet, chaque gramme de glycogène est emmagasiné dans vos muscles en compagnie de deux à trois grammes d’eau. Pour assurer une bonne surcharge, il faut donc boire un peu plus et ne pas s’inquiéter si les chiffres sur la balance grimpent légèrement.
Bien des athlètes ont de la difficulté à visualiser ce que représente un apport de 10 à 12 grammes de glucides par kilogramme, si bien que leur consommation de glucides est parfois insuffisante pour réaliser une bonne surcharge en glycogène. Dans le doute, n’hésitez pas à consulter une nutritionniste spécialisée en nutrition sportive pour avoir un plan adapté à vos besoins.
Chez Capitale Triathlon, on reconnaît la chance qu’on a de pouvoir pratiquer le sport qu’on aime, qui nous fait vibrer et nous fait sentir vivant. Un sport qui peut aussi, ne nous le cachons pas, coûter assez cher parfois! Mais surtout, on reconnaît que chacun n’a pas la même chance.
Au Québec, 1 élève sur 5 ne déjeune pas avant de se rendre à l’école, en raison d’un accès inadéquat à la nourriture. Les répercussions d’une mauvaise alimentation peuvent suivre ces jeunes toute leur vie puisqu’ils seront plus sujets aux maladies chroniques et aux problèmes de santé mentale.
Pour cette raison, votre club est très fier de redonner au suivant en contribuant au Club des petits déjeuners. Comment participons-nous? D’abord, pour chaque inscription au Triathlon Duchesnay, 2$ est versé à l’organisme. Ensuite, un matin par mois, trois entraîneurs Capitale Triathlon se rendent dans une école défavorisée de la région pour servir les déjeuners aux élèves.
Nous sommes convaincus que de tels programmes ont un impact réel pour ces enfants qui doivent affronter des défis supplémentaires pour réussir. Aidons ces jeunes à se préparer un meilleur avenir. Car leur avenir, c’est un peu aussi le nôtre.
Oui, oui! Vous avez bien lu! Remarquant que l’engouement pour le triathlon hors route prend de plus en plus d’ampleur, Capitale Triathlon vous offre la possibilité de vivre le camp d’entraînement en Utah sur votre vélo de montagne, et en souliers à crampons!
Le camp Utah montagne, du 21 au 28 avril 2019, regroupera donc des cyclistes de montagne et des coureurs en sentiers. Inutile de préciser que le relief de Santa Clara se prête particulièrement bien à ces disciplines. Ce sera une excellente occasion de développer des habiletés techniques dans les trois sports et de profiter d’un entraînement cardio présaison.
Deux groupes, encadrés par des coachs d’expérience, seront formés selon la vitesse et la distance.
Une journée type se déroulera comme suit : entraînement en piscine le matin (optionnel pour les duathlètes), vélo de montagne en avant-midi et en début d’après-midi, puis course en sentiers en fin de journée (avant le repas du soir).
Ne ratez pas cette chance de venir vous amuser avec nous tout en vous entraînant dans un décor enchanteur!
C’est en septembre 2017 que j’ai pris la folle décision de m’inscrire à l’Ironman Wisconsin avec mon meilleur partenaire et des ami(e)s extraordinaires. Dès l’automne 2017, j’ai travaillé à bien récupérer et tenter de reprendre le plus d’énergie possible après une longue saison d’entraînement. En janvier 2018, le plan commence. Pour ceux qui me connaissent bien, le plan, je le suis à la lettre. Je veux mettre toutes les chances de mon côté pour relever ce défi de taille, le plus gros défi pour moi à ce jour.
Une année d’entraînement demande des sacrifices et une planification hors du commun. Travaillant à temps plein et étudiant au MBA en gestion d’entreprise à temps partiel, je me dois de trouver un équilibre de vie. Mon conjoint, s’entraînant également pour l’Ironman, m’aide aussi à atteindre cet équilibre. Pendant l’hiver, je mets l’accent sur la natation et le vélo. Chaque matin, je me lève très tôt pour faire un entraînement et parfois, je m’entraîne une deuxième fois après le travail et avant l’étude. Je crois pouvoir affirmer que ma force est la discipline. Je suis le plan et me maintiens en bonne santé.
Au printemps, j’ajoute du volume de course. Les jambes sont bonnes et je n’ai aucune blessure. La saison augure bien. Je débute avec le demi-marathon de Lévis où je réussis un PB. Ensuite, c’est le demi-ironman Eagleman où je réussis un autre PB. Ces deux performances me rendent super heureuse, je surpasse mes propres limites et je reste focus. Fin juillet, c’est au tour du Triathlon Duchesnay. C’est là que ça se gâche. La semaine précédant la course, je suis dans un sprint final d’études, car mon examen est le lendemain du triathlon. Je suis fatiguée et moins concentrée, j’ai même un peu peur de prendre le départ de la course. Je décide toutefois que cela me fera du bien et me changera les idées avant l’examen. Alors c’est un départ. Je fais la natation sans wetsuit sans aucune difficulté, j’embarque sur mon vélo le feu dans les yeux. Je réalise que je suis la deuxième femme. J’en profite donc pour maintenir ma cadence. Toutefois, imprudente, je prends un virage serré trop rapidement et la pédale intérieure au virage vers le bas. Mon pied touche le sol. À 36 km/h, je vole directement par-dessus mon vélo. Ça me prend quelques minutes pour comprendre ce qui s’est passé. Les bénévoles appellent l’équipe médicale et me disent que je dois m’arrêter. Là, je suis fâchée. Je n’ai qu’une idée en tête, j’étais la deuxième et je ne veux pas perdre cette position. Alors, cinq minutes plus tard, je repars. Je réussis à remonter jusqu’à la troisième position à la course à pied, mais me fais dépasser à 50 mètres de la ligne d’arrivée. Je finirai 4e.
Après avoir vu l’équipe médicale, la physiothérapeute, deux médecins et fait des radiographies, le verdict tombe : une grosse contusion au genou, un ligament partiellement déchiré et une bonne commotion cérébrale. Je passe plusieurs jours couchée à pleurer et penser que c’est terminé pour moi l’Ironman.
Cela me permet toutefois de réfléchir longuement à l’accident. Je réalise que, pour la première fois depuis que je fais du triathlon, je n’ai pas fait ma course pour les bonnes raisons. J’ai pensé à la position uniquement, sans penser à ma santé et les risques qu’entraîne le fait de courir après un choc à la tête. Je n’ai pas souri durant la course. Je n’ai pas salué les spectateurs. J’ai terminé fâchée de m’être fait dépasser. J’ai été très déçue de moi-même à ce moment. Ce n’est pas facile de l’admettre aujourd’hui, mais je n’aurais pas dû continuer. Je fais du triathlon pour m’amuser, mais à ce moment précis, je ne m’amusais pas. Cela m’a fait énormément réfléchir. Merci à mon conjoint qui m’a également remise sur le droit chemin en me disant que, si je n’avais plus de plaisir, on arrêtait maintenant.
Je ne suis pas une athlète professionnelle, j’ai toujours fait du sport pour me garder en santé, m’amuser et faire de belles rencontres. Je fais du triathlon pour garder un équilibre entre ma vie professionnelle et personnelle. Je crois aujourd’hui que personne n’est à l’abri de ce sentiment de vouloir gagner, mais je réalise que ce n’est pas moi et je ne veux plus ressentir ce sentiment malsain que j’ai eu lors de ce triathlon.
Donc une semaine après l’accident, je retourne travailler avec une canne et suis à la lettre les instructions de la physiothérapeute. Je fais un retour très progressif et surveille le moindre mal de tête afin de ne pas prendre de risque avec la commotion. Deux semaines plus tard, je retourne à vélo et commence la course en fractionné 5 x 1 minute… Les deux semaines qui suivent sont très mentales. Je sais ce que je suis capable de faire en entraînement, et je dois accepter d’être moins forte, moins rapide et moins endurante. Heureusement, le mental tient le coup. Je m’accroche à tout ce que je peux, du petit garçon traversant la rue devant moi, tout souriant malgré une prothèse au lieu d’une jambe. Je vois le neveu de mon conjoint devoir subir une amputation de la jambe à cause d’un cancer à l’âge de 23 ans seulement et se relever tel un vainqueur. Toutes ces personnes me donnent l’énergie nécessaire et la force mentale de me dire que, peu importe le temps, je peux faire ce que je fais. Je peux marcher de mieux en mieux chaque jour. Je peux faire du vélo et pédaler plusieurs kilomètres. Je m’accroche aux petites victoires au quotidien.
Je relève mes manches et retrouve ma discipline. Je me couche très tôt, car les journées de travail sont exigeantes et je ressens beaucoup de fatigue. Je mange bien, dors bien et respecte mon corps, ses limites et l’augmentation très graduelle des entraînements. Je fais mes exercices de physiothérapie rigoureusement. J’accepte que certaines journées, je régresse et prends les petites victoires avec un grand sourire.
Trois semaines avant l’Ironman, ma physiothérapeute me confirme que c’est officiel, je peux prendre le départ. La natation va bien, le vélo est moins rapide, mais va bien aussi et la course sera à prendre au fur et à mesure. Elle me parle beaucoup et j’accepte qu’il y ait une possibilité que je marche mon marathon. J’avais un objectif de temps en tête il y a un mois; maintenant, mon seul objectif est de franchir la ligne d’arrivée en santé et avec le sourire! Les journées se suivent, mais sont toutes différentes. Parfois, le fait de réussir un peu de fractionné à la course est digne de la plus grande victoire et me rend heureuse. D’autres fois, me rendre compte que je manque de force en montant une côte à vélo m’enrage et me déçois. Chaque fois, je tente de me conditionner à voir le positif. Je dois également faire attention à mes maux de tête, ce qui me limite à me pousser lors d’efforts physiques et à atteindre des pulsations cardiaques trop hautes.
Deux semaines avant le grand jour, on décide mon coach et moi de tenter un peu de volume à vélo question de tester le corps, la tête et surtout le mental. Je me répète, mais ce dernier aspect est probablement le plus important dans un aussi gros défi. Mes deux tests qui ont lieu serviront à peaufiner cela! Je dois être attentive à mon corps et conserver mes efforts pour le jour J. Je dois accepter que ce ne sera pas ma performance physique qui importera et je dois surtout être intelligente afin de ne pas me causer des dommages qui pourraient ralentir davantage mon retour. Je fais beaucoup d’introspection. J’en discute énormément avec mon conjoint, ma soeur, mon coach et les professionnels autour de moi.
À une semaine de l’événement, j’atteins un certain niveau de rétablissement qui est définitivement au-delà de nos espérances initiales. Une tante à moi, malheureusement décédée aujourd’hui, m’avait déjà dit : « Tu sais, le mental et le positif sont pour beaucoup dans la vie. » Alors qu’on lui donnait six mois à vivre à cause d’un cancer, elle a contredit tous les médecins en vivant pendant plus de trois ans. Je ne compare pas ma situation à la sienne, car la mienne est plutôt banale. Mais ce mental dont elle parle, je crois l’avoir trouvé, là aujourd’hui. À quelques jours du départ, oui, j’ai des doutes, oui, je ne sais absolument pas à quoi m’attendre. Est-ce que mon corps tiendra le coup? Devrai-je marcher mon marathon? Pire encore, devrai-je m’arrêter? Je pense à tout cela, mais maintenant, je suis zen. Je ne suis pas stressée. Je sais que peu importe comment la journée ira, j’aurai tout fait ce qui est en mon pouvoir pour être ici et vivre ce magnifique événement.
Alors voilà, 9 septembre 2018, il est 4h et le cadran sonne. Je me lève en étant étonnée d’avoir aussi bien dormi! Je mange ce qui est prévu pour ensuite me diriger à l’endroit où l’on dépose nos sacs «special needs». Je rejoins par le fait même Valérie, mon amie avec qui j’ai développé une magnifique relation au courant de la dernière année et qui m’a beaucoup soutenue. Nous déposons nos sacs et direction zone de transition pour faire les derniers préparatifs vélo. Une fois le tout fait, un saut au marquage et je retourne à l’hôtel afin de prendre mon wetsuit pour ensuite me diriger au départ de natation. À partir de là, tout va très vite! Ma soeur, son copain et ma nièce arrivent pour me voir! On pleure d’émotion! Pour ceux qui ne savent pas, ma soeur me suit toujours sur internet en commentant de manière très détaillée mes journées. Elle me donne toute la motivation qu’il faut! Aujourd’hui, elle est présente, elle a fait toute la route juste pour moi et j’en suis extrêmement choyée et reconnaissante! Je sais qu’avec elle ici avec moi, rien ne peut être triste. Ensuite, ma meilleure amie arrive également, on pleure encore un peu 😉 Haha! Contrairement à la majorité de mes courses, ma famille est ici aujourd’hui et je le répète, je suis plus qu’heureuse!
Mon coach me rappelle qu’il faut partir! Haha! Donc Val et moi sautons la clôture pour nous rendre au devant du fil dans le départ 1h00 à 1h10. Quelques minutes passent et voilà, on entre dans l’eau! Un dernier « bonne journée » et c’est parti. Je me retrouve dans le silence, le calme, car dans l’eau on n’entend pas la foule qui crie tout près. Je suis très confortable. Je prends mon rythme et me concentre sur tout ce dont mon coach Sylvain m’a appris cette année. Je prends le temps de faire mes tractions, de glisser et surtout d’y prendre plaisir, car oui, je suis bien dans l’eau. Le retour de la boucle est un peu plus difficile, des vagues empêchent de bien voir les bouées, donc je dois me repérer plus souvent. Ce n’est pas grave, j’ai vu pire et comme prévu, j’arrive à la toute fin en étant en forme et sans avoir trop forcé!
Je sors de l’eau le sourire aux lèvres et je pars vers la transition. La foule est complètement hallucinante! Dans la montée en cercle du stationnement à étages, des centaines de personnes sont regroupées et crient : Let’s go! Je croise ma soeur juste avant d’entrer dans le bâtiment pour me changer! J’enfile mon gilet de vélo, je prends mon casque et mes souliers et hop! je ressors. Petit arrêt pause pipi et je prends mon vélo pour partir pour ce 180 km. Je croise Val à la zone d’embarquement! Je lui crie des encouragements et c’est un départ pour la seconde partie. La première boucle est un peu difficile, j’ai peur un peu dans les virages. Le parcours n’est pas très rapide. Lorsque c’est relativement plat, nous avons un bon vent et lorsque ça descend, ça tourne beaucoup alors on doit freiner. Je prends mon temps et je teste mon genou pour bien l’échauffer. À la mi-parcours, je croise ma famille qui a pris la navette pour se rendre à Vérona, avec la poussette et tout! Je suis aux anges et ça me donne littéralement des ailes. J’entame mon deuxième tour avec beaucoup de motivation. Tout le long, je m’assure de bien manger, suivre le plan de ma nutritionniste et bien boire. La deuxième boucle passe plus vite que la première malgré le vent qui augmente. Les montées sont fantastiques, car des groupes de centaines de personnes se tiennent de part et d’autre et l’espace d’un moment, je me sens comme une star du Tour de France! Je souris à tout le monde et je prends beaucoup de plaisir! Plus que quelques kilomètres et me voilà arrivée à la transition! Je descends de mon vélo, cours changer de chandail, je prends casquette et dossard et je fais une deuxième pause pipi! Depuis le km 40 à vélo que je me retiens et j’ai l’impression que ça dure cinq minutes! Haha!
Enfin, la partie croustillante : la course à pied. En commençant, je croise ma soeur et Antoine. Ma soeur pleure de me voir, elle me dit que je suis belle et bonne et qu’elle est fière de moi. J’ai le coeur gros, elle est là, je n’en reviens pas chaque fois que je la croise. Le premier 10 km, je pense à ma famille tout en suivant mon plan à la lettre. Je cours entre les ravitos et je marche le long des tables. Cela a pour objectif de limiter le stress sur mon genou et de m’assurer de bien manger et m’hydrater pour limiter mes maux de tête. Aux premiers ravitos, je n’ai pas envie de marcher et ça me prend une force mentale pour suivre ce plan. Je sais par contre que ça me sera bénéfique plus tard. Contrairement à Duchesnay, ici, je souris et je sourirai tout le long de ce marathon! On me dit plusieurs fois : «Nice smile, keep going!» et cela ne fait qu’augmenter mon sourire. Je croise mon coach, Karim, qui me rappelle de bien suivre le plan. Je croise Sylvain et Joce dans ma première boucle. Au demi-marathon, je revois ma famille, on se parle un peu. Ça va toujours bien! La fatigue commence à se faire sentir, mais le moral est là et il restera! Il fait un peu chaud, je m’assure de me garder refroidie avec les verres d’eau sur la tête! Au km 23, je croise Francis que me dit que je suis 15e et que si je garde le pace, je peux monter de quelques places. Je suis heureuse, mais je sais que je dois continuer ma stratégie de marcher mes ravitos, alors je continue. Je croise Benoit qui est en plein milieu du parcours et apparaît pour nous encourager! Je croise Val, Mylène, Isa, Joce Ducharme et Jake. Je suis tellement heureuse! J’apprécie et vis au maximum chaque kilomètre. À 5 km de la fin, je réalise que là, peu importe que je marche à 2 km/h, je terminerai et aujourd’hui, je serai Ironman! Ça me donne des ailes. Je ralentis un peu, car je commence à sentir un inconfort au genou, mais je ne m’attarde pas à cela! Mon seul point en tête est sourire, taper dans les mains de tous les enfants et avoir du plaisir jusqu’au plus profond de mon être. Je vois 43 km sur ma montre… Haha! Je crois que j’ai peut-être un peu trop zigzagué! Il me reste environ 500 m à faire. Les émotions remontent, des larmes de joie coulent sur mes joues! Ça y est! À peine sept semaines après un accident qui aurait pu mettre un terme à ma saison, mes efforts et mon mental me permettent aujourd’hui de franchir ce fil d’arrivée tant attendu!
Aucun mot ne pourra décrire les émotions qui m’ont traversée les minutes suivant cet accomplissement. Et pour ajouter à tout cela, après avoir pris le temps de marcher un peu et d’avoir pris ma photo-finish la médaille au cou, l’homme qui a su m’épauler durant les dernières années s’est agenouillé devant moi pour me demander en mariage. J’ai explosé et cru l’espace d’un instant que je faisais une crise cardiaque. À ces émotions plus fortes que tout d’avoir accompli mon plus gros défi à ce jour sont venues s’ajouter des émotions débordantes d’amour.
Pour résumer ces sept semaines et cette journée, je peux vous affirmer que rien n’arrive pour rien. Ce que j’en retiens est que sans cet accident, jamais je n’aurais été aussi prête mentalement que je l’ai été en ce jour. Cet événement m’a permis non seulement d’apprendre à mieux écouter mon corps, mais également qu’en étant positif et qu’en tirant le meilleur de tout, nous arrivons à accomplir de grandes choses! Je vous mentirais si je disais que ça a été facile. Oui, j’ai été fâchée, oui, j’ai pleuré, oui, j’ai parfois cru que je n’y arriverais pas. Mais le côté optimiste et persévérant a toujours pris le dessus.
Je remercie la vie de me permettre d’accomplir tout ce que j’accomplis et que la santé me permet d’accomplir. Merci à ma famille et à mon fiancé qui me supporte et m’accepte dans mes horaires de fou et dans les différents sacrifices. Merci à mon coach d’avoir su adapter mon plan pour me relever! Merci aux filles pour votre support moral! Merci à tous pour vos petits mots, vous n’avez pas idée à quel point ils font partie de ma réussite!
Je terminerai simplement en vous disant : ne lâchez jamais! Appréciez chaque moment et tirez le meilleur de ceux-ci. Nous n’avons qu’une vie, autant la vivre au maximum!
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]L’automne est souvent le moment des bilans. Nous regardons la dernière année afin de cibler les faiblesses et, dans le mesure du possible, nous planifions notre prochaine saison dans un but logique : devenir meilleur.
La natation… comprendre ce que l’on fait
Au-delà de nager plus, il faut nager mieux, être plus efficient et, surtout, comprendre ce que l’on fait dans l’eau. Pour comprendre, il faut simplement apprendre à ralentir et rester dans une zone d’apprentissage. Un bon entraîneur, des outils et du bon feed back t’aideront assurément à sortir de l’eau moins « taxé » . Un camp de natation est une bonne option pour regrouper tous ces outils et ainsi, investir sur ta compréhension et ta technique.
Le camp de deux jours t’offrira la chance de comprendre et être analysé par les meilleurs. Cette analyse, faite lors du camp, te sera également partagée par vidéo tutoriel dans la semaine suivant le camp. Tu repartiras donc avec des outils pour t’améliorer et comprendre!
L’horaire est le suivant :
Samedi 24 novembre :
8h00 à 9h30 Natation McGill (optionnel si vous arrivez le samedi)
11h00 visite du Café Barista avec Alex Sereno
16h30 à 18h00 Bassin entraînement six couloirs 50 m
Dimanche 25 novembre :
8h00 à 9h30 Bassin synchro huit couloirs 30 m (analyse vidéo one on one)
10h30 Conférence nutritionniste de l’Institut national du sport
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]S’entraîner en sécurité sur un site calme. S’entraîner sur un site pensé et réfléchi par des triathlètes. Dès le printemps 2019, Capitale Triathlon aura comme quartier général le Manoir du Lac Delage. Le concept est simple : on fait du triathlon en compétition, il faut en faire à l’entraînement.
La natation
Des bouées formeront un circuit de 1500 m en eau libre. Les entraîneurs vous suivront avec les planches à pagaie du club.
Le vélo
Le vélo se fera pour les groupes jeunesse, sprint et olympique vers le chemin de la Grande-Ligne et Stoneham. Pour le volet Demi et Ironman, une boucle de 45 km sera marquée vers Stoneham afin d’assurer un encadrement adéquat dans les entraînements spécifiques.
La course
La course se fera au Lac-Delage et en sentiers.
Bien que quelques entraînements en eau libre seront maintenus au lac Beauport, les samedis matin auront une saveur « triathlon » dans un environnement unique et sécuritaire dès le printemps!
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Dimanche dernier, j’ai participé à mon deuxième Ironman à Madison, au Wisconsin. J’avais plusieurs objectifs en allant là-bas. Je ne les ai pas tous atteints car j’avais peut-être sous-estimé la difficulté de ce parcours, mais j’ai donné le meilleur de moi-même et cela me permet de rêver encore! Quelle belle aventure ce IM du Wisconsin!
Avant de faire mon (long) résumé de course (pour les intéressés), je veux d’abord dire merci à mon coach Francis Bachand qui me donne de judicieux conseils et qui croit en moi. Merci à Karim Hajjaj mon meilleur supporteur qui est là pour veiller sur tout et qui m’encourage aussi tout au long de l’année à donner le meilleur de moi-même en entraînement. Merci à mes trois amours d’accepter que nous fassions ensemble des sacrifices dans notre horaire. J’ai traversé la ligne d’arrivée avec vous. xx
Je suis donc arrivée jeudi au Wisconsin avec plusieurs autres amis du club. Nous avons pu nager, faire le parcours de vélo et visiter un peu la ville de Madison, qui est très belle, d’ailleurs. Samedi, je laisse mon vélo dans la transition et je vais porter mes sacs de transition parce que dans un Ironman, on ne peut rien laisser, autre que son vélo, dans la zone de transition. On doit mettre tout ce qui sera nécessaire pour la portion vélo dans un sac de transition pour le vélo et tout ce qui sera nécessaire pour la partie course dans un autre sac. Il faut quand même préparer ces sacs méticuleusement car il y a beaucoup de choses à penser.
Je me couche assez zen samedi soir. En fait, ce qui me stresse le plus est d’avoir froid en attendant le départ de natation et au début de la portion vélo. Mais bon, il fallait bien que je me stresse avec quelque chose?!
Dimanche matin, on se lève à 3h45. Je déjeune et je rejoins mon amie Véro Proulx pour aller porter les special need bags. Ce sont des sacs (un pour le vélo et un pour la course) auxquels on aura accès à la mi-parcours de vélo et de la course. On peut donc y laisser de la nourriture, des bonbonnes de CO2, du linge de rechange…
Ensuite, je me rends à la zone de transition pour porter mes gourdes, gonfler mes pneus, huiler ma chaîne, mettre mes pédales (merci mes amis CT de m’avoir aidée?!!!).
L’heure du départ approche. On enfile notre wetsuit, on écoute l’hymne national américain, on s’insère dans la file en passant par-dessus la clôture et quelques minutes plus tard, c’est le départ.
Natation: 3800 m
L’eau est calme contrairement aux deux journées précédentes où nous sommes allés nager. Je me sens relaxe.
Quand je respire, j’admire le lever du soleil à ma gauche et je vois les centaines (peut-être même milliers) de personnes entassées sur la Monona Terrass pour nous encourager à ma droite. C’est vraiment impressionnant. La portion natation passe très rapidement.
1h08min
T1:
Je sors de l’eau. Enlève mon casque, lunettes, wetsuit. Fais une petite pause pipi car je sais que le vélo sera long… Je croise Karim qui m’encourage. Je suis contente de le voir. Je vois mon coach Francis un peu plus loin qui me donne quelques judicieux conseils et je cours vers la zone de transition. Ce qui est particulier dans ce triathlon, c’est que la zone de transition se trouve dans un stationnement étagé. Il faut donc monter en courant dans cette spirale. Tout au long de la montée, les gens sont entassés et nous encouragent. Wow! Belle dose d’adrénaline!!!
J’enfile mon chandail de vélo dans les poches duquel j’avais mis ma nutrition, je mets mon casque, mes lunettes, prends mon vélo et file vers la ligne d’embarquement en croisant mon amie Véro Proulx.
6min53
Vélo: 180 km
Le premier 90 minutes de vélo est rapide. Tout va bien. Je me dis que je vais atteindre mon objectif et que je devrais faire 5h45 mais soudainement… le vent et des côtes… Ouffff! Je me fais dépasser par des gars (ça, j’y suis habituée?) mais aussi par des filles qui sont vraiment fortes, très fortes! Je commence à broyer du noir. Je sais que je ne ferai pas moins de 6h et plus le temps avance, plus je me dis que je vais faire plusieurs minutes au-dessus de 6h. Je finis par me faire à l’idée et à l’accepter. Je sais que je vais devoir continuer de pousser contre le vent et affronter plusieurs autres montées. Aussi bien profiter de ce parcours magnifique et se laisser porter par les encouragements des gens qui s’entassent à plusieurs endroits sur le parcours pour nous encourager, danser… D’ailleurs, dans plusieurs longues montées, les gens sont massés sur des centaines de mètres, des deux côtés de la route. Je me sens au Tour de France!
Je termine FINALEMENT ma portion vélo. Quand j’approche de la zone de transition, je vois Karim en haut de la zone de transition. J’ai un coup d’émotion. J’ai envie de pleurer et de lui dire à quel point j’ai trouvé le parcours de vélo difficile et que j’ai tout donné mais je vois qu’il fait un Facebook live? et je ne veux pas trop l’inquiéter… Je monte donc la spirale qui me mène à la zone de transition.
6h16min
T2: Je descends de mon vélo et cours vers la zone de transition, une autre pause pipi, je prends le nécessaire pour la course et c’est reparti.
4min19
Course: 42,2 km
Dès le début de la course, je vois Karim. Quel plaisir de savoir qu’il est là. Quelques mètres plus loin, mon coach Francis est là. Il fait quelques mètres avec moi. On parle de la portion vélo qui a été plus difficile que prévu pour tout le monde. Il me rappelle le plan de match. Le parcours de course est magnifique. On traverse la ville, on passe dans un stade de football universitaire, on longe un lac… Pas le temps de trouver le temps long. Beaucoup de gens nous encouragent partout sur le parcours. Je croise mes amis de Capitale Triathlon sur le parcours. C’est toujours une grande joie de les voir!!! Je me sens bien tout au long de la course. Je ralentis un peu à la deuxième boucle mais tout est sous contrôle.
La fin de la deuxième boucle arrive. Je vois mon amie Valérie Vaillancourt qui a fait la route jusqu’à Madison pour nous encourager et Francis. Ils me disent que si j’accélère un peu, je vais pouvoir faire ma course en bas de 4h. Je le sais mais j’ai donné ce que j’ai pu et tout ce que je peux faire, c’est de me concentrer pour terminer ce dernier kilomètre qu’il me reste à faire. En tournant le dernier coin, je vois le ligne d’arrivée à 200 mètres. Des centaines de personnes sont entassées et crient! Ça y est! Je profite de ce dernier 200 mètres, des applaudissements et traverse la ligne d’arrivée.
4h01min58s
Temps total : 11h38min06s
OUFFF! Je ne l’ai pas trouvée facile, celle-là! Mais j’ai déjà hâte à la prochaine!!![/vc_column_text][vc_single_image image= »1518″ img_size= »large » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
Le choix est parfois difficile. Après avoir sélectionné les objectifs de la prochaine saison, il faut se tourner vers le type de planification et de suivi désiré.
Je ne me souviens pas exactement quand le projet a commencé, mais je sais que l’idée a fait son chemin à mesure que je m’entraînais avec la gang de Capitale Triathlon. C’est finalement lors d’un souper à la fin juin que le projet est né. En retournant à la maison, je me suis inscrit au Ironman Wisconsin. Là, quand même, je ne partais pas de rien. J’avais déjà fait le 70.3 Eagleman et je m’entraînais pour le 70.3 Maine et Lake Placid. J’avais aussi déjà fait un Ironman et plusieurs 70.3 alors le projet n’était pas complètement fou!
Fast forward au 9 septembre…
Quelques minutes avant le départ:
On est tous ensemble près du départ. Une équipe de trois personnes gosse après mon wetsuit pour l’attacher mais je suis plutôt préoccupé par les vagues et le vent. Je suis un nageur moyen et je sais que mon temps va être «lent»… probablement 1h20. Ensuite, c’est l’hymne national puis on se place pour le départ. Je vous dirais que quand on prend le départ avec Jocelyn Paré et Sylvain Nadeau, on ne se sent pas exactement le mâle alpha du groupe! Je me place loin derrière, sachant très bien que je suis un nageur beaucoup moins fort que le reste de notre gang!
Natation (3,8 km): Le départ est donné, mon tour de sauter à l’eau arrive beaucoup trop vite à mon goût, mais pas le choix, on se lance! C’est plutôt agité, venteux et vagueux! Je reçois ma dose habituelle de coups de poing et de pied mais rien d’inquiétant. Je trouve même que je nage bien et même si tout le monde me dépasse, j’ai l’impression que je vais faire un bon temps. Je ne suis pas pressé de sortir de l’eau et le temps passe plutôt vite. Je suis étonné de voir autant de bénévoles disponibles pour enlever les wetsuits. Quand j’ai croisé Francis et Valérie un peu plus loin et que Francis m’a dit : «Oublie ça, Joce, focus bike», j’ai compris que ça ne pouvait pas être bon. ? J’ai su plus tard que j’avais fait 1h40 et que Valérie et Francis se demandaient qui j’avais mis comme contact d’urgence!
Vélo (180 km): Ici, c’est une autre histoire. Toutes proportions gardées, le bike est ma force. Dès le début, je dépasse un nombre incalculable de cyclistes, particulièrement dans les montées. Il faut quand même dire que je suis tellement lent à la natation que ça prend du temps avant de rejoindre la compétition de mon niveau et de mon groupe d’âge à vélo. Mais plus la course avance, plus ça devient difficile de faire des dépassements, sans compter que le vent se lève et que les côtes se multiplient! J’ai quand même des boosts d’adrénaline incroyables dans certaines montées où les spectateurs forment un cordon étroit, un peu à la façon du Tour de France, et encouragent les cyclistes bruyamment! Pas pu résister, j’ai brûlé beaucoup trop de cartouches dans ces montées, mais c’était ma-la-de! Loin sur le parcours, je finis par commencer à rattraper des coéquipiers de Capitale Triathlon. Chaque fois, on s’échange quelques mots et on s’entend rapidement que le parcours est très difficile (le plus difficile que j’ai fait à date) puis je continue ma route. Au bout de 180 km, j’aurai gagné plus de 1200 positions avec un chrono respectable de 5h52.
Course à pied (42,2 km): J’avais un seul objectif, courir tout le long et perdre le moins de positions possible. Je devais marcher seulement les ravitos et certaines côtes. Le parcours est magnifique et la foule est nombreuse. En plus, c’est là qu’on a la chance de voir le plus notre monde, aussi bien nos coéquipiers que nos supporteurs. Chaque fois, ça donne un boost incroyable. J’ai trippé de voir Sylvain et Joce P. puis Valérie, Véro, Mylène, Isabelle. Je les voyais faire des super courses et ça me donnait un boost chaque fois! Il y a aussi Jake qui courait très bien et qui me
poussait dans le cul en me disant qu’il s’en venait me chercher!!! Vraiment cool de faire le tour du stade des badgers, courir au centre-ville, sur le bord de l’eau et dans un parc. Le plus beau parcours de course que j’ai fait jusqu’à maintenant!
L’arrivée: Il n’y a rien de plus satisfaisant que de suivre la flèche Finish à l’intersection Finish/Second loop… puis entendre un bénévole annoncer dans un radio portatif «number 285, coming in for the finish». À ce moment, il ne reste plus que 200 à 300 mètres sur une distance de 42 km. Je ne sens plus rien sauf mon cœur qui veut sortir de ma poitrine et mes yeux qui se remplissent d’eau. Je sens l’énergie de la foule et il suffit de soulever un bras pour entendre la foule réagir encore plus. Je ne boude pas mon plaisir et j’en redemande. La foule devient encore plus bruyante. Je me sens comme une rock star et je m’assume complètement. Je termine dans les 400e sur 2300 mais c’est secondaire. J’ai couru tout le long, je vais avoir gagné une centaine de positions supplémentaires et je suis fier de ma course.
On se rejoint tous près de l’arrivée. On en aura pour plusieurs heures à se raconter nos courses! Chacun a sa belle histoire à raconter et on ne tanne pas de les entendre!
Merci à Val d’avoir été là tout le week-end pour me supporter et pour les 15 minutes que tu auras conduit ???. Tu as été parfaite! J’ai hâte que ce soit mon tour!
Merci à Val L, Sylvain, Mylène, Francis, Véro, Joce et Isabelle. Vous êtes inspirants… mais surtout incroyablement gentils!!!! Vous m’écœurez un peu avec votre talent à la natation mais pour le reste, vous êtes parfaits!
Merci aussi à Jake, Ben, Karim et au Véro support crew! Vous êtes malades![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
«Je ne suis pas assez bon pour m’entraîner dans un club de triathlon!»
Plusieurs ont déjà lancé cette phrase, pensant devoir déjà être un athlète expérimenté pour intégrer un club de triathlon. Au contraire. Chez Capitale Triathlon, tous les sportifs sont accueillis et encadrés selon leur niveau.
Vous aimeriez faire un triathlon distance découverte et vous ne savez pas nager? Nos entraîneurs sont formés pour vous accompagner pas à pas vers votre objectif.
Vous aimez vous entraîner à votre rythme, sans avoir d’objectif de compétition? Que ce soit de façon récréative, histoire de retrouver les amis sur la piste, ou de façon plus intense, en vue d’une compétition prochaine, chez Capitale Triathlon, tout le monde y trouve son compte.
De plus, les parents de jeunes qui aiment bouger seront heureux d’apprendre qu’un groupe pour les 7 à 13 ans attend leurs enfants! Un entraîneur d’expérience leur apprend les bases du sport dans une ambiance ludique pendant que papa et maman s’entraînent. Une belle façon de promouvoir le sport en famille!
Intégrez un club qui saura respecter votre rythme, quel qu’il soit.
Nous sommes fiers de vous annoncer notre partenariat avec le Cross-triathlon découverte de Québec qui se tiendra le 8 juillet prochain au Lac-Delage. Capitale Triathlon veut se tenir au premier plan dans le développement du triathlon hors route (Xterra, cross-triathlon). Pour ce faire, le club s’implique dans l’organisation de cet événement, une première à Québec, consacré à la découverte du cross-triathlon (nage en eau libre, vélo de montagne et course en sentiers). Votre entraineur responsable du volet hors route (Xtriathlon et Xtrail) Christian St-Pierre est directeur de course pour le Cross-triathlon découverte de Québec. Capitale Triathlon compte déjà deux responsables bénévoles, soit Isabelle Tremblay au balisage et Jocelyn Ducharme pour le parcours vélo.
Vous aimeriez faire partie de l’équipe de bénévoles? Visitez le https://tinyurl.com/yd4rb3oh. Chaque bénévole recevra un coupon pour une inscription gratuite à l’événement 2019 (transférable à une connaissance).
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Bon, je sais… tu n’as pas beaucoup de temps. Je serai bref!
Dans quelques jours sera ton premier 70.3 de la saison… « Ça ira », te dit le coach.
C’est rare, voire impensable que TOUT se passe comme prévu! Alors, en quelques lignes, je vais tenter de te dire comment… ça pourrait aller!
Le petit stress de la veille t’envahira juste avant le dodo. Même si tu te couches à 19h30, tu fermeras les yeux vers 23h.
Après un déjeuner qui te lèvera le cœur (chu pas stressé!), tu visiteras la toilette à quelques reprises. Y’a du bon… tu approches de ton « race weight »!
Ce n’est qu’une fois rendu à la transition que tu te rappelleras où est ton foutu body glide…
Dernier post Facebook et Instagram! (Comme si tu allais mourir!)
Départ. Tu nageras assurément trop vite et finalement, le parcours sera trop long… Un classique!
Transition no 1, comme un chef… assez dur de merder ça!
Ton vélo sera sans drafting. Si c’est le cas, tu as le mérite d’être dans le 15 % des « vrais ».
Transition no 2, comme un chef qui est… un peu racké!
La course à pied en contrôle… surtout quand tu croises un athlète de ton club!
Finalement… quand tu seras sur le parcours de course à pied, à chaque moment où tu penseras à ralentir, à chaque moment où tu penseras à marcher, rappelle-toi que tu croiseras un athlète Capitale Triathlon bientôt. Et que lui, ne marchera pas! Accroche-toi à la force du club et rappelle-toi qu’on fait tout ça pour se sentir vivant et avoir des histoires à raconter!
Bonne compétition!
C’est avec beaucoup d’enthousiasme que toute l’équipe convie les triathlètes de la province ainsi que les amateurs de défis et de sports d’endurance à la 5e présentation du Triathlon Duchesnay.
Devant la formidable occasion qui se présentait à nous, il nous fait plaisir de vous annoncer que le Triathlon Duchesnay change de date et se tiendra le 21 juillet 2018, dès la première fin de semaine des vacances de la construction. Plusieurs éléments motivent ce changement. Surtout, après l’édition de l’année dernière, nous cherchions un moment en juillet où le niveau de la rivière est généralement plus stable et les matins, définitivement plus chauds. Naturellement, nous voulions aussi une date qui s’éloignait de la seconde moitié du mois d’août et de quelques événements prisés par les triathlètes québécois et athlètes de la région de Québec, dont l’Ironman de Mont-Tremblant et les Championnats du monde ITU de Montréal.
Cela dit, les mêmes éléments forts de l’an dernier y seront! Vous avez été nombreux à nous mentionner vos coups de cœur pour le site en général, le bâtiment d’accueil, l’énorme zone de transition, le superbe parcours de course à pied et la prestigieuse zone d’arrivée.
Pour fêter sa 5e année, le Triathlon Duchesnay est très heureux d’être l’hôte d’une Coupe Québec distance sprint. Soucieux de se démarquer par la qualité de l’expérience des athlètes, plusieurs cadeaux, dont le t-shirt unique 5e édition, seront remis aux athlètes.
Avant vos vacances, question de partir la tête tranquille et d’en profiter pleinement, relevez le défi du Triathlon Duchesnay le 21 juillet prochain!
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]J’ai toujours aimé me dépasser et me réaliser dans le sport. J’aime m’améliorer et me mesurer à d’autres.
Depuis quelques années, le sport, tout particulièrement le triathlon, prend plus de place dans ma vie. C’est devenu une passion.
L’année 2018 sera une belle année remplie de défis pour moi. J’ai d’inscrit à mon calendrier le marathon de Boston, le Ironman 70.3 Eagleman et le Ironman 140.6 du Wisconsin et quelques autres courses pour me garder alerte! Ceci demande beaucoup de temps, d’organisation, de discipline et de quelques sacrifices. Peu importe, je suis passionnée! Comment faire pour le rester? Voici 5 points que je considère importants:
1. Se fixer des objectifs inaccessibles
Quand je dis que je me fixe des objectifs inaccessibles, je veux dire que je me fixe des objectifs qui me seraient inaccessibles d’atteindre en restant Confortable. Je choisis ces objectifs en sachant que je pourrai les atteindre. mais que je devrai travailler pour les réaliser. Le travail, parfois hors de ça zone de confort, est inévitable pour atteindre ces objectifs, mais, bien entourer, tout est possible.
2. Bien s’entourer
Il faut bien s’entourer. Il faut s’entourer d’un coach qui nous connaît et qui nous permet de repousser nos limites tout en respectant la personne que l’on est et les obligations que l’on a (oui, il y a des obligations autres que le triathlon dans ma vie!). Il faut s’entourer de gens qui prennent soin de nous comme une nutritionniste, une massothérapeute, un physiothérapeute qui seront là pour nous aider à prévenir les bobos où nous aider à les guérir. Il faut aussi s’entourer d’amis qui partagent cette même passion, qui vivent les mêmes défis reliés à la poursuite d’un objectif et avec qui on peut rire et discuter à l’entraînement entre deux intervalles. Il faut aussi s’entourer de gens qui sont fiers de nous et qui nous encouragent les jours de doutes, car il y a des jours de doutes!
3. Prendre plaisir à l’entraînement
Il faut prendre plaisir à l’entraînement. La journée d’une course est l’aboutissement d’un nombre d’heures impressionnant d’entraînement. Il faut savoir les apprécier et s’amuser même si certaines fois, ça fait mal! Il faut être conscient que ces entraînements nous rendent meilleurs et y trouver satisfaction!
4. Accepter les hauts et les bas
Il faut accepter les hauts et les bas. Quand tout va bien, tant mieux, mais quand rien ne va plus ou que ça ne va pas comme on l’aurait espéré, il faut savoir l’accepter. Ce sont des choses qui arrivent. Il faut pouvoir rebondir et savoir tirer avantage de ces bas. Ils font aussi partie de l’entraînement. Dans une course, il y aura des hauts, mais il pourra y avoir des bas et il faudra le gérer.
5. Être reconnaissant
Être reconnaissant d’avoir la santé pour nous permettre de nous entrainer, d’avoir si peu de soucis afin de pouvoir s’investir autant dans notre passion. Être reconnaissant envers notre famille et nos amis. En effet, quand on se fixe un objectif, c’est aussi notre entourage proche qui doit s’adapter, faire des concessions. Notre objectif devient aussi leur objectif. Il faut leur en être reconnaissant, les remercier et faire, nous aussi, des concessions pour leur permettre de vivre, eux-aussi, leurs passions. Il faut parfois démontrer une certaine souplesse dans la rigidité de notre plan d’entraînement. Il faut surtout leur rappeler qu’eux aussi, ils la traverseront avec nous cette ligne d’arrivée!
Bon entraînement!
Valérie Lalancette,
Athlète Élite et entraîneur Capitale Triathlon
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Il y a bientôt 4 mois que nous nous donnions comme mission d’améliorer l’offre de service en Xtri ici, à Québec. Une première session en mode découverte des plus satisfaisante, nous regardons la session printemps arrivée avec un grand sourire! 🙂
Les samedis matins à compté du 28 avril
Les entraînements du samedi matin du volet XTri / XTrail se tiendront à Charlesbourg à partir de l’Aréna Réjean-Lemelin (École secondaire les sentiers).
Au menu : Parcours d’habiletés techniques vélo de montagne, sorties de vélo de montagne, course en sentier avec conseils techniques, équipement, et
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Tu veux avoir un plan d’entraînement et accès aux couleurs et bénéfices d’un club sans avoir à te déplacer à des séances de groupes? Voici ta chance!
En te joignant au plan CT, tu obtiens le statut d’athlète Capitale triathlon et à de facto, accès aux rabais et avantages de nos partenaires.
Le forfait est 356$ OU 4 mensualités de 89$ et te donne :
18 semaines de plan d’entraînement sur Training Peaks (attribué 18 semaines avant TA course)
Ton trisuit ou 2 pièces en commandant avant le 15 avril gratuit
Une casquette visière ou Trucker Hat gratuite
Un Bandeau « Buff » Capitale Triathlon gratuit
60% en ligne sur Rudy Project
Tu recevras ton plan sur Training Peaks aux 2 semaines et tu as accès à l’entraîneur via courriel afin de répondre à tes questions.
2 options de plan sont possibles :
1. Courte distance
2. Longue distance
Les entraînements sont détaillés et numérotés par ordre prioritaire afin de bien te guider dans ta semaine.
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Afin de s’améliorer, il est très important de suivre son plan d’entraînement. Par contre, j’ai récemment entendu un ex-pro cycliste dire qu’une fois arrivé sur le World Tour, il a été surpris de voir les autres athlètes prendre un verre de vin au souper pendant le Tour de France. Il a alors réalisé qu’il n’a qu’une seule vie à vivre et que ce genre de petit plaisir pouvait avoir sa place même dans un événement de haut niveau. J’ai donc décidé de déroger de mon plan d’entraînement et de faire une folie, car, après tout, on n’a qu’une vie à vivre!
La gaffe
Je me suis inscrit au Tour Of Sufferlandria. Vous ne connaissez sûrement pas ça et c’est tout à fait normal. Voici une brève description de ce que c’est :
Plusieurs personnes qui font du vélo à la maison sur une base d’entraînement utilisent un programme ou une plateforme d’entraînement afin de se divertir ou de structurer leur séance. Il y a plusieurs choix, Zwift étant un des plus populaires qui ressemble beaucoup à un jeu vidéo. TrainerRoad qui affiche un tableau avec les cibles en wattage. Moi, j’utilise Sufferfest, qui est un montage vidéo de courses cyclistes. Je trouve ça très divertissant et chacun des montages vidéo est en fonction de la séance d’entraînement choisie. Par exemple, pendant un intervalle VO2 max, on suit Vicenzo Nibali pendant une montée au Giro D’Italie ou pendant un intervalle plus long, on suit Tony Martin sur un contre-la-montre. Cette plateforme de vidéo d’entraînement organise un ‘’tour’’ de 9 jours où ils donnent 9 entraînements à compléter, parmi leur banque de vidéo. Je me suis dit que je participerais, malgré le fait que ça ne cadre vraiment pas dans mon plan annuel d’entraînement.
La planification du tour
Quand j’ai vu la planification du tour, j’ai eu mes doutes : je ne réussirai pas, c’est impossible… Ils sont fous! Aucun entraîneur ne recommanderait de faire ça! Ah oui, j’oubliais, je ne fais pas ça dans le cadre de mon plan d’entraînement, mais comme défi. J’ai aussi eu peur, car certains entraînements allaient faire mal, et j’avais mal juste à y penser. Voici un résumé très bref :
Étape 1 : impossible que je termine ce tour… La 2e heure m’a presque fait mourir!
Étape 2 : Beaucoup plus facile qu’anticipée! J’ai soudainement de la confiance.
Étape 3 : Je l’attendais ce court 45 minutes… Je vais le faire ce tour!
Étape 4 : Je déteste des intervalles courts…
Étape 5 : Je crois que je déteste aussi les intervalles longs…
Étape 6 : Je déteste également les simulations de course de vélo… Il n’y a jamais de repos!
Étape 7 : Ça va drôlement bien, ce qui est étrange, car cette séance est habituellement difficile… Je crois que ma perception de ce qui est difficile est en train de changer…
Étape 8 : Enfin une session d’endurance, ma force… Et non, cette séance m’a complètement brisé!
Étape 9 : WTF?!? J’ai même pleuré pendant un intervalle
Je ne vous recommanderai jamais de faire ce tour. C’est stupide, difficile, souffrant, décourageant. Ça fait mal. En contrepartie, c’est très drôle de suivre les commentaires et participer au groupe Facebook. Aussi, je crois qu’après quelques jours un peu plus légers en entraînement afin de récupérer, j’aurai définitivement un sommet de forme en vélo.
En février. Au Québec. Milieu de l’hiver. Fuck. C’était vraiment stupide tout ça…
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]J’ai pensé profiter du changement d’année pour écrire un article afin de me présenter et que vous appreniez un peu qui je suis et d’où je viens, et également parler de la clinique pour laquelle je travaille et ce que je peux vous offrir à travers celle-ci, au niveau professionnel.
Sylvie Martin, c’est qui ça!?
Voilà! Je suis une Québécoise d’adoption, une Néo-Brunswickoise d’origine! Je suis venu étudier à l’Université Laval en 2003 en physiothérapie et je pratique en clinique privée depuis 2006. Le sport fait partie de ma vie depuis l’adolescence grâce à mon père, qui était un coureur et un athlète de tous les sports de raquette. J’ai d’ailleurs commencé ma vie de sportive en pratiquant le badminton, sport que je pratique d’ailleurs toujours. J’ai participé aux Jeux du Canada en 2003 sur l’équipe de badminton, et c’est grâce à cette expérience que je me suis mis à la course à pied. Depuis, je n’ai jamais arrêté. C’est d’ailleurs pour cette raison que je me suis joint à l’équipe de Blaise Dubois et de PCN La Capitale en 2011, afin d’intégrer ma passion à mon travail. Notre clinique se spécialise en course à pied, et au moins 50% de ma clientèle sont des coureurs. J’ai donc suivi des formations continues plus spécifiques à la course afin d’être mieux outillé pour servir mes patients.
PCN La Capitale
Évidemment, n’importe qui peut venir se faire traiter à notre clinique, pas besoin d’être un coureur. Par contre, nous avons développé une expertise dans le domaine qui nous permet d’offrir des services plus personnalisés à ceux-ci. Nous offrons donc des évaluations de course à pied, où vous vous faites filmer en courant sur tapis roulant, ce qui permet de voir votre patron de course, s’il y a des modifications majeures à apporter, et par la suite d’avoir des conseils et exercices en fonction de blessures ou douleur spécifique. Nous offrons aussi également des conseils concernant les différents types de chaussures et des programmes de reprise de course à pied suite aux blessures. Conjointement, une nutrionniste et une kinésiologue plus spécialisées en course à pied offrent leur service pour consultation à notre clinique.
PCN ‘at large’
Les cliniques PCN sont nombreuses dans la ville de Québec. Cela à l’avantage d’avoir des experts de différents domaines auxquels nous pouvons référer. Nous avons donc dans notre grande équipe des massothérapeutes, des ostéopathes, acupuncteurs, physiothérapeutes travaillant avec les aiguilles sèches, spécialistes en golf, physiothérapeutes en rééducation périnéale et bien d’autres pour améliorer nos services. De plus, nous travaillons en équipe avec des médecins du sport, auxquels nous pouvons référer nos cas complexes ou ceux qui ont besoin d’un rendez-vous en orthopédie.
Le triathlon
Le triathlon est un peu plus nouveau comme passion dans ma vie. Je cherche maintenant à aller chercher des compétences au niveau du vélo, de la natation, et de poursuivre celles en course. Francis est une personne que j’apprécie énormément et je me trouve privilégié qu’il m’ait intégrée à votre équipe, qui est vraiment inspirante.
J’espère donc que vous ne vous gênerez pas pour m’aborder par Facebook, courriel ou aux entraînements si vous avez des questions. Et surtout que vous viendrez me voir en clinique pour éviter que vos petits bobos deviennent des gros!
Sylvie Martin , Physiothérapeute PCN La Capitale
Pour consulter la biographie ou contacter Sylvie Martin, cliquez ICI![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Et voilà, la fin, mais aussi le début. Je quitte les Forces canadiennes après 16 ans, disons-le, de bons et loyaux services. Pour les gens qui se demande, « Mais tu faisais quoi dans les Forces canadiennes coach? » et bien c’est une bonne question!
Le point de départ
Je viens de Montréal et j’ai eu la chance d’être élevé par la meilleure mère sur la terre; la mienne ? . Issues d’une famille assez pauvre, moi, ma mère et ma sœur avons vécu l’inimaginable dans un petit 4 et demi en banlieue de Montréal. J’ai mangé du Kraftdinner et du cordon bleu plus souvent qu’à mon tour, mais ça… c’est des bons souvenirs ?
J’ai donc, à 18 ans, décidé de joindre les Forces canadiennes! Quelle idée! Je me suis enrôlé comme homme d’équipage, version « fancy » de Chauffeur de tank! Les premiers mois serviront aux études, en l’occurrence ; cours de recrue, cours de métier et cours de soldat des armes de combat. Je réalise rapidement que malgré une forme physique irréprochable, mon défi dans l’armée serait de… me trouver un défi dans l’armée!
Une réorientation
Après quelques années dans les armes de combat, la prise de conscience se fait, ce métier n’est pas fait pour moi, il ne me « passionne » pas du tout. J’entreprends alors une réorientation en administration et finance, choix judicieux et représentant un bon défi.
Le sport
Mes premières années dans les Forces n’ont pas été sous le signe du sport et de la santé. Heureusement la raison sera revenue et les sports de haut niveau offert dans l’armée comblent le sportif en moi. J’atteins le niveau national et remporte le titre d’équipe national junior à l’âge de 27 ans. Bon, n’allez pas chercher le lien avec le triathlon, il n’y en a pas!
J’ai donc débuté le triathlon en 2007, après le squash. L’armée aura su, durant toutes ces années comblez études, dépassement et forme physique.
Je quitte donc les Forces le 31 janvier 2018 pour vivre de ma passion via mon entreprise. En 2012, je fonde le club Capitale Triathlon et le Triathlon Duchesnay. Depuis ce jour, la croissance et le développement sont très constants.
La discipline
L’armée est maintenant, 16 ans plus tard, ma façon de « coacher » ma façon d’être. Lors de mon enrôlement, jamais je n’aurai pensé un jour fonder mon entreprise. Jamais je n’aurai pensé que la discipline militaire aurait cet impact positif sur ma vie. Je ne regrette aucune minute passée à servir mon pays. Je regarde devant, loin devant.
Ma vocation à changer, mais mon ADN restera toujours, celle des Forces canadiennes.
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]L’année 2018 commencer et déjà les objectifs pour la prochaine année de compétition vous tournent en tête. Si votre premier but est d’atteindre un poids de compétition plus optimal en ce début d’année, vous devriez lire les quelques conseils suivants!
1- Tout d’abord, il est vrai que le poids a une influence sur la performance. Toutefois, il est également normal que le poids varie au cours d’une année. Idéalement, votre poids en période de hors saison ne devrait pas dépasser 6 à 8% de plus que le poids de course que vous jugez idéal pour votre performance.
2- Si vous visez une perte de poids, celle-ci devrait idéalement être réalisée dans la période de préparation physique générale et non lors des entraînements très spécifiques ou durant votre saison de compétition. L’hiver et le début du printemps représentent donc une période idéale pour le triathlète qui désire optimiser sa composition corporelle.
3- Inutile de viser une perte de poids trop rapide! Une perte de 0,7% de votre poids corporel par semaine devrait être votre objectif. Une perte de poids plus rapide entraînera une perte de masse musculaire, et donc, une diminution de votre force et de votre puissance. Planifiez donc suffisamment de temps afin d’atteindre votre objectif.
4- Assurez-vous de consommer suffisamment de protéines et de fibres tout au long de la journée. Ces aliments vous apporteront un effet rassasiant plus important et faciliteront la mise en place d’un déficit énergétique.
5- Planifier également des apports énergétiques plus important en fonction de vos entraînements. Il est important de vous assurer de donner suffisamment de carburant à vos muscles lors des séances d’entraînements plus exigeantes. Inutile de chercher à optimiser votre poids si, en contrepartie, votre entraînement en souffre en retour!
Dans tous les cas, si vous avez des questions, n’hésitez pas à me consulter.
Je vous souhaite à tous une très bonne année 2018, à la hauteur de vos objectifs.
Isabelle Morin, nutritionniste du sport
nutrition.morin@gmail.com
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Le camp aura lieu 6 semaines avant le 70.3 Tremblant. Il réunira plusieurs partenaires tel Argon 18 et Barista en plus d’accueillir pour une journée d’entraînement Magali Tisseyre, athlète professionnel.
Le camp est basé sur la qualité dans les 3 sports. Au menu, reconnaissance du parcours Ironman Tremblant, sortie technique à vélo dans la montée Duplessis, analyse vidéo à la natation et technique de course et transition.
L’hébergement se fera en condo de 4 à 7 personnes. Les condos sont situés aux bords du Lac Tremblant, à deux pas du parcours de course à pied du IM. Tous les entraînements partiront de ce site.
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Parce que y’a juste trop de top 5 et top 10 sur les meilleurs choses à faire… je te fais économiser du temps en lisant mon top 1 qui renferme les 6 meilleurs conseils pour ta saison 2018… C’est tu pas beau ça?! 🙂
Arrête de penser que la quantité te rendras meilleur.
Place ton entraînement en priorité dans ta journée et organise tes semaines le dimanche.
Respecte le plan du coach, même quand c’est facile. ?
Respecte les allures du plan et ce, même si tu es en groupe et que tu aimes courir avec les plus rapides.
Contacte une nutritionniste. Ta nutrition aura un impact considérable sur tes performances et ce, même à l’entraînement.
L’équilibre, tu connais? Parce que s’entrainer pour un objectif est une chose, et maintenir une constance pour la vie en est une autre. Comprendre la différence entre les deux.
En terminant, garde en tête que l’objectif devrait être la récompense et que le processus doit être agréable mais aussi… te mettre au défi.
C’est avec beaucoup d’enthousiasme que toute l’équipe convie les triathlètes de toute la province ainsi que les amateurs de défis et de sports d’endurance à la 5e édition de l’événement.
Devant la formidable opportunité qui se présentait à nous, il nous fait plaisir de vous annoncer que le Triathlon Duchesnay déménage et se tiendra le 21 juillet 2018, dès la première fin de semaine des vacances de la construction. Plusieurs éléments motivent ce changement. Surtout, suite à l’édition de l’année dernière, nous cherchions un moment en juillet où le niveau de la rivière est généralement plus stable et les matins définitivement plus chauds. Naturellement, nous voulions aussi une date qui s’éloignait de la seconde moitié du mois d’août et de quelques événements prisés par les triathlètes québécois et athlètes de la région de Québec, dont l’Ironman de Mont-Tremblant et les Championnat du monde ITU de Montréal.
Cela dit, les mêmes éléments forts de l’an derniers y seront! Vous avez été nombreux à nous mentionner vos coups de cœurs pour le site en général, le bâtiment d’accueil, l’énorme zone de transition, le superbe parcours de course à pied et la prestigieuse zone d’arrivée.
Pour fêter sa 5e édition, le Triathlon Duchesnay est très heureux d’être l’hôte d’une Coupe Québec distance sprint. Soucieux de se démarquer par la qualité de l’expérience des athlètes, plusieurs cadeaux dont le T-Shirt unique 5ème édition seront remis aux athlètes. Toutefois, afin de plaire à un grand nombre de sportif et désireux d’adapter le tarif aux attentes de chacun, nous innovons avec l’option « avec ou sans » cadeaux et/ou lunch. À votre choix, vous n’avez ainsi plus à payer pour un cadeau non souhaité ou un repas non désiré.
Enfin, pour l’édition 2018, la progression du tarif d’inscription se fera par paliers. Ainsi, les 150 premiers inscrits bénéficieront d’un tarif préférentiel. Par la suite, le tarif augmentera sensiblement à chaque tranche de 300 inscriptions.
Avant vos vacances, question de partir la tête tranquille et d’en profiter pleinement, relevez le défi du Triathlon Duchesnay le 21 juillet prochains!
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Vous avez pris la décision d’essayer un triathlon ou d’être plus actif et, cette fois-ci, avez l’intention que ça dure plus de 3 semaines? Vous êtes déjà un triathlète expérimenté, mais avez envie de vous entrainer avec d’autres personnes pour rendre le tout plus agréable ou améliorer vos performances? La solution est simple : inscrivez-vous avec nous!
Initialement, nous devions énumérer des raisons pour joindre un club de triathlon, mais Capitale Triathlon est tellement TOP(!), que voici quelques raisons de joindre notre club :
L’encadrement et le soutien sont offerts par des entraineurs. Parce que parfois on ne sait pas comment bien faire les mouvements et éviter les blessures, ou bâtir et faire progresser notre entrainement. Ne laissez rien au hasard et suivez les conseils des gens expérimentés.
La motivation grâce aux autres athlètes. Parce que c’est normal de ne pas avoir envie de faire un entrainement et de trouver un million d’autres priorités. Mais savoir que d’autres personnes seront présentes aide à se motiver à aller aux entrainements.
Le dépassement de soi. Côtoyer d’autres athlètes vous inspirera à vous surpasser lors des entrainements et des compétitions. Vous atteindrez vos objectifs et irez au-delà.
L’ambiance familiale de notre club. Tout le monde y trouve sa place. Petits et grands, débutants et expérimentés. Rapides et moins rapides. Que ce soit uniquement pour le plaisir ou pour la performance, et tout ce qui se trouve entre les deux, Capitale Triathlon est un club rassemblant des gens qui deviennent tous amis, sans exception.
Vous partagerez de beaux moments entrevous. Ex.: Vous avez couru plus longtemps ou plus rapidement? Vous avez complété votre première course ou fait un record personnel? Vous pourrez vivre ces moments avec d’autres passionnés.
Vous partagerez aussi les mauvais. Ex.: Vous n’avez pas terminé une course? Vous n’arrivez pas à compléter certaines séances? Vous pourrez partager ces moments avec d’autres passionnés qui vous aideront à passer au travers et à en ressortir plus fort.
Les rencontres inoubliables. Vous rencontrerez des gens extraordinaires, au parcours inspirant. Notre club est rempli de gens ayant surmonté des défis impressionnants qui ont complètement transformé leur vie. (Et pour les célibataires, oubliez Tinder et venez faire de vraies rencontres! On ne sait jamais…).
Support lors des courses. Vous ne serez plus jamais seul lors de vos participations aux événements. Nous sommes assez nombreux pour que des athlètes et des entraîneurs soient présents régulièrement. Et si jamais il n’y en a pas, annoncez aux autres que vous êtes inscrit et il y aura certainement quelques ‘’crinqués’’ qui s’inscriront et vous accompagneront. On est (trop) souvent facile à convaincre!
Inscription à l’avance aux courses de la série IRONMAN. Nous faisons partie du programme ‘’Triclub’’ de la série IRONMAN, alors si vous avez les fonds suffisants, vous pouvez vous inscrire aux courses avant l’ouverture publique officielle. Certaines courses sont si populaires qu’il est parfois plus difficile de s’inscrire que de compléter l’événement…
Alors, qu’attendez-vous? On se voit au prochain entrainement?
Andréanne Germain
Dave Vigneault
Stéphane Jolin
Ambassadeurs Capitale Triathlon
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column width= »2/3″][vc_column_text]Le volet jeunesse Capitale Triathlon grandit rapidement. En plus de compter sur un volet civil de maintenant 23 jeunes, le club s’assure une relève solide avec un Parascolaire à l’école Saint Jean Eudes et un profil triathlon au Cégep Mérici.
Afin de bien séparer les différentes habilités liés au différents groupes d’âges, les séances d’entraînement sont maintenant séparés en 3 groupes :
• Groupe 8 À 12 ANS
• Groupe 13 À 15 ANS
• Groupe Junior
Parce que bouger devrait toujours se faire avec le sourire!
Les détails du volet jeunesse sont disponible par ici
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_column_text]
HORAIRE VOLET JEUNESSE
Course vélo et Musculation:
Samedi 9h30 Course à pied intervalles PEPS Université Laval et Polyvalente Saint-Jean-Eude
Lundi 18H30 Musculation Fonctionnelle et Course à Pied Polyvalente Saint-Jean-Eude
À la natation, plus de 5 choix :
Mardi:
MINI (12 ans et moins) 16h45-17h30 Cégep Limoilou
BRONZE (plus de 12 ans) 16h30-17h30 Cégep Limoilou
Mardi:
MINI 16h45-17h30 Cégep Limoilou
BRONZE 16h30-17h30 Cégep Limoilou
Mercredi:
MINI (12 ans et moins) 18h00-18h45 Piscine Hamel
Jeudi:
MINI (12 ans et moins) 16h45-17h30 Cégep Limoilou
BRONZE (plus de 12 ans) 16h30-17h30 Cégep Limoilou
Vendredi :
MINI (12 ans et moins) 16h45-17h30 Cégep Limoilou
BRONZE (plus de 12 ans) 16h30-17h30 Cégep Limoilou
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Christopher Busset, un athlète de 25 ans originaire de Québec, a un CV sportif très impressionnant. Il a connu son meilleur résultat en 2017 en passant le fil d’arrivée du Ironman 70.3 Mont Tremblant 1er Groupe d’âge et en 11e position overall, avec un temps de 4h06.
Cette prochaine saison, il passe chez les professionnels, son objectif étant de se qualifier pour le Championnat du monde Ironman 70.3.
Afin d’assurer un encadrement de qualité et un soutien à long terme, nous avons rallié avec nous les entreprises Argon 18, Zone 3 et Café Barista. Cette équipe de partenaires sera d’un soutien et d’une importance cruciale dans son développement pour les années à venir.
Christopher se joint donc aux rangs de Capitale Triathlon. C’est avec le plus grand plaisir que je travaillerai de concert avec ce grand athlète afin de nous rendre aux Championnats du monde Ironman 70.3.
Au nom de tous les athlètes de la grande famille, je tiens à souhaiter la bienvenue à Christopher!
L’automne est bien installé et représente une saison de transition, de repos ou de changement pour la majorité des coureurs. C’est souvent un bon moment pour prendre quelques semaines de repos après une saison d’été bien chargée, ou de profiter des feuilles et des couleurs pour essayer la course en sentier. Par contre, il faut être prudent lorsqu’on intègre des changements dans notre routine de coureur.
La course en sentiers
La course en sentier apporte beaucoup de bénéfice, du fait qu’elle est moins rythmique et ‘straightforward’ que la course sur tapis ou sur route. Elle permet de développer la proprioception, la stabilité et les muscles latéraux du corps. Par contre, elle apporte une surcharge du travail excentrique des quadriceps lors des descentes, et une plus grande sollicitation des muscles stabilisateurs au niveau de la cheville. Il faut donc être progressif lorsqu’on décide de faire des sorties en sentier, diminuer légèrement nos distances et faire des petits pas lors des descentes de côtes, qui sont la partie la plus stressante au niveau musculaire des courses en trail.
Prudence cet hiver!
Par le fait même, lorsque l’hiver apportera son lot de neige, de glace et de gadoue, la prudence et la progression est de mise! La neige offre une surface avec beaucoup moins d’adhérence, ce qui amène un plus grand travail des muscles de la chaîne postérieure, principalement au niveau des mollets. Il faut donc être conscient qu’on ne peut pas avoir les mêmes exigences côté vitesse de course et distances lorsqu’on travail contre le vent, le froid et une surface glissante qui ne permet pas la même poussée que l’asphalte. Je considère que la course l’hiver devrait être perçue comme une façon de se garder un ‘fond’ de course, une façon de profiter de l’hiver et de travailler d’autres qualités en attendant le retour du beau temps.
Être progressif
Pour ceux qui décident de se rabattre sur le tapis roulant, sachez que c’est au printemps que vous devrez penser à adaptation et progression. Le tapis peut être un bon outil de remplacement, mais il faut être conscient courir dehors, avec le vent, les faux plats et le fait que ce soient les muscles qui doivent pousser pour nous propulser est un peu plus demandant, donc il faut être prudent au printemps lors des premières sorties dehors.
C’est tentant quand on revoit le soleil et le beau temps de se laisser emporter et courir juste ‘quelques kilomètres de plus’ mais ces quelques petits kilomètres peuvent avoir un prix… le prix d’un rendez-vous en physiothérapie!
Amusez-vous, faites des folies mais pensez progression et adaptation!
Sylvie Martin , Physiothérapeute PCN La Capitale
Pour consulter la biographie ou contacter Sylvie Martin cliquer ICI!
Vous avez entendu parler de XTERRA ? De Swimrun ? Si oui lisez ces quelques lignes pour en savoir plus et connaître comment Capitale Triathlon vous aidera dans votre développement et l’atteinte de vos objectifs. Et si vous n’en avez jamais entendu parler, encore plus de bonnes raisons de continuer à lire 😉
Qu’est-ce que le XTERRA ?
Premièrement, il faut savoir que XTERRA est une marque déposée (comme Ironman). Une série mondiale mène à un championnat du monde sur l’ile de Maui, Hawaii à chaque année. En fait, le XTERRA est une version du triathlon (connue aussi sous le nom Cross-Triathlon) qui rallie natation, vélo de montagne et course en sentier. Triathlètes aguerris : attention ! Dénivelé au menu 🙂 Le cross Triathlon a été introduit pour la première fois sur l’ile de Maui en 1996 sous le nom de Aquaterra (mer et terre). Ensuite devenu XTERRA (et sponsorisé par Nissan qui a commercialisé un modèle de véhicule inspiré du triathlon….), le circuit mondial des XTERRA bat son plein depuis ce temps. Et vous savez quoi ? Le Québec est l’hôte, à chaque année depuis 2014, d’une épreuve du circuit XTERRA qui permet une qualification à son prestigieux championnat du monde. Particularités de la discipline du cross- triathlon (ou XTERRA ou X-triathlon) ? Épreuve ou se mesurent triathlètes (experts dans les trois sports et dans les transitions), « mountainbikers », et coureurs de trail ! Lesquels de ces athlètes sont les plus aptes à être les plus rapides ? Autre aspect du XTERRA : le plaisir et le dépassement de soi (et vaincre la peur de terminer la face pleine de bouette ;-)). Un esprit de famille et une vibe incroyable sont aussi au rendez-vous !
Le Swimrun maintenant ?
Le swimrun a connu ses débuts en 2002 où des amis se sont lancés un défi (de manière très inusitée, après plusieurs bières ;-)) et est une discipline qui consiste à courir et nager (de manière répétée) dans la nature et en rejoignant des plans d’eau qu’il faut traverser à la nage. La principale particularité du Swimrun : on peut utiliser le matériel qu’on veut, mais on doit le conserver avec nous tout le long de la course (vous imaginez ce que vous voulez.. palmes, paddles, souliers de course….), ce qui signifie qu’il n’y a aucune zone de transition… On termine avec le matériel qu’on a sur la ligne de départ ! Le swimrun se déroule soit individuellement ou en binôme (en équipe de deux). Fait intéressant ? Oui vous pourrez participer à un Swimrun à Québec à l’été 2018, le lendemain du XTERRA Québec !
Et Capitale Triathlon dans tout ça ?
Votre club vous offre en primeur cette année un volet XTERRA ainsi qu’un volet Swimrun. Que vous souhaitiez relever le défi de terminer une de ces épreuves, que vous souhaitiez remporter une de ces courses, que vous souhaitiez vous entrainer dans la nature (vélo de montagne, course en sentier, nage en eau libre) ou parfaire vos connaissance et aptitudes dans une ou plusieurs des disciplines du XTERRA ou du Swimrun, vos entraineurs des volets XTERRA et Swimrun sont là pour vous ! Au menu :
Course en sentier (automne 2017)
Course sur neige (hiver 2018)
Deux sorties organisées en Fatbike (hiver 2018)
Entrainements de course en sentiers et de vélo de montagne à compter de mai 2018
Pratiques de course (natation, vélo de montagne, course en sentier) sur le circuit du XTERRA au Lac Delage
Pratiques de Swimrun (natation, course en sentier avec équipement) sur le circuit du Swimrun au Lac Delage
Besoin de plus d’information ?
Entraineur responsable du volet XTERRA et Swimrun : xterra@capitaletriathlon.ca
Informations sur web : https://capitaletriathlon.com/xterra/
Christian St-Pierre , Entraîneur Capitale Triathlon
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Le camp Utah se déroule à Santa Clara, au pied du mythique Snow Canyon. 2 semaines sont à l’horaire. 31 mars au 7 avril ADULTE 7 au 14 avril JUNIOR
Le camp est axé sur les 3 sports et la qualité. Chacune des journées saura placer une emphase sur l’un des 3 entraînements. Le relief et l’élévation de Santa Clara offre des conditions idéales. L’entraînement se fait en 3 groupes respectant des vitesses différentes selon ceux-ci. Chacun des groupes à un entraineur. Les sorties varient entre 60 et 120 KM selon les groupes.
Le tarif
Le tarif (995$) inclut l’hébergement, la nourriture(dîners et soupers), le chef cuisinier sur place pour les soupers et dîners, les séances dirigés par 3 entraîneurs et l’accès à la piscine. Il te reste donc à prévoir:
Ton billet d’avion (+/- 500$ )
La location d’une voiture qui se fait habituellement en groupe de 4 (+/- 75$ par personnes)
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]La fin de semaine dernière avait lieu le tout premier camp du programme propulsé par Barista. Le squad de Montréal et le Squad de Québec était donc réunis pour une fin de semaine d’entraînement, de technique et de plaisir!
Parce qu’il n’y a pas que le triathlon, les athlètes ont eu la chance de faire la connaissance (et d’échanger quelques coups) avec l’inspirante olympienne (Rio 2016) Arianne Fortin.
Également au programme sur le camp, discussion médias sociaux avec coach Alex et évaluation du coup de pédale avec moi-même.
Le programme Barista, c’est aussi le soutien des partenaires très importants. Les jeunes ont donc été en mesure de tester les vélos Argon 18 en plus de jaser positionnement avec l’ami Guillaume Coutu de Physio Vélo.
Le prochain camp aura lieu en janvier dans la région de Québec. Les jeunes auront la chance de s’initier au Biathlon et au Fat Bike.
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]À cette période de l’année je publie habituellement un article aidant à bien choisir ses objectifs et se motiver pour la saison suivante. Tu peux lire ici l’article parlant du processus, publié en novembre 2016.
Aujourd’hui je vais tenter de te « challenger » un peu, toi, le triathlète pantouflard.
Ton objectif…
Ton objectif pour 2018 est surement déjà décidé. Pas le choix, avec les inscriptions hâtives aux évènements, il faut faire vite afin de s’assurer une place.
Tu as longuement réfléchi et à soigneusement choisi ta ou tes courses. Certes, tu les as placés en ordres d’importance et tu en as discuté avec ton entraîneur. Bon, maintenant, et si on changeait un peu!
Ton éthique
Tu nages 2 à 3 fois semaines, pas plus, « c’est difficile de trouver l’horaire parfait et de concilier travail, famille entraînement… » As-tu prévu placer une emphase natation cette année? As-tu regardé les opportunités de faire « différent » et de joindre un club de natation. Et quand tu nages, as-tu vraiment l’impression de progresser? Tu te donne la chance en nageant plus lentement? Tu de donne les bons outils en étant filmé? Bah, tout ça ce n’est peut-être pas « requis » mais qui ne veut pas progresser?
Tu suis la même « diète alimentaire » et tu as ce petit surpoids? As-tu l’intention de le perdre cette année? Et si tu essayais de « racer » un peu plus léger à la place de te soucier du poids de tes supports à bidon?
Ta valeur
Tu te mesure des fois? Nah, pas ta grandeur, ta vitesse! Bon je sais ce n’est pas plaisant avoir l’heure juste et savoir sa vraie valeur sur 400 mètres crawl ou 3000 mètres Course, mais bon, à toi de voir hein, peut-être que sa peut aider de savoir la vérité!
Quand vient le temps de décider ta course, ta ligne d’arrivée et ton moment de gloire tu es là et tu es impliqué dans le processus! Il est facile, vraiment facile, de s’accrocher à un résultat plutôt que de prendre conscience du chemin qu’il faudra faire pour s’y rendre.
Mais te challenge tu vraiment? Veux-tu vraiment t’améliorer? Qui ne veut pas devenir meilleur!
« outside the box »
Pour la prochaine année, essaie les choses que tu n’as pas encore fait, travail là ou tu ne travail normalement pas ou peu. Travail, « outside the box » être en mesure de te sortir de ta zone de confort et travailler ce que tu déteste le plus fera de toi un meilleur athlète.
C’est entre le mois de novembre et juin que tu construis ta saison 2018… As-tu le goût qu’elle soit différente?
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Je cherchais un titre accrocheur pour ce petit blog, maintenant que j’ai votre attention, il s’agit bien sûr d’un article qui parle de triathlon. Plus particulièrement, devrais-je choisir des compétitions de longues haleines ou plutôt de petites distances et mettre l’emphase sur la rapidité. Avant d’en arriver à une décision il y a plusieurs points à soupeser, en voici quelques uns.
Bien se connaître
Qu’est-ce qui vous as attiré vers ce sport au tout début? Il est vrai que vos objectifs peuvent changer en cours de route, mais est-ce que ce changement vient vraiment de vous, ou vous laissez vous influencer par les objectifs de gens vous entourant ou encore des médias sociaux?
Premièrement, à quoi ressemble le temps que je peux réellement consacrer à l’entrainement? On ne se contera pas de mensonge ici, pour faire de la longue distance le secret c’est le volume, beaucoup de volume, ce qui implique beaucoup d’heure à consacrer à l’entrainement. Il est bien possible de concilier famille, travail et l’entraînement si c’est vraiment ce que vous voulez faire. Lorsque j’ai questionnée l’heure très matinal d’un training, on m’a répondu « nous les Ironman on se lève tôt » c’est une réalité que je n’avais pas encore connue à cette époque!
Deuxièmement, quel est votre budget? En effet certain diront que c’est le même équipement peut importe la distance, mais je vous conseil quand même certains « upgrade » pour rendre l’expérience un peu plus agréable [Sujet de ma future chronique]. Pour donner un court exemple, l’inscription à elle seule pour un demi ironman coûte aux alentours de 300$ et pour un full près de 900$. Il est bien possible de faire de la longue en gardant un budget réaliste, mais garder tout de même cela en tête
Troisièmement, quel genre d’effort votre corps peut supporter et quel est votre condition physique? Est-ce que vous préférez les petites vites ou vous trouvez que ça ne dure jamais assez longtemps! Comment vous sentez vous après de longs entraînements, est-ce que généralement vous récupérez bien? Encore là, je sais que peu importe la distance parcourue tout dépend de l’intensité que l’on y met, car l’un comme l’autre, ça peut être très taxant physiquement, la différence se verra dans le temps de récupération.
Le point de départ
Ceci est loin d’être une liste exhaustive, mais c’est selon moi la base du questionnement. Ceci étant dit, voici comment mon raisonnement c’est fait, lors d’un weekend de golf au Mont-Tremblant en 2013 qui par pur hasard était lors du Ironman. J’ai vu des gens exécuter le parcours avec une détermination contagieuse, j’ai aussi remarqué qu’il y avait toutes sortes de personnes sur le parcours, pas seulement la machine que l’on peut voir en page couverture d’un magazine. De là l’idée s’est mise a germer dans ma tête, est-ce le défi que je cherchais pour recommencer à m’entraîner plus sérieusement? Car pour être franc, à cette époque, le golf et la musculation étaient pas mal toute l’action que mon corps subissait, oui j’avais une bonne base en course à pied, mais coté vélo et nage hum….
La deuxième étape décisive pour moi a été de commencer à faire du triathlon en 2014. Ça tombait bien, je travaillais avec un ancien triathlète qui a bien voulu m’aider à prendre la bonne direction côté entrainement et équipement. En partant je savais que je voulais faire un Ironman, c’était mon objectif ultime et ce, même avant d’avoir souffert lors de mon premier triathlon sprint! Je m’étais fais un plan sur 4 ans, c’est simple, la première année je fais des sprints, l’année suivante olympique et ainsi de suite jusqu’au Ironman la quatrième année. Bon, je n’ai pas suivi mon plan à la lettre, car finalement j’ai réalisé mon objectif ultime lors de ma troisième année. À ma défense, j’avais fait beaucoup de volume lors de l’hiver qui a précédé ma troisième saison.
En conclusion, peu importe vos objectifs et aspirations, vous avez la chance de faire parti d’un club qui a une richesse inestimable en expériences! Alors à vous d’en profiter en questionnant les autres athlètes et entraîneurs. C’est en écoutant autant les bonnes que les mauvaises expériences, qu’on en apprend davantage. PS: Dave se fera probablement un plaisir de vous raconter mes pires
Sur ce, je vous souhaite une excellente saison à la hauteur de vos attentes!!
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]Le 28 septembre dernier avait lieu les 5 ans Capitale Triathlon. Afin d’inspirer nos athlètes pour la saison 2018, Magali Tisseyre, athlète mentor du volet élite Capitale Triathlon est venue nous livrer une conférence authentique et vraiment motivante
La soirée était également l’occasion d’annoncer nos athlètes ambassadeurs et athlètes élites, mais aussi de remettre les 3 méritas annuels du club.
Nous tenons à remercier les partenaires présents Argon 18, Mathieu Performance et Naak!
Pour visoner le vidéo Capitale Triathlon : https://www.youtube.com/watch?v=NtrtUxIO-yw
Merci!
Voici le résumé des gagnants et quelques photos![/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]