Un dénominateur commun

Un dénominateur commun

Un dénominateur commun

 

J’accorde, depuis 11 ans, un soin particulier à l’image de marque. Cette image, l’identité de l’entreprise, passe indéniablement par le logo. Ce logo est synonyme de valeurs puissantes et rassemble des humains.  Ces derniers mois, un grand travail a été fait afin de placer un point commun entre les logos des clubs, des événements et le logo de Sports Capitale.

Nous vous dévoilerons, lors du diner annuel, le 5 novembre, le logo complet. Évidemment nous avons pris soin de contrôler et minimiser les changements afin que l’identité continue d’être reconnue. Christine Cimon, la super La graphiste affiliée au club, à sue faire évoluer l’image de marque afin que tous se reconnaissent. Ces actions ont été arrimées avec le design de la nouvelle collection de linge de triathlon sur Bioracer et le lancement de la boutique Natation.

 

LE(S) LOGO (S)

Dans la superbe recherche afin de trouver le point commun entre les logos des clubs, des événements et celui de Sports Capitale, le C est rapidement ressorti. La lettre devient donc le logo emblématique. Le C restera sobre et affiné, il aura une identité simple, mais reconnaissable. Ce C, vous le devinez, sera imbriqué dans Sports Capitale et dans les Clubs Capitale Natation et Capitale Triathlon.  Autre évolution « tranquille », la couleur suivra toujours le sport. Donc, le bleu sera représenté sur le mot natation et le vert sur le mot triathlon.

 

LE LINGE TRIATHLON ET CYCLISME

Le club a eu la chance d’avoir l’appui et la collaboration de Véronique Proulx pour l’évolution du trisuit. Légère modification de la teinte de vert, affinement des lignes et diminution du pourcentage de vert, la nouvelle collection présentée est juste incroyablement belle et plaira assurément aux cyclistes et triathlètes. Afin que tous puissent recevoir la commande de linge avant les fêtes, la boutique est ouverte, et ce jusqu’au 10 novembre!   https://mybioracer.ca/collections/capital-triathlon

LA BOUTIQUE NATATION

Tout comme Bioracer en triathlon, nous étions à la recherche d’une entreprise afin de créer une boutique en ligne sur laquelle nos athlètes seraient en mesure d’acheter un maillot aux couleurs du club. Afin de plaire à plus d’une silhouette, celui-ci a donc été désigné et est disponible sur plusieurs modèles et marque tel Arena, Speedo et Finz. Une édition spéciale est également ajoutée à la boutique, l’édition Funkita plaira assurément énormément!  Dans cette même boutique, vous pourrez acheter du matériel d’entraînement varié. Nous avons appelé la section les « choix du coach ». Merci à Marie Sedant pour le travail de coeur dans le dossier natation!

Une identité rassemble des gens et place de l’avant des valeurs communes. Les valeurs de dépassement, de plaisir et de respect sont au sein même de notre logo, depuis maintenant 11 ans

 

Francis Bachand

Niveau 4 – DAE Institut National du sport

Fondateur et entraîneur | Sports Capitale 

Conciliation Travail-Famille-Entrainement

Conciliation Travail-Famille-Entrainement

Conciliation Travail-Famille-Entrainement

On me demande souvent comment je réussis à agencer un important volume d’entrainement à ma vie de papa et actuaire. Tout d’abord, j’ai la chance d’avoir un emploi flexible et un employeur compréhensif qui m’aide énormément. Pour l’aspect familial, j’ai également une femme très compréhensive, bien qu’elle n’ait aucun intérêt envers le triathlon. Je ne connais pas la recette miracle, je ne prétends pas être encore assez bon, mais j’ai quelques trucs dans mon sac pour aider et je sens que je progresse dans le domaine. Je mentionne souvent à la blague que les « AGE GROUP » ne devraient pas être en fonction de l’âge de l’athlète, mais celui de ces enfants. Être parent ne veut pas dire forcément de ne pas prioriser le sport ou la performance, il ajoute simplement une contrainte que quelques concurrents n’ont pas. Certains trucs peuvent réduire ces contraintes :

1.      Mettre l’horaire d’entrainement dans l’horaire familial et non l’inverse

Le coaching privé apporte des résultats forts intéressants, mais pour ma part, il n’était plus envisageable. En gros, on me donnait un super plan d’entrainement pour « Peaker » au bon moment et éviter les blessures, mais j’imposais ce long brick ou la longue ride à la famille à des moments qui leur causaient des inconvénients. Je prône plutôt désormais de bâtir mon plan sur des séances à placer selon les disponibilités familiales et accentuer mon entrainement lorsque la famille peut s’occuper sans moi.

2.      Tenter de cibler des entraînements cruciaux et laisser les autres flexibles

Sur chaque bloc d’entrainement d’un mois, j’ai 3 séances cruciales que je veux absolument faire. Le reste, je les prépare, mais je peux toujours les ajuster et modifier selon l’horaire familial. Rester flexible reste la clé.

3.      S’entrainer durant les cours des enfants

J’apporte toujours mes souliers de course quand les enfants font de la danse, du tennis ou autres activités. Oui, parfois ça apporte le reproche que je ne les ai pas regardés tout le cours, mais je suis ensuite plus disponible pour le moment de la journée où ils sont moins occupés.

4.      Le commuting et s’entrainer avec les enfants

Je cours actuellement à côté de mes enfants qui sont à vélo pour les récupérer à l’école ou aux camps d’été. Tellement que mes enfants en deviennent fatigués. C’est du volume fondamental, gratuit. Pour ceux avec des plus jeunes, la poussette vers la garderie garantit une super forme et une économie de gaz.

5.      S’entrainer le soir, le matin où durant les midis de semaine

100 % de mon volume de natation se fait le matin et je peux même reconduire les enfants vers l’école ou le camp d’été ensuite. Si ma journée de travail est plus remplie, je fais mon entrainement lorsque j’ai couché les enfants et cela nous permet de nous voir plus longtemps.

6.      Avoir un vélo prêt

Une ride de vélo prend toujours trop de temps de préparation. Je me suis donc fait des parcours « porte à porte » et j’ai un vélo qui peut être à l’extérieur en moins de 3 minutes incluant les pneus gonflés afin d’être plus efficaces dans mes sorties.

7.      Favoriser la récupération

La récupération consiste en 3 principes : bien dormir, bien manger et bien s’étirer. Le tout est au cœur de ma routine, car ma fatigue d’entrainement, ma famille s’en fout et elle me réclame à 100 % de mes capacités.

8.      Avoir du plaisir

Je priorise toujours un entrainement plaisant avant un entrainement payant. Je ne dis pas que plaisant et payant ne peuvent pas cohabiter, mais je ne veux surtout pas faire subir mon humeur post-entrainement lorsque je n’ai pas eu de plaisirs à l’entrainement.

N’hésitez pas à me partager vos trucs également, je désire continuer de progresser comme parent-athlète.

Le WHY de mon deuxième Ironman

Le WHY de mon deuxième Ironman

Le WHY de mon deuxième Ironman

Mathieu Blanchard a fait un super podcast sur le thème du « WHY » et pour moi c’est devenu essentiel à tout ce que j’entreprends. Le « WHY » permet de se recentrer et garder le cap lorsque l’entrainement va moins bien ou que des évènements hors de notre contrôle (pour ne pas dire feu de forêt…) viennent chambouler nos plans. Donc, je vous partage le « WHY » de mon deuxième Ironman.

Sans revenir sur mon passé, j’avais consacré ma vingtaine à ma carrière et mon corps avait gonflé à 225 livres. Mon Ironman de 2021 symbolisait ma remise en forme et le couronnement d’un mode de vie plus sain. Je crois avoir bien réussi en termes de performance, mais dans mon fort intrinsèque, j’avais échoué dans plusieurs autres domaines :

  • Le faire devant les miens
  • Être un papa, un chum et un ami présent
  • Motiver les autres à se lancer dans cette aventure
  • Avoir du fun dans le processus

En gros, j’étais un missile à tête chercheuse et devenait lourd dans l’atteinte de mon but en ne parlant que de cela et en étant absent mentalement pour ceux que j’aime. J’avais ma vie sur pause pour atteindre mon but. Mais à quoi bon d’atteindre son but de cette manière ?

Alors, l’an dernier, je me lançais dans une saison 2022 où la forme était bonne, un bagage d’expérience plus important me permettait de gérer mon horaire plus adéquatement. J’avais du plaisir à chaque fois que je m’entrainais et la progression était au rendez-vous. Nous sommes donc le 21 août 2022 (Date de l’Ironman Tremblant) et je me lance sur une ride de vélo pour rejoindre la famille à Shawinigan de près de 180 KM. Je me sens super bien et le « Ironman Tracker » sonne pour me signaler certains amis dans le parcours. J’arrive à Shawinigan et je décide de courir et je me rends compte que j’avais la forme pour accomplir cet objectif à nouveau sans avoir focussé sur le tout. À ce moment mon idée était faite, je m’inscrirais le 22 août pour 2023. J’avais fait mon premier Ironman seul au Maryland au lieu de Tremblant qui fut annulé par la pandémie. Ma femme n’avait pas pu avoir de vacances et seul un bon ami m’avait accompagné. Je trouvais que je devais le refaire selon mes valeurs en ciblant 3 objectifs :

  1. Compromettre le moins possible mon temps familial et passer la ligne d’arrivée en évitant la remarque suivante que j’avais eue au 1er : « Bravo, mais c’est ton dernier ce coup-ci ».
  2. Être la personne que mes amis et ma famille connaissent. Ne pas les emmerder avec mon objectif en centralisant nos discussions autour de cela. Ne pas refuser une bonne bière ou une soirée sous prétexte que je m’entraine. Les proches sont plus importants que mon objectif.
  3. Avoir le goût de faire du vélo le 21 août 2023. Cela voudra dire que j’ai eu du plaisir dans le processus.

Une fois ces 3 objectifs atteints, je pourrai consulter mes objectifs de performance, sinon pour moi la performance ne vaudra rien. Et vous quel est votre WHY ?

Francis Mckinnon 

Ambassadeur Capitale Triathlon 

Quand s’entrainer devient un jeu

Quand s’entrainer devient un jeu

Quand s’entrainer devient un jeu

Je suis dans le triathlon depuis plus de 5 ans désormais et je dirais que le facteur prédominant pour avoir une belle progression est d’avoir du plaisir. Sans plaisir, on ne peut rester motiver et constant dans notre progression sur le long terme. Avec le plaisir, on ne s’entraine plus, on s’amuse et la discipline et la rigueur sont alors acquises. J’aimerais donc vous donner ma philosophie sur mon entrainement depuis 2 ans et vous montrez qu’on peut progresser en s’amusant.

Je croise beaucoup d’athlètes qui ont un objectif spécifique et s’entraine dans la quête de le réussir. J’ai passé par là pour l’atteinte de mon premier Ironman que je crois avoir réussis. Toutefois, je trouve personnellement que je devais faire énormément de sacrifice et quand j’ai atteint ma cible, je n’avais plus le goût de toucher à mon vélo, je n’avais plus le goût de courir et j’avais perdu ma motivation, je n’avais plus de cibles. Quelle était la prochaine étape alors ?

Puis, j’ai commencé à sortir des structures d’entrainements et plutôt me poser les questions suivantes :

  • Comment aimes-tu t’entrainer ?
  • Qu’est-ce que tu n’aimes pas comme entrainement ?

J’ai fait des efforts pour voir comment progresser dans mes faiblesses sans compromettre mon plaisir et ma motivation en étant créatif. Je crois qu’un entrainement qui correspond à 90 % du besoin, mais dont on a du plaisir est plus payant qu’un à 100 % dont on doit se battre pour le faire. Voici quelques exemples qui ont conduit à une philosophie plus saine d’entrainement et une progression étonnante.

Ce que j’aime :

      • Me fier à mon énergie et ajuster mon effort en conséquence
      • La compétition saine et amicale.
      • Les entrainements en groupe
      • Les courses sur « Zwift » et compétitions prédéfinies
      • Découvrir de nouveaux parcours en vélo et course et rouler de façon sécuritaire
      • La vitesse et la progression avec certains segments « Strava » pour me mesurer
      • Les statistiques sportives sont une réelle obsession
      • Combiner le multisport

    Ce que je n’aime pas :

      • Les « one size fit all » ou les cadres trop rigides
      • La zone 1
      • Faire des entrainements solitaires trop fréquents
      • Les entrainements qui ne sont pas « family-friendly »
      • Trop de techniques et pas assez d’instincts
      • Me dénaturer de mes forces
      • La musculation de salon ou en gym

    Alors désormais, quand je reçois des compliments de mes proches me disant comment tu fais pour rester motiver aussi longtemps et constamment, la réponse est simple :

    « J’ai juste vraiment du fun à m’entrainer »

    Francis Mckinnon 

    Ambassadeur Capitale Triathlon 

    La gestion des équipements

    La gestion des équipements

    Fraichement arrivé de Lanzarote, je me rends compte que la cinquième discipline du triathlon est possiblement moins bien maitrisée. La natation, le vélo, la course à pied sont au cœur de l’entrainement. La nutrition aussi pour ceux plus expérimentés, mais la gestion des équipements semble un sujet un peu négligé. Voici quelques constats observés :

    La pression des pneus: quand on lit la pression sur le pneu, on ne parle pas de la pression à mettre dans le pneu, mais bien la pression maximale que le pneu peut supporter. Trop de pression conduit à plus de frottement et un risque de flat accru sur nos routes québécoises plus capricieuses. Voici un site intéressant : SILCA Professional Tire Pressure Calculator

    La chaîne et sa lubrification: C’est la partie qui transmet la puissance de vos pédales à la roue. Assurez-vous qu’elle ne soit pas trop usée et surtout propre. Trop de lubrification n’est comme pas assez.  De plus, ne la lubrifiez pas n’importe comment et utilisez un lubrifiant de qualité.  Pour ceux qui sont maniaques de propreté comme moi, je vous suggère de « waxer » au lieu de les lubrifier : SILCA Secret Chain Blend – Hot Melt Wax

    L’aérodynamisme et le positionnement : On voit tellement de vélo de haute valeur sur le circuit Ironman dont le pilote n’est pas efficacement positionné. Il est aussi important sinon plus d’être positionné que d’avoir un bon vélo et le tout peut être payable par vos assurances collectives. N’hésitez pas à prendre un rendez-vous et le placer à votre agenda!

    Le coefficient de frottement: Vous vous entrainez fort pour que vos jambes et votre cardio vous propulsent, mais certains détails peuvent vous aider à aller plus vite au-delà de votre positionnement. Je dirais dans l’ordre : un casque aérodynamique, de bon pneu, des roues profilés, limiter les bidons d’eau sur le cadre, avoir des vêtements ajustés. Garder en tête que vous devez prendre le moins d’espace dans l’air, frotter le moins possible sur la surface et peser le moins de poids possible pour avancer plus rapidement à la même puissance.

    Les fameux souliers de carbone en course à pied : Ce n’est pas une formule miracle et trop de coureurs les prennent et cela leurs nuits. En gros, le carbone vous propulse, mais il peut propulser autant vers l’avant que vers l’arrière, alors soyez prudent. De mon côté, si je sens pour courir plus vite que 4 min 40 du kilomètre, le carbone peut être considéré. Plus lent, le tout me conduira à des crampes à cause de l’effet de propulsion arrière. Alors, restez vigilant.

    Les étirements: On me mentionne souvent comment je fais pour ne pas me blesser avec autant d’intensité. Pour ma part, je suis très rigoureux sur les étirements et l’entretien. Je me masse avec une balle au niveau de la « glute » 3 à 4 fois par semaine, un peu de rouleau sur les bandelettes, un « pso-rite » pour relâcher le psoas, un peu de « suces » pour les épaules, un peu de « massage gun » sur les mollets et ligaments du genou. Je me fais aussi masser religieusement avant et après chaque gros défi. Ne négligez pas le tout et vous verrez que le tout vous redonnera de l’énergie. Un corps hypothéqué est souvent fatigué et finira par flancher.

    Chaque athlète a ces propres recettes, je voulais vous partager ce qui fonctionne bien pour moi. N’hésitez pas à m’en parler à un entrainement, j’adore échanger des conseils.

    Bonne saison gang

    Francis Mckinnon 

    Ambassadeur Capitale Triathlon 

    LES EXCÈS DU PRINTEMPS

    LES EXCÈS DU PRINTEMPS

    Les excès du printemps

    Non non je ne parle pas de la cabane à sucre ici! Mais du syndrome il-fait-tellement-beau-je-ne-peux-pas-juste-faire-un-5km-même-si-je n’ai-pas-couru-de-l’hiver! L’arrivé du printemps amène son lot de pièges et il faut rester vigilent et respecter son plan. Pour ceux qui ont couru durant l’hiver, la transition se fera plus facilement naturellement. Il faut seulement faire attention à l’adrénaline qui est présente quand on court sous le soleil et la chaleur pour les premières fois et qui nous pousse à courir juste 4 ou 6 ou 10km de plus qu’à notre habitude.

    Pour ceux qui ont fait la transition au ski de fond durant l’hiver, il faut se méfier lors du retour à la course. Le cardio sera au rendez-vous mais la mécanique de la course versus le ski de fond ou la natation est très différente, ce qui met à risque de blessure. La course représente des impacts unipodals à raison d’autour 90 par minute, alors imaginez quand on court 30-40 minutes. Le ski de fond ou la natation gardent en forme au niveau cardiovasculaire et musculaire, mais ne préserve pas le corps à subir les impacts de la course. Il faut donc faire un retour graduel, idéalement en fractionné si la course a été totalement absente durant l’hiver.

    Également, lorsqu’on parle de cours sur tapis roulant, il est préférable quand même de faire une transition quand on retourne à l’extérieur. Le tapis offre un environnement très contrôlé, sans vent, sans variations de parcours et sans variations de dénivelé. De plus, comme c’est le tapis qui passe sous les pieds et non les muscles du corps qui poussent pour nous propulser, tout ces facteurs contribuent à encourager une diminution de la distance de course lors des premières sorties extérieurs pour revenir graduellement au temps habituel.

    En terminant, il est possible de consulter en physio lors de blessure mais également pour se faire guider, pour faire une évaluation du patron de course ou pour avoir des exercices en prévention alors n’hésitez pas à consulter.

    Sylvie Martin

    Intervenante externe – Physiothérapeute

    Retour sur la saison 2022

    Retour sur la saison 2022

    Retour sur la saison 2022

    2022: C’est maintenant l’heure des bilans.

    Après avoir eu beaucoup de mal à gérer l’anxiété reliée à l’atteinte d’un objectif ambitieux sur le demi-marathon d’Ottawa, je me suis promis d’avoir du plaisir pour tout le reste de la saison de triathlon. Bien que cela puisse paraître évident, j’ai réalisé que les objectifs de chrono que je me fixais éclipsaient celui bien simple, mais primordial, d’apprécier les courses.

    Étant de nature assez compétitive, je voulais atteindre des résultats à la hauteur des efforts investis, mais sans m’infliger le stress qui vient avec le la crainte d’échouer.  C’était tout un défi !

    Mon entraîneur Coach Phil m’a comprise en me proposant des plans de course un peu moins agressifs qui me permettaient de prendre le départ en confiance et de garder cet état d’esprit jusqu’à la ligne d’arrivée. Avec cette nouvelle façon d’aborder les courses inscrites à mon calendrier, tout a changé. Je n’ai plus jamais été déçue de mes performances et j’ai recommencé à profiter des événements sans une appréhension démesurée. Je me suis surprise à sourire tout en donnant le meilleur de moi-même, en dépassant les cibles fixées et en ne conservant que du positif de mes récits de course. Donc à la question est-ce que j’ai eu une saison à la hauteur de mes objectifs? La réponse est:  bien au-delà.

    D’abord et avant-tout, j’ai profité de chacunes des étapes du processus pendant lequel j’ai partagé de nombreux entraînements avec mes merveilleuses amies et mon amoureux. J’ai franchi fièrement la ligne d’arrivée de mon premier Ironman 70.3 avec des souvenirs incroyables. Je suis montée sur la 3e marche du podium féminin sur le triathlon olympique de Duchesnay et fait une 2e place dans mon groupe d’âge sur le triathlon sprint de Magog (10e femme) et lors du 10 km du Marathon Beneva de Québec (5e femme).  Fait le plus imprévu, je termine la saison avec des PB sur chacune de ces distances, et ce, sans jamais avoir focussé sur un temps précis.

    Au final, cette approche m’aura donc permis de performer en dépassant largement mes attentes. Oui, j’ai atteint des résultats hautement satisfaisants, mais ma plus grande victoire aura assurément été celle de conserver du plaisir tout au long de l’été, autant en entraînement que lors des compétitions.

    J’attends maintenant  impatiemment de voir ce que 2023 me réservera comme apprentissages.

    Marie-Michèle

     Conserver la motivation en temps de pandémie

     Conserver la motivation en temps de pandémie

     Conserver la motivation en temps de pandémie

     

    Mars 2020,  la pandémie. Cette ère qui est venue ébranler toutes nos certitudes. Avant ce moment, à part des blessures ou la maladie, rien ne pouvait nous empêcher de participer aux courses auxquelles nous nous étions inscrits.

    Quand le marathon d’Ottawa a été annulé quelques semaines suivant le début du confinement, je n’ai absolument rien fait pendant 1 semaine, à quoi bon. Cependant, j’ai rapidement constaté un grand vide. Je me suis donc questionnée sur les raisons qui me motivaient à m’entraîner. Était-ce uniquement le fait de franchir une ligne d’arrivée qui justifiait toutes ces heures d’entraînement? Oui, la musique, la foule, l’organisation, le classement, tous ces éléments participent au bonheur de réaliser un objectif, mais au-delà de ça, ne devrait-on pas éprouver de la fierté à compléter chacun de nos entraînements? Certains seront plus faciles que d’autres, mais chacun d’entre eux devrait être un objectif en soi.

    Comme nous n’avions plus de contrôle sur les courses à venir, j’ai décidé que je suivrais tout de même le plan que je m’étais fixé et que je l’accomplirais exactement comme j’avais prévu le faire. C’était bien la seule chose que je pouvais contrôler.  Je n’ai jamais autant progressé qu’en changeant ma vision de l’entraînement et en ne pensant plus uniquement au jour J. J’ai appris à m’entraîner pour le plaisir de me dépasser quotidiennement. Je construisais là une base solide faisant en sorte que peu importe les annulations ou les reports, je gardais le contrôle sur l’aspect le plus important : ma progression vers mes objectifs. Même si ceux-ci ne s’accomplissaient pas dans le cadre d’un événement organisé, rien n’empêchait de vouloir franchir une plus longue distance, atteindre un meilleur chrono ou même commencer une nouvelle discipline.

    Je suis devenue davantage stimulée par le processus que par l’exploit. La réalisation des entraînements prévus à mon plan est devenue un besoin. Je vois maintenant le tout comme un rendez-vous qu’il m’est impossible de rater. J’ajoute à cela des séances avec des athlètes du Club tous autant stimulants les uns que les autres, et me voilà encore plus motivée à continuer de repousser mes limites.

     

    Marie-Michèle Fouint

    Ambassadrice Capitale Triathlon 

     

     

    TRAVAIL D’ÉQUIPE – par ANNIE BELLAVANCE

    TRAVAIL D’ÉQUIPE – par ANNIE BELLAVANCE

    TRAVAIL D’ÉQUIPE 

    Dans les dernières années, je me suis inscrite à des compétitions qui nécessitent davantage de préparation, ce pourquoi dans le but d’optimiser mes performances, de prévenir les blessures, mais aussi d’avoir un rythme d’entraînement, un horaire et une structure qui correspond à mes besoins, je me suis tournée vers l’entraînement privé.

    Le fait de pouvoir avoir en tête ce qui s’en vient et de pouvoir prévoir ma semaine en fonction de mes entraînements me permet de gérer mon horaire de travailleuse autonome beaucoup facilement. Christian est une personne passionnée, intéressée, curieuse, réfléchie, rigoureuse, à l’écoute, qui s’adapte et qui possède une expertise diversifiée non seulement en triathlon, mais dans plusieurs sports complémentaires. Il préconise avant tout le plaisir et la diversité des entraînements, ce qui est essentiel pour favoriser la motivation de l’athlète au long cours. La relation entraîneur-athlète représente pour moi un travail d’équipe qui à la base est centrée sur la compréhension des besoins de l’athlète, l’expression de ces derniers desquels découlent la construction d’objectifs.

    Les notions de respect, de confiance, de communication, de reconnaissance sont centrales à l’épanouissement de chacun dans la relation et j’ai réellement l’impression que ces valeurs sont partagées par Christian. L’atteinte des buts fixés contribue à la fois à la valorisation de l’entraîneur dans ses capacités à réfléchir, à planifier, à prévoir et à projeter le développement de l’athlète à long terme, mais aussi la valorisation de l’athlète via, entre autres, sa capacité à se dépasser et à repousser ses limites, mais aussi à sa capacité à reconnaître ses limites, à mieux se comprendre et à s’affirmer..

    Le triathlon étant un sport individuel, le fait de me sentir soutenue et accompagnée à travers le processus d’entraînement vers une compétition est devenue pour moi une nécessité et favorise mon sentiment d’appartenance envers ce sport. L’entraîneur contribue à travers les échanges et ses rétroactions à développer la vision de l’athlète de lui-même et je pense sincèrement que Christian favorise le développement de ma confiance dans mon rôle d’athlète, pas nécessairement à travers l’apprentissage et la maîtrise de nouvelles habiletés, mais également à travers nos échanges.

    Entonces, por todas estas razones, te digo muchas gracias Christian.

    Par Annie Bellavance

     

    TRAVAIL D’ÉQUIPE – par MARC-ANDRÉ VACHON

    TRAVAIL D’ÉQUIPE – par MARC-ANDRÉ VACHON

    TRAVAIL D’ÉQUIPE 

     

    Quand j’ai demandé à mon petit garçon de 3 ans ce que c’était le travail d’équipe, il m’a répondu spontanément que le travail c’était de faire une construction et donc que le travail d’équipe était de faire une construction entre amis. À bien y penser, ça représente très bien ma relation avec Coach Phil; nous construisons ensemble et entre amis un plan qui me permettra d’atteindre mes objectifs.

    J’ai rencontré Phil alors que j’étais à la recherche d’un entraineur privé. Le but de ma démarche était d’accélérer ma progression vers mes objectifs et d’augmenter mes performances. Cela fait maintenant plus d’un an que nous travaillons ensemble et il est indéniable que Phil m’a apporté beaucoup plus que de la simple performance.

    Avec une vie professionnelle et familiale bien remplie, ma plus grande difficulté a toujours été d’intégrer l’entrainement à ma routine de façon durable. Comme beaucoup de sportifs, j’ai toujours eu besoin d’objectifs ambitieux, presque épeurants, pour me motiver à bouger. Par le passé, je répétais donc constamment le même cycle contre-productif; une inscription au marathon, quelques semaines d’entrainement et une participation pénible à un évènement durant lequel je ne retirais pas le plaisir escompté (et évidemment, pas la performance attendue). C’est avec les batteries vides et un goût amer de l’entrainement que je reprenais alors le chemin de la sédentarité pour plusieurs mois, voire même plusieurs années, jusqu’à qu’une autre idée folle me traverse l’esprit.

    La première étape avec Phil a donc été de fixer des objectifs réalistes et progressifs. Il est primordial de se fixer une cible ambitieuse à long terme, mais il faut également se fixer des objectifs à court et à moyen terme. Les objectifs à plus court terme sont là pour mesurer la progression, se challenger et surtout, goûter au sentiment au sentiment d’accomplissement que procure l’atteinte d’un objectif. Ça permet d’être gonflé à bloc pour la suite des choses. Quant à lui, l’objectif à long terme est le rêve vers lequel nous tentons de progresser. C’est celui-là qui nous permet de garder le cap même si on traverse une période plus difficile et qui nous garde motivés à l’entrainement malgré le fait que nos compétitions sont chamboulées par des imprévus (COVID, blessure, etc.). Chaque coup de bras, chaque coup de pédale et chaque pas de course nous rapprochent un peu plus de cet objectif qui semblait si inatteignable au départ. C’est simple et tellement évident vous me direz, mais pour un impatient ayant soif de défis comme moi, un coach a été nécessaire pour apprendre à apprécier autant le processus, sinon plus, que la finalité! C’est à ce moment, et seulement à ce moment, qu’on peut affirmer que l’entraînement fait et fera toujours partie de notre quotidien.

    Vous ne serez maintenant pas surpris si je vous dis que j’avais à l’époque une seule intensité à l’entrainement : ALL OUT. Sinon, ça ne vaut pas la peine de bouger. Pas le choix quand on a 10 semaines pour passer du divan à la ligne d’arrivée d’un marathon! Là encore, Phil a eu un impact majeur. Il m’a démontré que chaque intensité avait son importance. Et oui, même la longue sortie de course en zone 1 qui me paraît tellement plus longue que si j’avais fait le même 90 minutes en zone 2, 3… et un peu de 4, avouons-le. Ce n’est pas bon pour les stats Strava, mais je dois avouer que c’est payant. Blague à part, si on veut continuer de progresser à long terme, garder un bon niveau d’énergie et limiter les blessures, les entrainements et les cycles doivent être progressifs, diversifiés et bien structurés. J’entends Phil répéter : « la qualité avant la quantité! »

    Ma relation avec Phil va toutefois bien au-delà de l’entrainement physiologique et je pense que c’est là la clé d’une relation entraineur-athlète efficace et durable. Il y a une tonne d’entraîneurs compétents et dévoués, mais le fit doit être le bon. Nous n’avons pas tous les mêmes besoins et nous ne répondons pas tous de la même façon aux différentes approches de coaching. Par exemple, tout comme Phil, j’aime les chiffres et la précision. Si le fichier Excel dit que ça passe, ça va passer! Pour d’autres, cette approche peut parfois sembler trop structurée et pas suffisamment modulable en fonction de nos envies du jour. Quand le fit est bon, la confiance et la transparence s’installent rapidement. Il ne faut pas être gêné de dire qu’il y a de la fatigue dans le système, qu’on vit une période plus stressante au travail ou que le petit a encore ramené un virus de la garderie. Comme dans toute équipe, plus la communication est bonne, plus les résultats seront satisfaisants et plus le processus sera agréable. Et finalement, si vous trouvez le fit parfait, c’est un ami qui vous coachera dorénavant.

    Bref, je pense que ce que Coach Phil m’a apporté de plus important est l’équilibre. L’équilibre entre l’entrainement et les autres sphères de la vie. L’équilibre entre le plaisir et le dépassement. Et c’est cet équilibre qui amène le plus important: le plaisir et les saines habitudes de vie!

     

    Marc-André Vachon

     

    TRAVAIL D’ÉQUIPE – par ANNIE BELLAVANCE

    TRAVAIL D’ÉQUIPE – PAR KEVIN ROBERGE

    TRAVAIL D’ÉQUIPE 

    Lorsque j’ai commencé le triathlon en 2019, je n’avais aucune structure d’entraînement. J’ai d’ailleurs souffert de quelques blessures puisque mes entraînements n’étaient pas adaptés en fonction de mes besoins. 

    J’ai commencé à travailler avec Coach Phil en 2020. Dès le début de notre relation coach/athlète, je savais que nous allions bien nous entendre. Son approche analytique m’a rejoint immédiatement. Étant actuaire de profession, je ne pensais jamais trouver quelqu’un qui aimait plus analyser les statistiques d’entraînement que moi, mais détrompez-vous, Phil est l’expert de l’analyse de données. Je vous confirme qu’il ne laisse rien au hasard. J’ai appris beaucoup sur la structure d’entraînement avec Phil, il personnalise son approche selon mes forces et faiblesses.

    Pour 2021, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure de la plus longue distance en triathlon, le Ironman. Phil était prêt à m’accompagner dans ce projet dès la première conversation que nous avons eu à ce sujet. 

    La discipline la plus difficile pour moi dans les 3 sports est la course. Pendant le processus menant au Ironman, son expertise en course à pied m’a non seulement permis de progresser malgré une blessure au genou, mais la portion course a été selon moi le moment fort de mon Ironman.

    Au-delà de la VAM, PAM et du FTP, Phil a une approche très humaine et il sait nous comprendre en tant qu’athlète. Il a à cœur l’atteinte des objectifs de ses athlètes. Il est disponible et toujours de bons conseils. Je tiens aussi à mentionner que sa présence lors du Demi-Esprit et sa fierté lors de mon arrivée a clairement été mon moment « coup de cœur » et j’ai trouvé ce moment très valorisant en tant qu’athlète. 

    Merci pour le support Coach !!

    Kevin Roberge

     

    La gestion des équipements

    TRAVAIL D’ÉQUIPE – PAR MARIE-FRANCE AUDET

    TRAVAIL D’ÉQUIPE 

    Je suis une personne très intense et c’est ce trait de caractère qui m’a poussé à vouloir me lancer dans l’entraînement pour un triathlon. Puisque la modération n’est pas ma force et, n’étant pas experte dans le domaine, je me suis mise à effectuer des recherches pour trouver un entraîneur.

    Je suis tombée sur Phil via le site de Capitale Triathlon et j’ai décidé de prendre contact. En plus d’être un excellent encadrement, son coaching m’aide vraiment à gérer mes envies de pousser tout à l’extrême… même si j’ai parfois encore quelques petits écarts !

    Le fait d’avoir une structure aussi claire et efficace ma permis de voir des progrès significatifs au cours de la dernière année.

    Je pense honnêtement que je ne serais pas rendue aussi loin tout en restant aussi motivée sans lui et en suis très reconnaissante.

    Marie-France Audet 

     

    Des membres capitale qui inspirent – la préparation ironman de francis McKinnon

    Des membres capitale qui inspirent – la préparation ironman de francis McKinnon

    Bonjour à tous,

    Voici un super retour sur ma semaine pré compétition que je prépare depuis plus de 2 ans. Tout d’abord, je suis père de famille de 2 magnifiques filles (Naomie 6 ans, Gabrielle 7 ans), conseiller expert en actuariat et fellow de la « Casualty actuarial society ». J’ai un background de hockeyeur qui a fait un programme sport-études, j’avais du talent, mais rien pour percer au plus haut niveau. Je me suis joint au Club à l’automne 2019, après une première expérience Ironman à Lake Placid sur 70.3. La fierté que j’ai porté après ces évènement m’a fait réaliser que je désirais poursuivre ma route vers le Ironman, mais un hockeyeur a besoin d’aide dans un sport qu’il ne connait pas, surtout dans l’eau.

    En gros, je séparais mon parcours vers le Ironman en 4 phases :

    • Phase remise en forme (2016 à 2018) : Je sortais de mes études pour obtenir mon titre (FCAS), 2 enfants en jeune âge, blessure au ménisque, diagnostique de cholestérol, etc… La balance avait atteint les 225 livres. J’ai donc réussi à maigrir avec l’application « Fitness Pal », jumelé a de la course-commuting (6 km  poussette) par jour. Ensuite, 4 boucles GPDL, 2 défis entreprise et un premier demi-marathon et marathon.
    • Phase initiation au triathlon (2019) :

    J’ai fait mon premier triathlon en 2018 à Duchesnay en nageant 200 mètres sur le dos au sprint. Ensuite, le triathlon olympique de la Baie de Beauport (seule édition) avec des vagues une natation de 1900 mètres. Puis, je me dirige vers Lake Placid. J’apprenais les rudiments du sport. Naturellement, le vélo allait très bien, mais la natation « ouf » j’avais besoin d’aide (d’ailleurs, j’en ai toujours besoin).

    • Phase perfectionnement (2019-2020) :

    Printemps 2019, je fais mon entrée dans le Club et j’ai beaucoup d’affinités avec Anthony et d’autres athlètes. Je tombe en amour avec la vibration des triathlètes; qui es tellement différente de celle des hockeyeurs. J’étais sur une belle lancée et la Covid-19 a pratiquement tout bloqué, sauf la plateforme Zwift qui était déjà mon terrain de jeu. Toutefois, j’ai rencontré beaucoup d’athlètes et de coachs passionnés pour me guider.

    • Phase Ironman (2020-2021) :

    Tremblant 70.3 2020 tombe à l’eau. Je me dépêche et je m’inscris au 140.6 en 2021. À ce moment, je sais que je dois maximiser ma progression et je constate que j’ai une grosse affinité avec Coach Phil, père de 2 filles, très analytique et axé technologie. Celui-ci accepte de me prendre sous son aile. Nous travaillons ensemble depuis juillet 2020. On progresse rapidement et Phil se rend compte que je suis un athlète têtu, rigoureux et compétitif. Phil me dose beaucoup dans mes efforts et la progression va mieux qu’anticiper, surtout en vélo.  Nous avons de l’avance au début de l’été et je me blesse à la bandelette en même temps que Tremblant 2021 soit annulé. On s’ajuste et on vise maintenant le Maryland. Malheureusement, mes enfants ne pourront être à mes côtés comme espéré, mais je suis prêt, anxieux et tellement reconnaissant de pouvoir réaliser mon objectif dans les circonstances.

    Je vous reparle de mon expérience bientôt!

     

    Francis McKinnon

     

    Des membres Capitale qui inspirent « Retour sur Muskoka 70.3 »

    Des membres Capitale qui inspirent « Retour sur Muskoka 70.3 »

    Retour sur Muskoka 70.3 où j’ai pu me qualifier pour les championnats 70.3 en 2022.

    Il y a d’abord là-dedans une question de chance puisque j’ai eu le 2e ‘slot’ avec ma 6e place dans mon groupe d’âge. Mais sinon, ce fut une très très bonne journée où on réussit mieux en course qu’à l’entraînement. Une bonne nage (pour moi) avec des pieds pour drafté dans la 2e moitié (37min48; M50-54 : 29e/101; sexe : 233/792; global 304/1119), très bon vélo avec un parcours qui me convenait en côtes et valons, marqué par ma première pluie en 25 triathlon (pluie intense et orage sur 30km) et la remontée du peloton (M50-54 : 10e/101; sexe : 88/792; global 97/1119). Et une très très bonne course pour moi vu la difficulté du parcours toujours en montées et descentes, le soleil de plomb, la chaleur et l’humidité (ressentit 35 degrés) qui montre que mon hydratation et alimentation ont bien marché. Ma remontée s’est achevée avec un temps global de 4h53min30 (M50-54 : 6e/101; sexe : 63/792; global 65/1119).

    Stéphane Jolin m’avait demandé la semaine avant mon objectif. Compte tenu de la difficulté du parcours à vélo et surtout à la course, je lui ai dit ‘en bas de 5h et m’approcher des 5 premiers dans mon groupe d’âge’. Bref, je suis bien content.

    Content parce que ça, mais fin à 18 mois de doutes et d’incertitude et de changement constant dans la planification. Je me suis inscrit à Muskoka le samedi précédent… Ma course A devait être Tremblant (reporté, puis annulée), puis Timberman (frontière fermée jusqu’au 22 août), puis Maine (frontière fermée jusqu’au 22 septembre), puis Magog (distance de la càp coupé de moitié). Merci la planification en mode santé publique…

    Mais je dois cette qualification à beaucoup de monde qui mon aidé à progresser. D’abord à Éric Lacroix et Nina Wolf en spinning chez Nautilus avant même que je me mette au triathlon en 2017. À Simon Jacques mon nutritionniste et Claudia Bernier entraineur chez Nautilus qui mon aidé à perdre mes 40 premières livres. À Francis Pronovost mon collègue qui m’a accompagné dans mon 1er sprint et mon 1er olympique en 2017 et mon 1er 70.3 en 2018. Aux nombreux coachs chez Capitale triathlon qui mon aider à progresser dans les trois sports. À Francis Bachand et à Capitale triathlon pour nous offrir un large éventail de possibilité d’entraînement. À mon coach Martin Cleroult que j’ai connu comme coach de vélo chez Capitale triathlon qui me pousse et endure mes incertitudes et mes doutes depuis 18 mois. Et bien sûr à ma blonde et mes trois enfants qui m’aiment même quand je ne suis pas là…

    Alexandre Turgeon

    Zenit tu connais?

    Zenit tu connais?

    Bonjour tout le monde ! Je suis enchantée de faire votre connaissance. Mon nom est Danielle Dubois, je suis nutritionniste diplômée, sportive et maman de deux enfants.  Je suis une passionnée de course et de vélo.

    J’œuvre dans l’industrie agroalimentaire depuis plus de 20 ans et je m’intéresse aux impacts d’une saine alimentation et des bonnes habitudes de vie sur le corps humain. Je prône fortement l’équilibre dans toutes les sphères de notre vie et je suis persuadée qu’on a tous à l’intérieur de nous le courage de passer à l’action pour réaliser nos rêves. De plus, je suis convaincue que la science de la nutrition peut avoir un effet très positif sur notre qualité de vie et sur nos performances.

    Je me suis lancée dans l’aventure Zenit pour faire du bien aux gens. Zenit, ce sont les recettes « maison » que j’ai développées pour vous offrir des produits faits avec des ingrédients simples, rien de plus. Tous les produits sont pensés pour vous offrir le meilleur avec des compositions qui vous donneront de l’énergie lors de vos activités sportives.

    Des collations avec des ingrédients d’ici et/ou biologiques. Le meilleur pour votre corps voilà tout.

    Au plaisir de vous rencontrer

     

    Danielle Dubois

    Nutritionniste, Dt.P.

    Présidente, Fondatrice & CEO  |  President, Founder & CEO

    Ma venue avec le club!

    Ma venue avec le club!

    Ma venue avec le club!

    C’est avec un grand plaisir que je rejoins l’équipe de Capitale Triathlon. J’espère avoir la chance de pouvoir partager ma passion et les connaissances acquises durant ces 30 dernières années à pratiquer ce magnifique sport. Durant ces années j’ai eu la chance de vivres différentes expériences comme athlète, entraineur, directeur général et de la haute performance à Triathlon Québec, et avec un peu de chance, j’aurai l’occasion de transmettre un peu de ces connaissances et contribuer au développement du club.

    Je prévois prendre part à quelques cliniques offertes prochainement et possiblement des camps d’entrainement et qui sait, peut-être on se croisera sur le bord de la piscine ou d’une salle d’entrainement éventuellement.  C’est donc avec un grand  plaisir que je m’ajoute aux entraineurs disponibles pour l’encadrement individuel à distance. Les informations seront disponibles sur le site bientôt.

    Cordialement!

    Chuck Perreault

    Entraîneur Capitale Triathlon

    Volet cross triathlon

    Des options diversifiées les samedis matins!

    Savais-tu que ton Club t’offre la possibilité de rouler en vélo de montagne tous les samedis matin au Lac Delage après la séance de natation en eau libre ?

    Le choix route et montagne en tout temps

    Nous avons pris la décision chez Capitale Triathlon de ne pas séparer les inscription des volets montagne et route pour permettre aux athlètes de choisir le mode qui leur convient le plus. Plusieurs personnes sont des adeptes du Xterra (ou Cross-Triathlon) autant que du triathlon sur route et choisissent un volet ou l’autre en fonction des course ou de l’intérêt du moment !

    Tous les membres inscrits aux samedis matins sont donc invités à se joindre à la gang Montagne ! Au menu :

    • Plaisir
    • Apprentissage d’habilités techniques
    • Entrainement cardio
    • Discussions et conseils sur le Xterra/Cross-triathlon
    • Etc.

    Poses tes questions sur le groupe Facebook de Capitale Triathlon ou ici : info@capitaletriathlon.com

    Note : Les sorties débutent après la natation et sont d’une durée qui peut varier entre 60 et 90min. Les frais d’accès aux sentiers E47 sont à la charge de l’athlète. Infos par ici : https://empire47-109053.square.site/

    Par Christian St-Pierre

    Entraîneur Capitale Triathlon / Capitale Natation

    C, comme dans Covid-19, comme dans Course.

    Loin de moi l’idée de décourager les gens de faire de l’exercice, je crois que notre santé et équilibre mentale en ont grandement besoin.  Par contre, les règles de base doivent résonner à chaque pas de course, et ceux-ci ne doivent pas nous mener plus loin que notre machine peut supporter.  C’est beau de voir des gens sortir et débuter la course, encourager par la fonte des neige et le discours de Dr Arruda.  Par contre, en ces circonstances, la Quantification du Stress Mécanique QSM) est d’autant plus importante. Le principe de la QSM est de donner un stress minimum au corps afin de lui créer une adaptation, mais sans jamais dépasser sa limite, qui nous amènerait en zone de douleur, blessures, surutilisation. Et attention, le corps étant une machine incroyable, ce ne sera assurément pas à votre première exagération que les symptômes apparaitront. Comme s’il avait une zone tampon… ce qui peut être un avantage comme un inconvénient. À notre premier 10km, on aura un peu de courbature, on se dira que ça aurait pu être pire et qu’on est pas pire en forme finalement. Par contre, 4-6 semaines plus tard, oups! Tendinite, claquage, douleur au genou.

    Il faut comprendre que chaque personne a sa propre zone tampon, d’où l’importance des entraînements fait sur mesure qui permet à chacun de progresser selon sa tolérance. Il faut faire attention en ces temps de surabondance de temps libre, de ne pas se jeter dans le surentraînement. Surtout vous, triathlètes, qui avez un horaire bien rempli de trois sports, il faut éviter de se déverser dans la course pour remplacer la natation. Même si le cardio y est, chaque sport amène un stress sur différentes parties du corps. On s’en reparle dans mon prochain article!

    Programme de course pour différents niveaux disponibles sur le site de la Clinique du Coureur et auprès de Francis Bachand, Capitale Triathlon

     

    Par Sylvie Martin

    Physiothérapeute PCN

     

    Ta saison est à l’eau ?

    Ta saison est à l’eau ?

     Une saison de développement!

    Tu angoisses face à ta saison de triathlon qui est fort probablement à l’eau?  C’est peut-être l’occasion de faire les choses différemment. De le faire mieux et de te donner le temps de bâtir une base solide.

    Bon j’entends déjà les puristes me dire « oui, mais on ne sait pas encore si l’humanité va survivre alors ce n’est pas le moment de penser à toi » et bien nous sommes triathlète donc de loin, supérieurs à l’humanité. ?

     

    Contrôler le contrôlable

    Il ne reste pas grand-chose que nous puissions contrôler, l’entraînement reste et restera un facteur contrôlable. Voici 3 façons de bien contrôler l’incontrôlable 🙂 :

    1. Ne tombe pas dans la défaite facile du « tracas humanitaire » pour ne pas t’entraîner et t’ouvrir une bouteille de vin chaque soir comme si c’était le dernier. Un jour, tout le monde reprendra les courses, toi aussi. Assures toi d’être prêt.
    2. Faire les choses de façons différentes et miser sur ce qu’on n’a jamais fait est gage d’amélioration. Change ta recette et je te prédis ta meilleure saison en 2021.
    3. Devenir meilleure, s’est aussi s’entraîner en ayant un objectif auto mesurable. Tu dois être en mesure de vouloir courir ton 5 KM en 19 minutes, sans personne. Tes pattes, ton cerveau, ta motivation, ton chrono.

     

    Revoir ses objectifs

    En résumé, revoir ses objectifs et développer ses faiblesses progressivement me semble un très bon plan. Faire preuve de flexibilité…c’est  pas seulement musculaire!

    Bon allez les triathlètes, à l’entraînement…et ne me dites pas que vous n’avez pas le temps ?

     

    Par Francis Bachand

    Fondateur et entraîneur – Capitale Triathlon

     

    Faire la différence…

    Faire la différence…

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    Faire la différence

     

    Francis, notre entraîneur-chef utilise souvent cette pensée…. « Faire la différence… ». Je suis collé à Capitale triathlon depuis un certain temps et c’est ce que j’observe depuis mon arrivée comme entraîneur en 2017. Ce petit billet vous parle d’une petite expérience vécue de l’autre côté de la clôture (lire : athlète au lieu de coach).

     

    Mon passé de maîtres nageurs

     

    Dans mon temps quand j’étais dans les « maîtres nageurs », on nageait, sans qu’il n’y ait de planification en soi ou de progression à long terme. En tous cas, s’il y en avait une, les entraîneurs ne l’expliquaient pas (du moins pas ceux que j’ai eus). Loin de moi la prétention de diminuer les séances de natation adultes à la session chez les maitres nageurs, mais tout comme pour les séances de Spinning à la carte ou à la session (auxquelles j’ai longuement participé étant plus jeune), le concept d’abonnement s’inscrit trop souvent dans un modèle de développement à très court terme. Souvent l’emphase est mise davantage sur la satisfaction des nageurs (ou rouleurs) plutôt que sur une structure pensée et planifiée, dans le but d’engendrer des changements significatifs, à moyen et à long terme, dans les aptitudes de l’individu.

     

    La planification structurée

     

    Je suis entraîneur chez Capitale Triathlon depuis 2017 et cet automne, pour les séances de natation, j’ai décidé de passer plus de temps dans l’eau que debout sur le bord de la piscine. Bref, je suis devenu en quelque sorte le client, ce qui me permet de faire des observations sous un oeil différent. Qu’est-ce qui différencie les entraînements de Capitale natation par rapport à ce que j’ai goûté dans mon passé ? Chaque entrainement est planifié en ayant en tête une progression des apprentissages tout comme une progression des qualités physiologiques. Ce que ça veut dire concrètement : la séance est pensée en fonction de l’amélioration chez chaque individu. Un athlète ou nageur qui est présent aux trois sessions offertes (automne, hiver et printemps-été) bénéficie non seulement de l’aide des coachs au quotidien, mais d’une programmation d’entrainement en natation avec une visée de développement sur le long terme (base annuelle).

     

    L’entrainement spécifique / Qualité vs quantité

     

    Sans expliquer en long et en large les détails et fondements derrière les entrainements qui sont offerts aux nageurs, ces derniers respectent d’une part les principes de périodisation et de planification annuelle. Autrement dit, on ne travaille pas de la même manière à la session d’automne qu’on le fera à la session de printemps-été. La session d’hiver est en quelque sorte une période de transition entre les deux autres.

    D’autre part, l’accent est davantage mis sur la « qualité » des entraînements que sur le volume. On entend souvent des nageurs parler avec fierté de la distance nagée par entraînement ou par semaine. Chez Capitale natation, le marqueur d’amélioration est davantage basé sur les gains en efficacité technique et en vitesse. Il va sans dire que le transfert vers l’endurance est pris en compte dans la planification et aura lieu au moment opportun (sessions de printemps et été).

     

    Qu’est-ce que ça change pour moi ?

     

    Un nageur qui s’inscrit pour une seule session y trouvera son compte (sur l’étendue d’une session). Ce dernier bénéficiera des conseils techniques des entraîneurs (dont une séance d’analyse vidéo avec rétroaction du coach), entrainement planifiés et structurés (répondant aux forces de chacun) et profitera de l’effet de groupe pour s’entrainer. Un nageur qui suit les trois sessions de Capitale natation verra ses capacités améliorées étant donné qu’il participe aux trois phases du développement (appelés macrocycles). Ainsi, la capacité à nager mieux (plus vite ou avec plus d’aisance, ou les deux) est assurée !

     

    Pour conclure…

     

    Que vous soyez nageur ou triathlonien, que vos objectifs soient de progresser en vous amusant, que ce soit sur le plan technique ou sur la base des qualités physiologiques, ou que vos objectifs soient de vous améliorer au point d’atteindre des objectifs de performance, il est clair pour moi (c’est le nageur qui parle ici) que vous y trouverez votre compte chez Capitale Natation. Des essais gratuits sont souvent offerts, ça vaut la peine de venir faire un essai ! (Mais attention : le plaisir risque de croire avec l’usage ;-))

     

    Par Christian St-Pierre,

    triathlonien et entraîneur – Capitale Triathlon

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    SESSION D’AUTOMNE, MISER SUR LA TECHNIQUE!

    À LA SESSION D’AUTOMNE, ON MISE SUR LA TECHNIQUE!

    Nous avons décidé de vous expliquer en détail les objectifs des différentes options d’entrainement avec Capitale Triathlon pour la session automnale. On est de même, nous autres!
    Les athlètes du club peuvent compter sur une offre de service complète dans les trois sports. Un total de sept entraînements par semaine est offert.

    LE MERCREDI VÉLO ET MUSCULATION CHEZ POWERWATTS 

    Objectifs: Développement de la PAM et technique de pédalage

    Un cours à 18h15 et un cours à 19h30

    Les mercredis soir sont consacrés au développement vélo. La salle d’entrainement possède 10 bases fixes avec vélo de route ajustable. Les athlètes inscrits au cours auront accès à une musculation core et stabilisateurs avant ou après leurs entraînements. L’inscription aux mercredis Powerwatts donne également accès gratuitement aux séances free ride du dimanche, 14h. Les athlètes pourront aussi s’entraîner gratuitement dans toutes les séances libres de trois rouleaux du Powerwatts Lebourgneuf et Saint-Augustin.

     

    LA COURSE DU SAMEDI EN SENTIER OU SUR ROUTE

     

    Objectifs: Technique et intervalles courts sur route, développement de la VAM. Technique et développement de la VAM en sentiers. Et aller prendre un café après la course! 🙂

    9h30 LAC-BEAUPORT

    L’entrainement de course du samedi est un classique au centre Le Saisonnier. Une option en sentiers ou encore une option technique et intervalles sur route sont offertes.

     

    LA NATATION

    Objectifs: Entraînement technique avec rétroaction visuelle et correction. Développement de la VAM.

    Capitale Natation offre quatre plages horaires, en plus de deux plages pour les 6 à 12 ans avec le programme Mini Condors. Ces entraînements sont axés sur la correction et la rétroaction. Une analyse vidéo par session sera réalisée pour chacun des athlètes.

    L’horaire de la natation est ICI

     

    Francis Bachand
    Entraîneur fondateur

    Capitale Natation est lancé!!!

     

    Capitale Natation est lancé!

    C’est le 13 septembre prochain que la première session de Capitale Natation sera lancée. Nous recevons une demande de plus en plus spécifique d’encadrement des triathlètes. Les besoins techniques et les entraînements parent-enfant seront donc au cœur du développement des nageurs.

     

    La Force d’un club privé, le fondement.

    La bonne technique nécessite une implication et de la rétroaction. Capitale natation s’engage dans un nouveau processus. Une analyse vidéo individuelle par session, un profil d’athlète unique avec conseils personnalisés. 

     

    CORRECTION, RÉTROACTION ET ANALYSE VIDÉO

    • Chaque séance sera donnée par deux entraîneurs, qui auront une approche orientée sur la rétroaction. 
    • Une analyse technique individuelle par vidéo sous-marine sera réalisée pour chacun des athlètes, et ce, chaque session.
    • Un profil d’athlète sera partagé sur l’application du club et des conseils techniques personnels s’y trouveront.

     

    PARENT-ENFANT :

    Les entraînements en début de soirée (ou fin d’après-midi) et du samedi matin comprendront un volet Junior débutant (de 6 à 11 ans). Il sera ainsi possible pour un parent de s’entraîner en même temps que son enfant, dans deux groupes différents ayant chacun son entraineur et ses objectifs de développement. Un groupe Junior intermédiaire et avancé ainsi qu’un groupe Adulte seront offerts à chacun des entraînements.

     

    UN HORAIRE HARMONISÉ POUR LES TRIATHLÈTES :

    Parce que les triathlètes ont souvent plus d’un entraînement à leur horaire quotidien, une séance matinale en semaine est prévue, en plus de celle du samedi matin.  Deux séances seront aussi proposées en fin d’après-midi afin d’offrir quatre entraînements de natation par semaine.

     

    LA TARIFICATION :

    Il sera possible de nager deux fois par semaine pour 195$. Bien que vous deviez sélectionner vos journées d’entraînement, vous pourrez les modifier pendant la session. Il sera également possible de choisir le forfait illimité pour 245$. Le combo avec la course ou le vélo sera aussi disponible à tarif avantageux.

    Pour vous inscrire cliquer ICI

     

    DES ENTRAÎNEURS QUALIFIÉS :

    Basée sur la force du groupe, l’équipe de coachs natation est très impressionnante :   Christian St-Pierre, Francis Bachand, Alexandre Deschamps,(eau libre) Stéphanie Rathel et Louis-David Trudel. 

     

    DES RABAIS FAMILIAUX :

    Toujours soucieux d’accommoder les familles, le club offre un rabais de 10% applicable au deuxième membre de la famille, et de 20% pour les familles de trois membres et plus.

     

    UNE CONTINUITÉ SCOLAIRE :

    Les jeunes athlètes peuvent compléter leur développement avec le programme parascolaire des Condors Natation et Condors Triathlon à l’École secondaire Saint-Jean-Eudes.

     

    Le contact humain, le sentiment d’appartenance, la proximité des entraîneurs et le développement technique sont au cœur du développement de Capitale Natation!

     Bonne session!

    Francis Bachand
    Entraîneur fondateur

    Vouloir développer…trop vite

    Vouloir développer…trop vite

    Évidemment, comme tout bon club sportif, nous avons tenté le coup. Nous avons tenté de mettre sur pied notre sport-études afin de nous conformer à la tendance et développer rapidement des athlètes de qualité. Mais cette qualité rapide, genre de « fast Food » de la production d’athlète, a-t-elle un prix?

    Le sport-études a la cote et c’est facile à comprendre. En plus de garder l’étudiant motivé, il facilite la logistique et l’horaire familial.  Mais posons-nous un peu la question : pourquoi vouloir développer si rapidement un athlète? En retire-t-il vraiment les bénéfices qu’on croit?

     

    D’où provient le sport-études

    Les premiers programmes sport-études nous viennent de la France. En 1960, après les résultats catastrophiques enregistrés lors des Jeux olympiques de 1960 et de 1964, collèges et lycées travaillent ensemble afin implanter des établissements scolaires offrant un programme sports-études.

    Au Québec, il existe plus de 600 programmes sport-études. « Ces programmes visent à soutenir des élèves athlètes, identifiés par leur fédération, dans la pratique de leur sport et dans la réussite de leurs études au secondaire. » (Source : ministère de l’Éducation)

    Je suis curieux de nature, j’ai fait une petite recherche pour me rendre compte qu’en triathlon, moins de 3 % des élèves admis en sport-études étaient ciblés par la fédération.

     

    La vérité

    Mis à part les sports à développement hâtif (et je vais y revenir), je ne vois pas pourquoi il faut se presser à développer un jeune dans un sport à un rythme de trois heures de spécialisation par jour. Selon moi, à ce rythme, on étire simplement l’élastique. Le risque que le jeune se tanne plus rapidement de son sport ou qu’il se blesse prématurément est accru.

    De plus, il est important que le jeune comprenne que les journées de huit heures où il sera en mesure d’intégrer son travail, son sport et son transport, ça ne fait tout simplement pas partie la réalité. De ce fait, le passage au cégep est catastrophique : selon Statistique Canada, au terme du secondaire, 9 filles sur 10 ne répondent pas aux normes canadiennes en matière d’activité physique (1) * Les jeunes sportifs passant du secondaire au cégep décrochent à un rythme alarmant.

    Quand notre objectif est de développer des athlètes et qu’on apprend qu’un aussi grand nombre d’entre eux décrochent du sport au cégep, il y a lieu de quoi se poser de sérieuses questions sur notre façon de faire, non?

     

    Et les sports à développement hâtifs, eux?

    Je vais me contenter de vous faire réfléchir sur la pertinence d’envoyer un(e) jeune de 13 ans aux Olympiques en gymnastique…

    La Charte des Jeux olympiques est claire ; ce n’est pas le Comité international olympique (CIO) mais les fédérations internationales de chaque sport qui sont compétentes pour établir les règles relatives à l’âge. (2) *

    Le développer plus « lentement » en assurant des bonnes bases physique et psychologique ne serait-il pas plus sensé? Imposer une fenêtre d’âge de participation aux Olympiques ne serait-il pas un beau cadeau à faire à nos enfants athlètes? Sans me lancer sur un autre débat, les statistiques sont claires, 7 athlètes sur 10 souffriront d’une dépression sportive post olympique.  Était-il préparé? Avons-nous eu le temps de le préparer? (3) *

     

    Allier développement sportif et diplôme… n’est-ce pas une belle façon de leur montrer que leurs études sont aussi importantes et de préparer leur après-carrière, non?

     

    La solution…

    La solution est, selon moi, très simple : Revoir complètement le fondement du sport étude. Revoir les objectifs et l’horaire. Le parascolaire et les profils spécialisés offrent depuis quelques années un excellent compromis. Ces programmes proposent des horaires intéressants, mais surtout réalistes.

     

    Bon, je vous laisse, je dois aller entraîner mes athlètes à devenir plus rapide… tranquillement!

     

    Sources

     

    (1)   Statistique Canada : https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/82-003-x/2017010/article/54875/tbl/tbl02-fra.htm

    (2) *   Charte olympique sur la limite d’âge, chapitre 5, règle 42

    (3) * https://www.rds.ca/sports-divers/la-vie-apres-le-sport-1.2841524

    Pour ceux qui n’ontpas peur de la boue!

    Volet Xterra – Capitale Triathlon

    Vous êtes triathlète et vous voulez sortir des sentiers battus? Votre jeune veut s’initier au triathlon mais est davantage intéressé par le vélo de montagne et la course en sentier que la pratique sur route? Triathlètes débutants ou avancés, le volet Xterra de Capitale Triathlon est pour vous!
     Les samedis matin, le tout nouveau Centre d’entraînement extérieur de Capitale Triathlon vous offre :
    – Nage en eau libre au lac Delage (dès le début juin)
    – Pratique sécuritaire du vélo en sentier (vélo de montagne requis) et apprentissage d’habiletés techniques
    – Jogging en sentier (immédiatement après le vélo de montagne)
    – Entrainements ciblés pour les participants aux activités de triathlon hors route (Xterra, Cross triathlon)
    Seul préalable : avoir un vélo de montagne en bon état et ne pas avoir peur de la boue 😉
    Les entrainements se dérouleront dans le sentiers de E47 à Lac-Delage. Cet emplacement est idéal car il est annexé au lac et permet la pratique du vélo de montagne tout comme la course en sentier.
    Inscriptions par ici : https://capitaletriathlon.com/produit/samedi-triathlon-centre-dentrainement-exterieur-lac-delage/
    Pour toute question, vous pouvez vous adresser à notre coach responsable du volet hors route, Christian St-Pierre, en écrivant à: xterra@capitaletriathlon.com

     

    Voilà la saison des camps d’entraînement

    Un camp d’entrainement… construction ou destruction?

    La saison des camps d’entrainement bat son plein. Les triathlètes nord-américains s’évadent généralement vers la chaleur et le soleil question d’accumuler les kilomètres de vélo, de course et de natation.

    Un camp d’entrainement est sans équivoque un plus dans une planification de saison. Il permet à l’entraineur de placer une base de volume en endurance fondamentale*. Parce que le triathlète n’a pu placer le volume souhaité sur le vélo dans la saison hivernale, la prédominance du camp sera généralement sur le vélo. Il est aussi facile de comprendre que l’augmentation du volume à vélo a moins de chances de causer de blessures à cause de son mouvement concentrique, sans impacts.

    Un camp se veut aussi une excellente occasion de prendre le temps de corriger quelques lacunes techniques à la natation et à la course. Les vieux routiers vous parleront de quantité de volume; moi, je vous parle de qualité d’entrainement. Répéter un geste mal fait 10 000 fois ne vous fera pas avancer plus vite. Et c’est sans parler des risques de blessure.

     

    Attention à la zone…

    L’effet de groupe a du bon mais peut aussi causer du tort. Il sera probablement très tentant de suivre les athlètes plus rapides que vous. Une, deux ou trois journées et ce sera la panne sèche. Le volume (temps d’entrainement) passé en camp doit se faire en grande partie en zone 1 et en zone 2. Ces zones, nommées aérobie de base, solliciteront le système aérobique, utile aux sports d’endurance. La sagesse de rester dans ces zones cibles vous donnera la chance d’accumuler plus de kilomètres avant la fatigue.

    Le retour, la récupération et la consolidation

    Le camp se terminera et vous serez de retour dans la routine. Une surcharge de 500% en volume (heures d’entrainement) et les vols souvent longs auront assurément causé leur lot de fatigue. Vous devrez, pour consolider ces belles heures d’entrainement, vous accorder un repos. Je recommande généralement à mes athlètes une semaine de récupération incluant au minimum deux journées de repos consécutives. Le retour des séances de qualité telle une séance de PAM* pourra se faire progressivement, vers la fin de la semaine.

    La fatigue sera différente pour chacun. Soyez à l’écoute de votre corps et assurez-vous de bien récupérer. Votre saison en sera améliorée.

    Bon retour et bonne saison!

     

    Un été fou se prépare!

    Un été fou se prépare…Êtes-vous prêts?

    Pendant la session printemps-été chez Capitale Triathlon, vous profiterez :

    D’un développement évolutif, avec les mêmes entraîneurs deux fois par semaine. D‘entraînements structurés, encadrés et réfléchis pour permettre aux athlètes de tous les niveaux de progresser.

    Les quatre entraîneurs responsables des différents groupes dès le 15 mai vous expliquent à quoi ressemblera leur session :

     

    Thomas Têtu
    Adultes courte et longue distance

    Les principaux objectifs de la session seront :

    • (re)prendre ses repères en natation en eau libre
    • prendre ses repères sur l’enchaînement des trois disciplines
    • augmenter progressivement le volume d’entraînement jusqu’aux premières compétitions

    « Que vous participiez à votre premier triathlon (court ou longue distance) cet été ou que vous souhaitiez simplement vous entraîner pour le plaisir, vous vous sentirez à votre place. N’hésitez pas une seule seconde à venir vivre des séances de qualité dans un cadre sécuritaire. »

    Christian St-Pierre
    Xterra

    « Vous prévoyez participer à un cross-triathlon ou un Xterra, ou tout simplement vous entrainer en hors-route? Le volet Xterra est pour vous! Ce volet, qui en est à sa deuxième année, permettra aux participants de progresser en triathlon hors route (nage en eau libre, vélo de montagne et course en sentier). Les entrainements permettront de développer des habiletés sur le terrain mais aussi d’apprendre les trucs et les stratégies qui font la différence dans cette discipline. Le tout se déroulera les samedis matin et mercredis soir dans le plaisir et la camaraderie, mais en intégrant une fonction entrainement et dépassement de soi. Le préalable pour ce volet est d’avoir un vélo de montagne en bon état et de ne pas avoir peur de se retrouver dans la nature avec une gang super trippante! 😉 « 

     

    Francis Bachand
    Jeunes de 12 à 17 ans

    « J’aime que les jeunes développent leurs habiletés en comprenant l’importance de la qualité d’exécution. J’aurai la chance de voir mon groupe deux fois par semaine, ce qui assurera une progression optimale et du solide plaisir! Les jeunes de tous les niveaux sont les bienvenus. »

     

    Louis-David Trudel
    Jeunes de 7 à 11 ans

    « Que votre enfant débute en triathlon ou qu’il soit initié, il trouvera dans mes entraînements la motivation pour se développer dans un esprit de camaraderie. Les séances sont construites pour que chaque enfant progresse à son rythme, peu importe son niveau, et ce, tout au long de la session. Et bien sûr, le plaisir reste la priorité de l’été! »

    SOUHAITER… CE N’EST PAS ASSEZ

    Il y a un an, je sortais de Forces canadiennes pour m’occuper de mon entreprise, Capitale Triathlon. J’étais loin de me douter du genre d’année qui m’attendait. Les défis sont nombreux et c’est positif. Voici les grandes lignes de 2018 mais surtout… mes souhaits pour 2019!

    Les faits marquants de l’année :
    • L’acquisition des Salons de la course à pied et du triathlon m’a permis d’évoluer comme entrepreneur-entraîneur.
    • Parce qu’il faut savoir s’ouvrir et toujours apprendre, l’Institut national du sport contribue chaque semaine à rehausser mes connaissances de coaching.
    Mes souhaits pour la prochaine année :
    • Passer plus de temps avec mes athlètes. Être à l’entraînement et les voir évoluer, peu importe leur vitesse, me stimule énormément;
    • Que l’édition 2019 du Triathlon Duchesnay soit un grand succès avec une première série Grand prix et Coupe Québec U15 et U13;
    • Qu’à moyen terme, les Salons de la course à pieds et du triathlon deviennent la référence au Québec et marquent, de façon dynamique, le lancement de la saison de compétition;
    • Que notre sport, le triathlon, continue de gagner en popularité et en accessibilité;
    • Que tous les athlètes gardent cette belle folie qu’est le dépassement de soi par l’atteinte d’objectifs.
    À toi, l’athlète :

    Je te souhaite de te trouver un défi réaliste mais aussi motivant. Depuis trois ans, on parle beaucoup du processus et du bonheur dans l’entraînement. Cette année, il serait peut-être temps que ton défi ait le bonheur de te sortir de ta zone de confort… On jase, là!

    Dans la vie, souhaiter, c’est du rêve. Pour bâtir tes ambitions et avoir des souvenirs, il ne faut pas que rêver, il faut accomplir.

    Bonne année et… au travail!

    Francis Bachand

    La session hiver 2019 de Capitale Triathlon

    Cet hiver, Capitale Triathlon fait rimer entraînement avec plaisir!

    La session hiver 2019 de Capitale Triathlon se déroule sur 18 semaines, du 7 janvier au 12 mai. Voici ce qui vous est proposé :

    Le volet course aura lieu à l’extérieur, les samedis matin, au Collège Mérici. Quel meilleur terrain de jeu que les Plaines et les escaliers du Cap-Blanc?

    Divisée en trois blocs de six semaines, la session est bâtie pour amener chaque athlète à progresser à son rythme. Les groupes seront formés pour respecter la vitesse de chacun.

    Encore cette année, le club mise sur les entraînements parent-enfant. Nouveauté : les jeunes de 12 à 17 ans auront leur propre groupe, dirigé par coach Francis Bachand, et courront aussi à l’extérieur. Quant aux 7 à 11 ans, ils s’entraîneront bien au chaud à l’intérieur avec coach Alexandra Desbiens.

    Le volet natation offre quant à lui neuf plages horaires dans quatre piscines différentes. De quoi plaire à tout le monde! Coach Sylvain Pineau, du Club aquatique Marlins de Québec, vous attend.

    Et le spinning vous revient cet hiver! Les jeudis à 18h45, rendez-vous au Club Nautilus Lebourgneuf pour rouler et vous dépasser. Plaisir et garanti!

    Pour commencer cette nouvelle année de belle façon, une petite surprise : les athlètes inscrits à la session de course d’automne 2018 et à celle de la session d’hiver recevront gratuitement le t-shirt Capitale Triathlon!

    Nous désirons remercier nos partenaires pour la prochaine saison!

    Gérer son alimentation à la veille d’une course

    Comment bien gérer mon alimentation les jours précédant une course?

    Les jours qui précèdent une course sont souvent une source de questionnements par rapport à l’alimentation. La charge d’entraînement diminue progressivement de manière à optimiser la récupération, si bien que la dépense énergétique n’est plus la même que sur une base quotidienne. Par contre, il importe d’arriver avec des réserves énergétiques optimales le jour de la course. Comment s’y retrouver et comment savoir si certaines stratégies comme la surcharge en glycogène sont utiles pour vous? Voici quelques lignes directrices!

    Tous d’abord, les habitudes alimentaires que vous adopterez dans les jours menant à votre compétition dépendront grandement du type d’épreuve que vous vous apprêtez à faire. Il faudra dans tous les cas porter une attention particulière à votre apport en glucides puisque ces derniers représentent votre principal carburant à l’effort. Toutefois, vos besoins varieront selon la durée de votre épreuve. En effet, vos muscles disposent normalement d’une réserve de glycogène susceptible de soutenir un effort de 90 minutes et moins. Une alimentation normale avec un apport en glucides adapté à votre niveau d’entraînement vous assure donc de disposer de cette source de carburant. Toutefois, dépassé 90 minutes d’effort, le corps s’épuise si aucun apport énergétique externe n’est fourni. Bien des athlètes ont déjà frappé ce fameux mur lors d’une épreuve de longue durée. Le corps n’ayant plus accès à suffisamment d’énergie est alors incapable de maintenir l’intensité d’effort qu’on lui demande. Toutefois, il est possible d’optimiser nos réserves énergétiques en maximisant la quantité de glycogène que notre corps emmagasine dans les jours précédant une compétition. Cela nous donne alors une petite longueur d’avance. Cette stratégie est mieux connue sous le nom de surcharge en glycogène.

    Pour les épreuves d’une durée moyenne de 90 minutes et moins, c’est-à-dire les triathlons de type découverte et sprint, de même que les courses de demi-marathon et moins, il n’y a pas d’intérêt à utiliser une stratégie de surcharge en glycogène. Dans les jours menant à votre épreuve, conservez simplement vos habitudes alimentaires usuelles. Si la faim est un peu moins importante parce que l’entraînement est moins intensif, il est tout à fait adéquat de diminuer votre apport énergétique. Une considération particulière doit être portée à votre alimentation la veille de votre épreuve. À ce moment, il est important de vous assurer que votre corps dispose d’une bonne disponibilité en glucides pour le jour de votre épreuve. Veillez donc à augmenter votre consommation de glucides la veille de la course en choisissant des aliments contenant peu de fibres ou de matières grasses pour ne pas encombrer votre système digestif. Il est inutile d’aller chercher des quantités aussi imposantes que lors d’une surcharge en glycogène. Essayez simplement de combler la moitié de votre assiette avec une portion de féculent aux repas et ajoutez des fruits ou un féculent dans vos collations.

    Pour les épreuves s’échelonnant sur une durée de plus de 90 minutes, une attention plus spéciale devra être portée à votre alimentation durant les deux à trois jours précédant votre course. Ainsi, les athlètes préparant des triathlons longues distances tels qu’un 70.3 ou un Ironman bénéficieront assurément d’une stratégie de surcharge en glycogène. Les athlètes qui s’apprêtent à prendre part à un triathlon olympique ou un marathon sont également susceptibles de bénéficier de cette stratégie. Pour ce faire, il faut planifier une augmentation substantielle de l’apport en glucides dans les deux à trois jours précédant la course. On parle ici d’une consommation de glucides qui atteint de 10 à 12 grammes de glucides par kilogramme de poids corporel par jour. Cela fait beaucoup de glucides à manger! Afin d’éviter les inconforts digestifs, optez pour des produits céréaliers sans grains entiers et intégrez au quotidien des sources de sucres concentrés tels que le sirop d’érable, les jus de fruits, les bonbons, les boissons sportives, le lait au chocolat ou les fruits séchés. Sachez aussi qu’une consommation d’eau optimale doit accompagner la surcharge en glycogène. En effet, chaque gramme de glycogène est emmagasiné dans vos muscles en compagnie de deux à trois grammes d’eau. Pour assurer une bonne surcharge, il faut donc boire un peu plus et ne pas s’inquiéter si les chiffres sur la balance grimpent légèrement.

    Bien des athlètes ont de la difficulté à visualiser ce que représente un apport de 10 à 12 grammes de glucides par kilogramme, si bien que leur consommation de glucides est parfois insuffisante pour réaliser une bonne surcharge en glycogène. Dans le doute, n’hésitez pas à consulter une nutritionniste spécialisée en nutrition sportive pour avoir un plan adapté à vos besoins.

    Redonner au suivant

    Pour que chaque enfant ait sa chance

    Chez Capitale Triathlon, on reconnaît la chance qu’on a de pouvoir pratiquer le sport qu’on aime, qui nous fait vibrer et nous fait sentir vivant. Un sport qui peut aussi, ne nous le cachons pas, coûter assez cher parfois! Mais surtout, on reconnaît que chacun n’a pas la même chance.

    Au Québec, 1 élève sur 5 ne déjeune pas avant de se rendre à l’école, en raison d’un accès inadéquat à la nourriture. Les répercussions d’une mauvaise alimentation peuvent suivre ces jeunes toute leur vie puisqu’ils seront plus sujets aux maladies chroniques et aux problèmes de santé mentale.

    Pour cette raison, votre club est très fier de redonner au suivant en contribuant au Club des petits déjeuners. Comment participons-nous? D’abord, pour chaque inscription au Triathlon Duchesnay, 2$ est versé à l’organisme. Ensuite, un matin par mois, trois entraîneurs Capitale Triathlon se rendent dans une école défavorisée de la région pour servir les déjeuners aux élèves.

    Nous sommes convaincus que de tels programmes ont un impact réel pour ces enfants qui doivent affronter des défis supplémentaires pour réussir. Aidons ces jeunes à se préparer un meilleur avenir. Car leur avenir, c’est un peu aussi le nôtre.

    Un camp hors route en Utah!

    Oui, oui! Vous avez bien lu! Remarquant que l’engouement pour le triathlon hors route prend de plus en plus d’ampleur, Capitale Triathlon vous offre la possibilité de vivre le camp d’entraînement en Utah sur votre vélo de montagne, et en souliers à crampons!

    Le camp Utah montagne, du 21 au 28 avril 2019, regroupera donc des cyclistes de montagne et des coureurs en sentiers. Inutile de préciser que le relief de Santa Clara se prête particulièrement bien à ces disciplines. Ce sera une excellente occasion de développer des habiletés techniques dans les trois sports et de profiter d’un entraînement cardio présaison.

    Deux groupes, encadrés par des coachs d’expérience, seront formés selon la vitesse et la distance.

    Une journée type se déroulera comme suit : entraînement en piscine le matin (optionnel pour les duathlètes), vélo de montagne en avant-midi et en début d’après-midi, puis course en sentiers en fin de journée (avant le repas du soir).

    Ne ratez pas cette chance de venir vous amuser avec nous tout en vous entraînant dans un décor enchanteur!

    Une année Ironman n’est jamais ordinaire

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    «Une année Ironman n’est jamais ordinaire»

    Par Véronique Proulx

    Ambassadrice Élite Capitale Triathlon

    C’est en septembre 2017 que j’ai pris la folle décision de m’inscrire à l’Ironman Wisconsin avec mon meilleur partenaire et des ami(e)s extraordinaires. Dès l’automne 2017, j’ai travaillé à bien récupérer et tenter de reprendre le plus d’énergie possible après une longue saison d’entraînement. En janvier 2018, le plan commence. Pour ceux qui me connaissent bien, le plan, je le suis à la lettre. Je veux mettre toutes les chances de mon côté pour relever ce défi de taille, le plus gros défi pour moi à ce jour.

    Une année d’entraînement demande des sacrifices et une planification hors du commun. Travaillant à temps plein et étudiant au MBA en gestion d’entreprise à temps partiel, je me dois de trouver un équilibre de vie. Mon conjoint, s’entraînant également pour l’Ironman, m’aide aussi à atteindre cet équilibre. Pendant l’hiver, je mets l’accent sur la natation et le vélo. Chaque matin, je me lève très tôt pour faire un entraînement et parfois, je m’entraîne une deuxième fois après le travail et avant l’étude. Je crois pouvoir affirmer que ma force est la discipline. Je suis le plan et me maintiens en bonne santé.

    Au printemps, j’ajoute du volume de course. Les jambes sont bonnes et je n’ai aucune blessure. La saison augure bien. Je débute avec le demi-marathon de Lévis où je réussis un PB. Ensuite, c’est le demi-ironman Eagleman où je réussis un autre PB. Ces deux performances me rendent super heureuse, je surpasse mes propres limites et je reste focus. Fin juillet, c’est au tour du Triathlon Duchesnay. C’est là que ça se gâche. La semaine précédant la course, je suis dans un sprint final d’études, car mon examen est le lendemain du triathlon. Je suis fatiguée et moins concentrée, j’ai même un peu peur de prendre le départ de la course. Je décide toutefois que cela me fera du bien et me changera les idées avant l’examen. Alors c’est un départ. Je fais la natation sans wetsuit sans aucune difficulté, j’embarque sur mon vélo le feu dans les yeux. Je réalise que je suis la deuxième femme. J’en profite donc pour maintenir ma cadence. Toutefois, imprudente, je prends un virage serré trop rapidement et la pédale intérieure au virage vers le bas. Mon pied touche le sol. À 36 km/h, je vole directement par-dessus mon vélo. Ça me prend quelques minutes pour comprendre ce qui s’est passé. Les bénévoles appellent l’équipe médicale et me disent que je dois m’arrêter. Là, je suis fâchée. Je n’ai qu’une idée en tête, j’étais la deuxième et je ne veux pas perdre cette position. Alors, cinq minutes plus tard, je repars. Je réussis à remonter jusqu’à la troisième position à la course à pied, mais me fais dépasser à 50 mètres de la ligne d’arrivée. Je finirai 4e.

    Après avoir vu l’équipe médicale, la physiothérapeute, deux médecins et fait des radiographies, le verdict tombe : une grosse contusion au genou, un ligament partiellement déchiré et une bonne commotion cérébrale. Je passe plusieurs jours couchée à pleurer et penser que c’est terminé pour moi l’Ironman.

    Cela me permet toutefois de réfléchir longuement à l’accident. Je réalise que, pour la première fois depuis que je fais du triathlon, je n’ai pas fait ma course pour les bonnes raisons. J’ai pensé à la position uniquement, sans penser à ma santé et les risques qu’entraîne le fait de courir après un choc à la tête. Je n’ai pas souri durant la course. Je n’ai pas salué les spectateurs. J’ai terminé fâchée de m’être fait dépasser. J’ai été très déçue de moi-même à ce moment. Ce n’est pas facile de l’admettre aujourd’hui, mais je n’aurais pas dû continuer. Je fais du triathlon pour m’amuser, mais à ce moment précis, je ne m’amusais pas. Cela m’a fait énormément réfléchir. Merci à mon conjoint qui m’a également remise sur le droit chemin en me disant que, si je n’avais plus de plaisir, on arrêtait maintenant.

    Je ne suis pas une athlète professionnelle, j’ai toujours fait du sport pour me garder en santé, m’amuser et faire de belles rencontres. Je fais du triathlon pour garder un équilibre entre ma vie professionnelle et personnelle. Je crois aujourd’hui que personne n’est à l’abri de ce sentiment de vouloir gagner, mais je réalise que ce n’est pas moi et je ne veux plus ressentir ce sentiment malsain que j’ai eu lors de ce triathlon.

    Donc une semaine après l’accident, je retourne travailler avec une canne et suis à la lettre les instructions de la physiothérapeute. Je fais un retour très progressif et surveille le moindre mal de tête afin de ne pas prendre de risque avec la commotion. Deux semaines plus tard, je retourne à vélo et commence la course en fractionné 5 x 1 minute… Les deux semaines qui suivent sont très mentales. Je sais ce que je suis capable de faire en entraînement, et je dois accepter d’être moins forte, moins rapide et moins endurante. Heureusement, le mental tient le coup. Je m’accroche à tout ce que je peux, du petit garçon traversant la rue devant moi, tout souriant malgré une prothèse au lieu d’une jambe. Je vois le neveu de mon conjoint devoir subir une amputation de la jambe à cause d’un cancer à l’âge de 23 ans seulement et se relever tel un vainqueur. Toutes ces personnes me donnent l’énergie nécessaire et la force mentale de me dire que, peu importe le temps, je peux faire ce que je fais. Je peux marcher de mieux en mieux chaque jour. Je peux faire du vélo et pédaler plusieurs kilomètres. Je m’accroche aux petites victoires au quotidien.

    Je relève mes manches et retrouve ma discipline. Je me couche très tôt, car les journées de travail sont exigeantes et je ressens beaucoup de fatigue. Je mange bien, dors bien et respecte mon corps, ses limites et l’augmentation très graduelle des entraînements. Je fais mes exercices de physiothérapie rigoureusement. J’accepte que certaines journées, je régresse et prends les petites victoires avec un grand sourire.

    Trois semaines avant l’Ironman, ma physiothérapeute me confirme que c’est officiel, je peux prendre le départ. La natation va bien, le vélo est moins rapide, mais va bien aussi et la course sera à prendre au fur et à mesure. Elle me parle beaucoup et j’accepte qu’il y ait une possibilité que je marche mon marathon. J’avais un objectif de temps en tête il y a un mois; maintenant, mon seul objectif est de franchir la ligne d’arrivée en santé et avec le sourire! Les journées se suivent, mais sont toutes différentes. Parfois, le fait de réussir un peu de fractionné à la course est digne de la plus grande victoire et me rend heureuse. D’autres fois, me rendre compte que je manque de force en montant une côte à vélo m’enrage et me déçois. Chaque fois, je tente de me conditionner à voir le positif. Je dois également faire attention à mes maux de tête, ce qui me limite à me pousser lors d’efforts physiques et à atteindre des pulsations cardiaques trop hautes.

    Deux semaines avant le grand jour, on décide mon coach et moi de tenter un peu de volume à vélo question de tester le corps, la tête et surtout le mental. Je me répète, mais ce dernier aspect est probablement le plus important dans un aussi gros défi. Mes deux tests qui ont lieu serviront à peaufiner cela! Je dois être attentive à mon corps et conserver mes efforts pour le jour J. Je dois accepter que ce ne sera pas ma performance physique qui importera et je dois surtout être intelligente afin de ne pas me causer des dommages qui pourraient ralentir davantage mon retour. Je fais beaucoup d’introspection. J’en discute énormément avec mon conjoint, ma soeur, mon coach et les professionnels autour de moi.

    À une semaine de l’événement, j’atteins un certain niveau de rétablissement qui est définitivement au-delà de nos espérances initiales. Une tante à moi, malheureusement décédée aujourd’hui, m’avait déjà dit : « Tu sais, le mental et le positif sont pour beaucoup dans la vie. » Alors qu’on lui donnait six mois à vivre à cause d’un cancer, elle a contredit tous les médecins en vivant pendant plus de trois ans. Je ne compare pas ma situation à la sienne, car la mienne est plutôt banale. Mais ce mental dont elle parle, je crois l’avoir trouvé, là aujourd’hui. À quelques jours du départ, oui, j’ai des doutes, oui, je ne sais absolument pas à quoi m’attendre. Est-ce que mon corps tiendra le coup? Devrai-je marcher mon marathon? Pire encore, devrai-je m’arrêter? Je pense à tout cela, mais maintenant, je suis zen. Je ne suis pas stressée. Je sais que peu importe comment la journée ira, j’aurai tout fait ce qui est en mon pouvoir pour être ici et vivre ce magnifique événement.

    Alors voilà, 9 septembre 2018, il est 4h et le cadran sonne. Je me lève en étant étonnée d’avoir aussi bien dormi! Je mange ce qui est prévu pour ensuite me diriger à l’endroit où l’on dépose nos sacs «special needs». Je rejoins par le fait même Valérie, mon amie avec qui j’ai développé une magnifique relation au courant de la dernière année et qui m’a beaucoup soutenue. Nous déposons nos sacs et direction zone de transition pour faire les derniers préparatifs vélo. Une fois le tout fait, un saut au marquage et je retourne à l’hôtel afin de prendre mon wetsuit pour ensuite me diriger au départ de natation. À partir de là, tout va très vite! Ma soeur, son copain et ma nièce arrivent pour me voir! On pleure d’émotion! Pour ceux qui ne savent pas, ma soeur me suit toujours sur internet en commentant de manière très détaillée mes journées. Elle me donne toute la motivation qu’il faut! Aujourd’hui, elle est présente, elle a fait toute la route juste pour moi et j’en suis extrêmement choyée et reconnaissante! Je sais qu’avec elle ici avec moi, rien ne peut être triste. Ensuite, ma meilleure amie arrive également, on pleure encore un peu 😉 Haha! Contrairement à la majorité de mes courses, ma famille est ici aujourd’hui et je le répète, je suis plus qu’heureuse!

    Mon coach me rappelle qu’il faut partir! Haha! Donc Val et moi sautons la clôture pour nous rendre au devant du fil dans le départ 1h00 à 1h10. Quelques minutes passent et voilà, on entre dans l’eau! Un dernier « bonne journée » et c’est parti. Je me retrouve dans le silence, le calme, car dans l’eau on n’entend pas la foule qui crie tout près. Je suis très confortable. Je prends mon rythme et me concentre sur tout ce dont mon coach Sylvain m’a appris cette année. Je prends le temps de faire mes tractions, de glisser et surtout d’y prendre plaisir, car oui, je suis bien dans l’eau. Le retour de la boucle est un peu plus difficile, des vagues empêchent de bien voir les bouées, donc je dois me repérer plus souvent. Ce n’est pas grave, j’ai vu pire et comme prévu, j’arrive à la toute fin en étant en forme et sans avoir trop forcé!

    Je sors de l’eau le sourire aux lèvres et je pars vers la transition. La foule est complètement hallucinante! Dans la montée en cercle du stationnement à étages, des centaines de personnes sont regroupées et crient : Let’s go! Je croise ma soeur juste avant d’entrer dans le bâtiment pour me changer! J’enfile mon gilet de vélo, je prends mon casque et mes souliers et hop! je ressors. Petit arrêt pause pipi et je prends mon vélo pour partir pour ce 180 km. Je croise Val à la zone d’embarquement! Je lui crie des encouragements et c’est un départ pour la seconde partie. La première boucle est un peu difficile, j’ai peur un peu dans les virages. Le parcours n’est pas très rapide. Lorsque c’est relativement plat, nous avons un bon vent et lorsque ça descend, ça tourne beaucoup alors on doit freiner. Je prends mon temps et je teste mon genou pour bien l’échauffer. À la mi-parcours, je croise ma famille qui a pris la navette pour se rendre à Vérona, avec la poussette et tout! Je suis aux anges et ça me donne littéralement des ailes. J’entame mon deuxième tour avec beaucoup de motivation. Tout le long, je m’assure de bien manger, suivre le plan de ma nutritionniste et bien boire. La deuxième boucle passe plus vite que la première malgré le vent qui augmente. Les montées sont fantastiques, car des groupes de centaines de personnes se tiennent de part et d’autre et l’espace d’un moment, je me sens comme une star du Tour de France! Je souris à tout le monde et je prends beaucoup de plaisir! Plus que quelques kilomètres et me voilà arrivée à la transition! Je descends de mon vélo, cours changer de chandail, je prends casquette et dossard et je fais une deuxième pause pipi! Depuis le km 40 à vélo que je me retiens et j’ai l’impression que ça dure cinq minutes! Haha!

    Enfin, la partie croustillante : la course à pied. En commençant, je croise ma soeur et Antoine. Ma soeur pleure de me voir, elle me dit que je suis belle et bonne et qu’elle est fière de moi. J’ai le coeur gros, elle est là, je n’en reviens pas chaque fois que je la croise. Le premier 10 km, je pense à ma famille tout en suivant mon plan à la lettre. Je cours entre les ravitos et je marche le long des tables. Cela a pour objectif de limiter le stress sur mon genou et de m’assurer de bien manger et m’hydrater pour limiter mes maux de tête. Aux premiers ravitos, je n’ai pas envie de marcher et ça me prend une force mentale pour suivre ce plan. Je sais par contre que ça me sera bénéfique plus tard. Contrairement à Duchesnay, ici, je souris et je sourirai tout le long de ce marathon! On me dit plusieurs fois : «Nice smile, keep going!» et cela ne fait qu’augmenter mon sourire. Je croise mon coach, Karim, qui me rappelle de bien suivre le plan. Je croise Sylvain et Joce dans ma première boucle. Au demi-marathon, je revois ma famille, on se parle un peu. Ça va toujours bien! La fatigue commence à se faire sentir, mais le moral est là et il restera! Il fait un peu chaud, je m’assure de me garder refroidie avec les verres d’eau sur la tête! Au km 23, je croise Francis que me dit que je suis 15e et que si je garde le pace, je peux monter de quelques places. Je suis heureuse, mais je sais que je dois continuer ma stratégie de marcher mes ravitos, alors je continue. Je croise Benoit qui est en plein milieu du parcours et apparaît pour nous encourager! Je croise Val, Mylène, Isa, Joce Ducharme et Jake. Je suis tellement heureuse! J’apprécie et vis au maximum chaque kilomètre. À 5 km de la fin, je réalise que là, peu importe que je marche à 2 km/h, je terminerai et aujourd’hui, je serai Ironman! Ça me donne des ailes. Je ralentis un peu, car je commence à sentir un inconfort au genou, mais je ne m’attarde pas à cela! Mon seul point en tête est sourire, taper dans les mains de tous les enfants et avoir du plaisir jusqu’au plus profond de mon être. Je vois 43 km sur ma montre… Haha! Je crois que j’ai peut-être un peu trop zigzagué! Il me reste environ 500 m à faire. Les émotions remontent, des larmes de joie coulent sur mes joues! Ça y est! À peine sept semaines après un accident qui aurait pu mettre un terme à ma saison, mes efforts et mon mental me permettent aujourd’hui de franchir ce fil d’arrivée tant attendu!

    Aucun mot ne pourra décrire les émotions qui m’ont traversée les minutes suivant cet accomplissement. Et pour ajouter à tout cela, après avoir pris le temps de marcher un peu et d’avoir pris ma photo-finish la médaille au cou, l’homme qui a su m’épauler durant les dernières années s’est agenouillé devant moi pour me demander en mariage. J’ai explosé et cru l’espace d’un instant que je faisais une crise cardiaque. À ces émotions plus fortes que tout d’avoir accompli mon plus gros défi à ce jour sont venues s’ajouter des émotions débordantes d’amour.

    Pour résumer ces sept semaines et cette journée, je peux vous affirmer que rien n’arrive pour rien. Ce que j’en retiens est que sans cet accident, jamais je n’aurais été aussi prête mentalement que je l’ai été en ce jour. Cet événement m’a permis non seulement d’apprendre à mieux écouter mon corps, mais également qu’en étant positif et qu’en tirant le meilleur de tout, nous arrivons à accomplir de grandes choses! Je vous mentirais si je disais que ça a été facile. Oui, j’ai été fâchée, oui, j’ai pleuré, oui, j’ai parfois cru que je n’y arriverais pas. Mais le côté optimiste et persévérant a toujours pris le dessus.

    Je remercie la vie de me permettre d’accomplir tout ce que j’accomplis et que la santé me permet d’accomplir. Merci à ma famille et à mon fiancé qui me supporte et m’accepte dans mes horaires de fou et dans les différents sacrifices. Merci à mon coach d’avoir su adapter mon plan pour me relever! Merci aux filles pour votre support moral! Merci à tous pour vos petits mots, vous n’avez pas idée à quel point ils font partie de ma réussite!

    Je terminerai simplement en vous disant : ne lâchez jamais! Appréciez chaque moment et tirez le meilleur de ceux-ci. Nous n’avons qu’une vie, autant la vivre au maximum!

    [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Natation, bien comprendre ce que l’on fait

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]L’automne est souvent le moment des bilans. Nous regardons la dernière année afin de cibler les faiblesses et, dans le mesure du possible, nous planifions notre prochaine saison dans un but logique : devenir meilleur.

     

    La natation… comprendre ce que l’on fait

    Au-delà de nager plus, il faut nager mieux, être plus efficient et, surtout, comprendre ce que l’on fait dans l’eau. Pour comprendre, il faut simplement apprendre à ralentir et rester dans une zone d’apprentissage. Un bon entraîneur, des outils et du bon feed back t’aideront assurément à sortir de l’eau moins « taxé » . Un camp de natation est une bonne option pour regrouper tous ces outils et ainsi, investir sur ta compréhension et ta technique.

    Le camp de deux jours t’offrira la chance de comprendre et être analysé par les meilleurs. Cette analyse, faite lors du camp, te sera également partagée par vidéo tutoriel dans la semaine suivant le camp. Tu repartiras donc avec des outils pour t’améliorer et comprendre!

     

    L’horaire est le suivant :

    Samedi 24  novembre :

    • 8h00 à 9h30 Natation McGill (optionnel si vous arrivez le samedi)
    • 11h00 visite du Café Barista avec Alex Sereno
    • 16h30 à 18h00 Bassin entraînement six couloirs 50 m

    Dimanche 25  novembre :

    •  8h00 à 9h30 Bassin synchro huit couloirs 30 m (analyse vidéo one on one)
    • 10h30 Conférence nutritionniste de l’Institut national du sport
    • 15h00 à 16h30 Bassin synchro huit couloirs 30 m

     

    Inscriptions sur ce lien Camp Natation Montréal

    Au plaisir de vous y voir!

    Entraîneurs présents :

    Alex Sereno – Sylvain Pineau – Georges Guay – Francis Bachand

     

     

    Francis Bachand

    Entraîneur et fondateur

    Capitale Triathlon / Triathlon Duchesnay[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Un centre d’entraînement extérieur pour triathlètes à Québec… tu ne rêves pas!

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]S’entraîner en sécurité sur un site calme. S’entraîner sur un site pensé et réfléchi par des triathlètes. Dès le printemps 2019, Capitale Triathlon aura comme quartier général le Manoir du Lac Delage. Le concept est simple : on fait du triathlon en compétition, il faut en faire à l’entraînement.

    La natation

    Des bouées formeront un circuit de 1500 m en eau libre. Les entraîneurs vous suivront avec les planches à pagaie du club.

    Le vélo

    Le vélo se fera pour les groupes jeunesse, sprint et olympique vers le chemin de la Grande-Ligne et Stoneham. Pour le volet Demi et Ironman, une boucle de 45 km sera marquée vers Stoneham afin d’assurer un encadrement adéquat dans les entraînements spécifiques.

    La course

    La course se fera au Lac-Delage et en sentiers.

    Bien que quelques entraînements en eau libre seront maintenus au lac Beauport, les samedis matin auront une saveur « triathlon » dans un environnement unique et sécuritaire dès le printemps!

    Au plaisir de vous y voir.

     

    Francis Bachand

    Entraîneur et fondateur

    Capitale Triathlon / Triathlon Duchesnay[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Une course difficile… qui me donne hâte à la prochaine! – Valérie Lalancette

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Dimanche dernier, j’ai participé à mon deuxième Ironman à Madison, au Wisconsin. J’avais plusieurs objectifs en allant là-bas. Je ne les ai pas tous atteints car j’avais peut-être sous-estimé la difficulté de ce parcours, mais j’ai donné le meilleur de moi-même et cela me permet de rêver encore! Quelle belle aventure ce IM du Wisconsin!

    Avant de faire mon (long) résumé de course (pour les intéressés), je veux d’abord dire merci à mon coach Francis Bachand qui me donne de judicieux conseils et qui croit en moi. Merci à Karim Hajjaj mon meilleur supporteur qui est là pour veiller sur tout et qui m’encourage aussi tout au long de l’année à donner le meilleur de moi-même en entraînement. Merci à mes trois amours d’accepter que nous fassions ensemble des sacrifices dans notre horaire. J’ai traversé la ligne d’arrivée avec vous. xx

    Je suis donc arrivée jeudi au Wisconsin avec plusieurs autres amis du club. Nous avons pu nager, faire le parcours de vélo et visiter un peu la ville de Madison, qui est très belle, d’ailleurs. Samedi, je laisse mon vélo dans la transition et je vais porter mes sacs de transition parce que dans un Ironman, on ne peut rien laisser, autre que son vélo, dans la zone de transition. On doit mettre tout ce qui sera nécessaire pour la portion vélo dans un sac de transition pour le vélo et tout ce qui sera nécessaire pour la partie course dans un autre sac. Il faut quand même préparer ces sacs méticuleusement car il y a beaucoup de choses à penser.

    Je me couche assez zen samedi soir. En fait, ce qui me stresse le plus est d’avoir froid en attendant le départ de natation et au début de la portion vélo. Mais bon, il fallait bien que je me stresse avec quelque chose?!

    Dimanche matin, on se lève à 3h45. Je déjeune et je rejoins mon amie Véro Proulx pour aller porter les special need bags. Ce sont des sacs (un pour le vélo et un pour la course) auxquels on aura accès à la mi-parcours de vélo et de la course. On peut donc y laisser de la nourriture, des bonbonnes de CO2, du linge de rechange…

    Ensuite, je me rends à la zone de transition pour porter mes gourdes, gonfler mes pneus, huiler ma chaîne, mettre mes pédales (merci mes amis CT de m’avoir aidée?!!!).

    L’heure du départ approche. On enfile notre wetsuit, on écoute l’hymne national américain, on s’insère dans la file en passant par-dessus la clôture et quelques minutes plus tard, c’est le départ.

    Natation: 3800 m
    L’eau est calme contrairement aux deux journées précédentes où nous sommes allés nager. Je me sens relaxe.
    Quand je respire, j’admire le lever du soleil à ma gauche et je vois les centaines (peut-être même milliers) de personnes entassées sur la Monona Terrass pour nous encourager à ma droite. C’est vraiment impressionnant. La portion natation passe très rapidement.
    1h08min

    T1:
    Je sors de l’eau. Enlève mon casque, lunettes, wetsuit. Fais une petite pause pipi car je sais que le vélo sera long… Je croise Karim qui m’encourage. Je suis contente de le voir. Je vois mon coach Francis un peu plus loin qui me donne quelques judicieux conseils et je cours vers la zone de transition. Ce qui est particulier dans ce triathlon, c’est que la zone de transition se trouve dans un stationnement étagé. Il faut donc monter en courant dans cette spirale. Tout au long de la montée, les gens sont entassés et nous encouragent. Wow! Belle dose d’adrénaline!!!
    J’enfile mon chandail de vélo dans les poches duquel j’avais mis ma nutrition, je mets mon casque, mes lunettes, prends mon vélo et file vers la ligne d’embarquement en croisant mon amie Véro Proulx.
    6min53

    Vélo: 180 km
    Le premier 90 minutes de vélo est rapide. Tout va bien. Je me dis que je vais atteindre mon objectif et que je devrais faire 5h45 mais soudainement… le vent et des côtes… Ouffff! Je me fais dépasser par des gars (ça, j’y suis habituée?) mais aussi par des filles qui sont vraiment fortes, très fortes! Je commence à broyer du noir. Je sais que je ne ferai pas moins de 6h et plus le temps avance, plus je me dis que je vais faire plusieurs minutes au-dessus de 6h. Je finis par me faire à l’idée et à l’accepter. Je sais que je vais devoir continuer de pousser contre le vent et affronter plusieurs autres montées. Aussi bien profiter de ce parcours magnifique et se laisser porter par les encouragements des gens qui s’entassent à plusieurs endroits sur le parcours pour nous encourager, danser… D’ailleurs, dans plusieurs longues montées, les gens sont massés sur des centaines de mètres, des deux côtés de la route. Je me sens au Tour de France!
    Je termine FINALEMENT ma portion vélo. Quand j’approche de la zone de transition, je vois Karim en haut de la zone de transition. J’ai un coup d’émotion. J’ai envie de pleurer et de lui dire à quel point j’ai trouvé le parcours de vélo difficile et que j’ai tout donné mais je vois qu’il fait un Facebook live? et je ne veux pas trop l’inquiéter… Je monte donc la spirale qui me mène à la zone de transition.
    6h16min

    T2: Je descends de mon vélo et cours vers la zone de transition, une autre pause pipi, je prends le nécessaire pour la course et c’est reparti.
    4min19

    Course: 42,2 km
    Dès le début de la course, je vois Karim. Quel plaisir de savoir qu’il est là. Quelques mètres plus loin, mon coach Francis est là. Il fait quelques mètres avec moi. On parle de la portion vélo qui a été plus difficile que prévu pour tout le monde. Il me rappelle le plan de match. Le parcours de course est magnifique. On traverse la ville, on passe dans un stade de football universitaire, on longe un lac… Pas le temps de trouver le temps long. Beaucoup de gens nous encouragent partout sur le parcours. Je croise mes amis de Capitale Triathlon sur le parcours. C’est toujours une grande joie de les voir!!! Je me sens bien tout au long de la course. Je ralentis un peu à la deuxième boucle mais tout est sous contrôle.
    La fin de la deuxième boucle arrive. Je vois mon amie Valérie Vaillancourt qui a fait la route jusqu’à Madison pour nous encourager et Francis. Ils me disent que si j’accélère un peu, je vais pouvoir faire ma course en bas de 4h. Je le sais mais j’ai donné ce que j’ai pu et tout ce que je peux faire, c’est de me concentrer pour terminer ce dernier kilomètre qu’il me reste à faire. En tournant le dernier coin, je vois le ligne d’arrivée à 200 mètres. Des centaines de personnes sont entassées et crient! Ça y est! Je profite de ce dernier 200 mètres, des applaudissements et traverse la ligne d’arrivée.
    4h01min58s

    Temps total : 11h38min06s

    OUFFF! Je ne l’ai pas trouvée facile, celle-là! Mais j’ai déjà hâte à la prochaine!!![/vc_column_text][vc_single_image image= »1518″ img_size= »large » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Un plan d’entraînement svp!

    Le choix…

    Le choix est parfois difficile. Après avoir sélectionné les objectifs de la prochaine saison, il faut se tourner vers le type de planification et de suivi désiré.

    (suite…)

    Comme une rock star – Jocelyn Ducharme

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Compte rendu Ironman Wisconsin

    Je ne me souviens pas exactement quand le projet a commencé, mais je sais que l’idée a fait son chemin à mesure que je m’entraînais avec la gang de Capitale Triathlon. C’est finalement lors d’un souper à la fin juin que le projet est né. En retournant à la maison, je me suis inscrit au Ironman Wisconsin. Là, quand même, je ne partais pas de rien. J’avais déjà fait le 70.3 Eagleman et je m’entraînais pour le 70.3 Maine et Lake Placid. J’avais aussi déjà fait un Ironman et plusieurs 70.3 alors le projet n’était pas complètement fou!

    Fast forward au 9 septembre…

    Quelques minutes avant le départ:

    On est tous ensemble près du départ. Une équipe de trois personnes gosse après mon wetsuit pour l’attacher mais je suis plutôt préoccupé par les vagues et le vent. Je suis un nageur moyen et je sais que mon temps va être «lent»… probablement 1h20. Ensuite, c’est l’hymne national puis on se place pour le départ. Je vous dirais que quand on prend le départ avec Jocelyn Paré et Sylvain Nadeau, on ne se sent pas exactement le mâle alpha du groupe! Je me place loin derrière, sachant très bien que je suis un nageur beaucoup moins fort que le reste de notre gang!

    Natation (3,8 km): Le départ est donné, mon tour de sauter à l’eau arrive beaucoup trop vite à mon goût, mais pas le choix, on se lance! C’est plutôt agité, venteux et vagueux! Je reçois ma dose habituelle de coups de poing et de pied mais rien d’inquiétant. Je trouve même que je nage bien et même si tout le monde me dépasse, j’ai l’impression que je vais faire un bon temps. Je ne suis pas pressé de sortir de l’eau et le temps passe plutôt vite. Je suis étonné de voir autant de bénévoles disponibles pour enlever les wetsuits. Quand j’ai croisé Francis et Valérie un peu plus loin et que Francis m’a dit : «Oublie ça, Joce, focus bike», j’ai compris que ça ne pouvait pas être bon. ? J’ai su plus tard que j’avais fait 1h40 et que Valérie et Francis se demandaient qui j’avais mis comme contact d’urgence!

    Vélo (180 km): Ici, c’est une autre histoire. Toutes proportions gardées, le bike est ma force. Dès le début, je dépasse un nombre incalculable de cyclistes, particulièrement dans les montées. Il faut quand même dire que je suis tellement lent à la natation que ça prend du temps avant de rejoindre la compétition de mon niveau et de mon groupe d’âge à vélo. Mais plus la course avance, plus ça devient difficile de faire des dépassements, sans compter que le vent se lève et que les côtes se multiplient! J’ai quand même des boosts d’adrénaline incroyables dans certaines montées où les spectateurs forment un cordon étroit, un peu à la façon du Tour de France, et encouragent les cyclistes bruyamment! Pas pu résister, j’ai brûlé beaucoup trop de cartouches dans ces montées, mais c’était ma-la-de! Loin sur le parcours, je finis par commencer à rattraper des coéquipiers de Capitale Triathlon. Chaque fois, on s’échange quelques mots et on s’entend rapidement que le parcours est très difficile (le plus difficile que j’ai fait à date) puis je continue ma route. Au bout de 180 km, j’aurai gagné plus de 1200 positions avec un chrono respectable de 5h52.

    Course à pied (42,2 km): J’avais un seul objectif, courir tout le long et perdre le moins de positions possible. Je devais marcher seulement les ravitos et certaines côtes. Le parcours est magnifique et la foule est nombreuse. En plus, c’est là qu’on a la chance de voir le plus notre monde, aussi bien nos coéquipiers que nos supporteurs. Chaque fois, ça donne un boost incroyable. J’ai trippé de voir Sylvain et Joce P. puis Valérie, Véro, Mylène, Isabelle. Je les voyais faire des super courses et ça me donnait un boost chaque fois! Il y a aussi Jake qui courait très bien et qui me
    poussait dans le cul en me disant qu’il s’en venait me chercher!!! Vraiment cool de faire le tour du stade des badgers, courir au centre-ville, sur le bord de l’eau et dans un parc. Le plus beau parcours de course que j’ai fait jusqu’à maintenant!

    L’arrivée: Il n’y a rien de plus satisfaisant que de suivre la flèche Finish à l’intersection Finish/Second loop… puis entendre un bénévole annoncer dans un radio portatif «number 285, coming in for the finish». À ce moment, il ne reste plus que 200 à 300 mètres sur une distance de 42 km. Je ne sens plus rien sauf mon cœur qui veut sortir de ma poitrine et mes yeux qui se remplissent d’eau. Je sens l’énergie de la foule et il suffit de soulever un bras pour entendre la foule réagir encore plus. Je ne boude pas mon plaisir et j’en redemande. La foule devient encore plus bruyante. Je me sens comme une rock star et je m’assume complètement. Je termine dans les 400e sur 2300 mais c’est secondaire. J’ai couru tout le long, je vais avoir gagné une centaine de positions supplémentaires et je suis fier de ma course.

    On se rejoint tous près de l’arrivée. On en aura pour plusieurs heures à se raconter nos courses! Chacun a sa belle histoire à raconter et on ne tanne pas de les entendre!

    Merci à Val d’avoir été là tout le week-end pour me supporter et pour les 15 minutes que tu auras conduit ???. Tu as été parfaite! J’ai hâte que ce soit mon tour!  

    Merci à Val L, Sylvain, Mylène, Francis, Véro, Joce et Isabelle. Vous êtes inspirants… mais surtout incroyablement gentils!!!! Vous m’écœurez un peu avec votre talent à la natation mais pour le reste, vous êtes parfaits!

    Merci aussi à Jake, Ben, Karim et au Véro support crew! Vous êtes malades![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Un club accessible à tous!

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]

    Un club accessible à tous

    «Je ne suis pas assez bon pour m’entraîner dans un club de triathlon!»

    Plusieurs ont déjà lancé cette phrase, pensant devoir déjà être un athlète expérimenté pour intégrer un club de triathlon. Au contraire. Chez Capitale Triathlon, tous les sportifs sont accueillis et encadrés selon leur niveau.

    Vous aimeriez faire un triathlon distance découverte et vous ne savez pas nager? Nos entraîneurs sont formés pour vous accompagner pas à pas vers votre objectif.

    Vous aimez vous entraîner à votre rythme, sans avoir d’objectif de compétition? Que ce soit de façon récréative, histoire de retrouver les amis sur la piste, ou de façon plus intense, en vue d’une compétition prochaine, chez Capitale Triathlon, tout le monde y trouve son compte.

    De plus, les parents de jeunes qui aiment bouger seront heureux d’apprendre qu’un groupe pour les 7 à 13 ans attend leurs enfants! Un entraîneur d’expérience leur apprend les bases du sport dans une ambiance ludique pendant que papa et maman s’entraînent. Une belle façon de promouvoir le sport en famille!

    Intégrez un club qui saura respecter votre rythme, quel qu’il soit.

    Intégrez Capitale Triathlon!

    [/vc_column_text][vc_single_image image= »1518″ img_size= »large » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Un nouveau partenariat pour Capitale Triathlon!

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]

    Nous sommes fiers de vous annoncer notre partenariat avec le Cross-triathlon découverte de Québec qui se tiendra le 8 juillet prochain au Lac-Delage. Capitale Triathlon veut se tenir au premier plan dans le développement du triathlon hors route (Xterra, cross-triathlon). Pour ce faire, le club s’implique dans l’organisation de cet événement, une première à Québec, consacré à la découverte du cross-triathlon (nage en eau libre, vélo de montagne et course en sentiers). Votre entraineur responsable du volet hors route (Xtriathlon et Xtrail) Christian St-Pierre est directeur de course pour le Cross-triathlon découverte de Québec. Capitale Triathlon compte déjà deux responsables bénévoles, soit Isabelle Tremblay au balisage et Jocelyn Ducharme pour le parcours vélo.

     

    Pour obtenir plus de renseignements sur le Cross-triathlon de Québec, visitez la page Facebook  https://www.facebook.com/groups/119257612160605/ ou écrivez-nous à xterra@capitaletriathlon.com.

    Vous avez envie de vous inscrire? C’est par ici! https://gotikk.com/fr/evenements/cross-triathlon-de-quebec-2018/

    Vous aimeriez faire partie de l’équipe de bénévoles? Visitez le  https://tinyurl.com/yd4rb3oh. Chaque bénévole recevra un coupon pour une inscription gratuite à l’événement 2019 (transférable à une connaissance).

    Crédit photo : Sylvie Laurence

    [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Parce que t’es pas une chochotte

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Bon, je sais… tu n’as pas beaucoup de temps. Je serai bref!
    Dans quelques jours sera ton premier 70.3 de la saison… « Ça ira », te dit le coach.

    C’est rare, voire impensable que TOUT se passe comme prévu! Alors, en quelques lignes, je vais tenter de te dire comment… ça pourrait aller!

    1. Le petit stress de la veille t’envahira juste avant le dodo. Même si tu te couches à 19h30, tu fermeras les yeux vers 23h.
    2. Après un déjeuner qui te lèvera le cœur (chu pas stressé!), tu visiteras la toilette à quelques reprises. Y’a du bon… tu approches de ton « race weight »!
    3. Ce n’est qu’une fois rendu à la transition que tu te rappelleras où est ton foutu body glide…
    4. Dernier post Facebook et Instagram! (Comme si tu allais mourir!)
    5. Départ. Tu nageras assurément trop vite et finalement, le parcours sera trop long… Un classique!
    6. Transition no 1, comme un chef… assez dur de merder ça!
    7. Ton vélo sera sans drafting. Si c’est le cas, tu as le mérite d’être dans le 15 % des « vrais ».
    8. Transition no 2, comme un chef qui est… un peu racké!
    9. La course à pied en contrôle… surtout quand tu croises un athlète de ton club!

    Finalement… quand tu seras sur le parcours de course à pied, à chaque moment où tu penseras à ralentir, à chaque moment où tu penseras à marcher, rappelle-toi que tu croiseras un athlète Capitale Triathlon bientôt. Et que lui, ne marchera pas! Accroche-toi à la force du club et rappelle-toi qu’on fait tout ça pour se sentir vivant et avoir des histoires à raconter!
    Bonne compétition!

    Francis

    [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Des nouvelles du Triathlon Duchesnay

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Des nouvelles du Triathlon Duchesnay

    C’est avec beaucoup d’enthousiasme que toute l’équipe convie les triathlètes de la province ainsi que les amateurs de défis et de sports d’endurance à la 5présentation du Triathlon Duchesnay.

    Devant la formidable occasion qui se présentait à nous, il nous fait plaisir de vous annoncer que le Triathlon Duchesnay change de date et se tiendra le 21 juillet 2018, dès la première fin de semaine des vacances de la construction. Plusieurs éléments motivent ce changement. Surtout, après l’édition de l’année dernière, nous cherchions un moment en juillet où le niveau de la rivière est généralement plus stable et les matins, définitivement plus chauds. Naturellement, nous voulions aussi une date qui s’éloignait de la seconde moitié du mois d’août et de quelques événements prisés par les triathlètes québécois et athlètes de la région de Québec, dont l’Ironman de Mont-Tremblant et les Championnats du monde ITU de Montréal.

    Cela dit, les mêmes éléments forts de l’an dernier y seront! Vous avez été nombreux à nous mentionner vos coups de cœur pour le site en général, le bâtiment d’accueil, l’énorme zone de transition, le superbe parcours de course à pied et la prestigieuse zone d’arrivée.

    Pour fêter sa 5année, le Triathlon Duchesnay est très heureux d’être l’hôte d’une Coupe Québec distance sprint. Soucieux de se démarquer par la qualité de l’expérience des athlètes, plusieurs cadeaux, dont le t-shirt unique 5e édition, seront remis aux athlètes.

    Avant vos vacances, question de partir la tête tranquille et d’en profiter pleinement, relevez le défi du Triathlon Duchesnay le 21 juillet prochain!

    D’ici là, gardez la forme et bon entraînement!

    [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Mon sport, ma passion!

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]J’ai toujours aimé me dépasser et me réaliser dans le sport. J’aime m’améliorer et me mesurer à d’autres.

    Depuis quelques années, le sport, tout particulièrement le triathlon, prend plus de place dans ma vie. C’est devenu une passion.

    L’année 2018 sera une belle année remplie de défis pour moi. J’ai d’inscrit à mon calendrier le marathon de Boston, le Ironman 70.3 Eagleman et le Ironman 140.6 du Wisconsin et quelques autres courses pour me garder alerte! Ceci demande beaucoup de temps, d’organisation, de discipline et de quelques sacrifices. Peu importe, je suis passionnée! Comment faire pour le rester? Voici 5 points que je considère importants:

    1. Se fixer des objectifs inaccessibles

    Quand je dis que je me fixe des objectifs inaccessibles, je veux dire que je me fixe des objectifs qui me seraient inaccessibles d’atteindre en restant Confortable. Je choisis ces objectifs en sachant que je pourrai les atteindre. mais que je devrai travailler pour les réaliser. Le travail, parfois hors de ça zone de confort, est inévitable pour atteindre ces objectifs, mais, bien entourer, tout est possible.

    2. Bien s’entourer

    Il faut bien s’entourer. Il faut s’entourer d’un coach qui nous connaît et qui nous permet de repousser nos limites tout en respectant la personne que l’on est et les obligations que l’on a (oui, il y a des obligations autres que le triathlon dans ma vie!). Il faut s’entourer de gens qui prennent soin de nous comme une nutritionniste, une massothérapeute, un physiothérapeute qui seront là pour nous aider à prévenir les bobos où nous aider à les guérir. Il faut aussi s’entourer d’amis qui partagent cette même passion, qui vivent les mêmes défis reliés à la poursuite d’un objectif et avec qui on peut rire et discuter à l’entraînement entre deux intervalles. Il faut aussi s’entourer de gens qui sont fiers de nous et qui nous encouragent les jours de doutes, car il y a des jours de doutes!

    3. Prendre plaisir à l’entraînement

    Il faut prendre plaisir à l’entraînement. La journée d’une course est l’aboutissement d’un nombre d’heures impressionnant d’entraînement. Il faut savoir les apprécier et s’amuser même si certaines fois, ça fait mal! Il faut être conscient que ces entraînements nous rendent meilleurs et y trouver satisfaction!

    4. Accepter les hauts et les bas

    Il faut accepter les hauts et les bas. Quand tout va bien, tant mieux, mais quand rien ne va plus ou que ça ne va pas comme on l’aurait espéré, il faut savoir l’accepter. Ce sont des choses qui arrivent. Il faut pouvoir rebondir et savoir tirer avantage de ces bas. Ils font aussi partie de l’entraînement. Dans une course, il y aura des hauts, mais il pourra y avoir des bas et il faudra le gérer.

    5. Être reconnaissant

    Être reconnaissant d’avoir la santé pour nous permettre de nous entrainer, d’avoir si peu de soucis afin de pouvoir s’investir autant dans notre passion. Être reconnaissant envers notre famille et nos amis. En effet, quand on se fixe un objectif, c’est aussi notre entourage proche qui doit s’adapter, faire des concessions. Notre objectif devient aussi leur objectif. Il faut leur en être reconnaissant, les remercier et faire, nous aussi, des concessions pour leur permettre de vivre, eux-aussi, leurs passions. Il faut parfois démontrer une certaine souplesse dans la rigidité de notre plan d’entraînement. Il faut surtout leur rappeler qu’eux aussi, ils la traverseront avec nous cette ligne d’arrivée!

    Bon entraînement!

    Valérie Lalancette,
    Athlète Élite et entraîneur Capitale Triathlon

     

     

    [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Capitale Triathlon un volet Xtri bien démarré

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Il y a bientôt 4 mois que nous nous donnions comme mission d’améliorer l’offre de service en Xtri ici, à Québec. Une première session en mode découverte des plus satisfaisante, nous regardons la session printemps arrivée avec un grand sourire! 🙂

    Les samedis matins à compté du 28 avril

    Les entraînements du samedi matin du volet XTri / XTrail se tiendront à Charlesbourg à partir de l’Aréna Réjean-Lemelin (École secondaire les sentiers).

    Au menu : Parcours d’habiletés techniques vélo de montagne, sorties de vélo de montagne, course en sentier avec conseils techniques, équipement, et

    Info et calendrier par ICI

    Un nouvel événement à Québec

    Cross-triathlon Découverte de Québec Lac-Delage 8 juillet 2018.

    Le parcours de 300m de natation + 10km de vélo + 4km de course comporte une sélection des sentiers les plus faciles du site du XTERRA Québec.

    Une excellente course vous permettant de découvrir le cross-triathlon.

    Détails et inscription  Par ICI

     

    Bon entraînement à tous!

    Francis Bachand
    Entraîneur Chef Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Mais qu’est-ce que je viens de faire?

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Afin de s’améliorer, il est très important de suivre son plan d’entraînement. Par contre, j’ai récemment entendu un ex-pro cycliste dire qu’une fois arrivé sur le World Tour, il a été surpris de voir les autres athlètes prendre un verre de vin au souper pendant le Tour de France. Il a alors réalisé qu’il n’a qu’une seule vie à vivre et que ce genre de petit plaisir pouvait avoir sa place même dans un événement de haut niveau. J’ai donc décidé de déroger de mon plan d’entraînement et de faire une folie, car, après tout, on n’a qu’une vie à vivre!

     

    La gaffe

    Je me suis inscrit au Tour Of Sufferlandria. Vous ne connaissez sûrement pas ça et c’est tout à fait normal. Voici une brève description de ce que c’est :

    Plusieurs personnes qui font du vélo à la maison sur une base d’entraînement utilisent un programme ou une plateforme d’entraînement afin de se divertir ou de structurer leur séance. Il y a plusieurs choix, Zwift étant un des plus populaires qui ressemble beaucoup à un jeu vidéo. TrainerRoad qui affiche un tableau avec les cibles en wattage. Moi, j’utilise Sufferfest, qui est un montage vidéo de courses cyclistes. Je trouve ça très divertissant et chacun des montages vidéo est en fonction de la séance d’entraînement choisie. Par exemple, pendant un intervalle VO2 max, on suit Vicenzo Nibali pendant une montée au Giro D’Italie ou pendant un intervalle plus long, on suit Tony Martin sur un contre-la-montre. Cette plateforme de vidéo d’entraînement organise un ‘’tour’’ de 9 jours où ils donnent 9 entraînements à compléter, parmi leur banque de vidéo. Je me suis dit que je participerais, malgré le fait que ça ne cadre vraiment pas dans mon plan annuel d’entraînement.

     

    La planification du tour

    Quand j’ai vu la planification du tour, j’ai eu mes doutes : je ne réussirai pas, c’est impossible… Ils sont fous! Aucun entraîneur ne recommanderait de faire ça! Ah oui, j’oubliais, je ne fais pas ça dans le cadre de mon plan d’entraînement, mais comme défi. J’ai aussi eu peur, car certains entraînements allaient faire mal, et j’avais mal juste à y penser. Voici un résumé très bref :

    • Étape 1 : impossible que je termine ce tour… La 2e heure m’a presque fait mourir!
    • Étape 2 : Beaucoup plus facile qu’anticipée! J’ai soudainement de la confiance.
    • Étape 3 : Je l’attendais ce court 45 minutes… Je vais le faire ce tour!
    • Étape 4 : Je déteste des intervalles courts…
    • Étape 5 : Je crois que je déteste aussi les intervalles longs…
    • Étape 6 : Je déteste également les simulations de course de vélo… Il n’y a jamais de repos!
    • Étape 7 : Ça va drôlement bien, ce qui est étrange, car cette séance est habituellement difficile… Je crois que ma perception de ce qui est difficile est en train de changer…
    • Étape 8 : Enfin une session d’endurance, ma force… Et non, cette séance m’a complètement brisé!
    • Étape 9 : WTF?!? J’ai même pleuré pendant un intervalle

    Je ne vous recommanderai jamais de faire ce tour. C’est stupide, difficile, souffrant, décourageant. Ça fait mal. En contrepartie, c’est très drôle de suivre les commentaires et participer au groupe Facebook. Aussi, je crois qu’après quelques jours un peu plus légers en entraînement afin de récupérer, j’aurai définitivement un sommet de forme en vélo.

    En février. Au Québec. Milieu de l’hiver. Fuck. C’était vraiment stupide tout ça…

     

    Dave Vigneault

    Athlète et ambassadeur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Sylvie Martin PCN La Capitale

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]J’ai pensé profiter du changement d’année pour écrire un article afin de me présenter et que vous appreniez un peu qui je suis et d’où je viens, et également parler de la clinique pour laquelle je travaille et ce que je peux vous offrir à travers celle-ci, au niveau professionnel.

     

     

    Sylvie Martin, c’est qui ça!?

    Voilà! Je suis une Québécoise d’adoption, une Néo-Brunswickoise d’origine! Je suis venu étudier à l’Université Laval en 2003 en physiothérapie et je pratique en clinique privée depuis 2006. Le sport fait partie de ma vie depuis l’adolescence grâce à mon père, qui était un coureur et un athlète de tous les sports de raquette. J’ai d’ailleurs commencé ma vie de sportive en pratiquant le badminton, sport que je pratique d’ailleurs toujours. J’ai participé aux Jeux du Canada en 2003 sur l’équipe de badminton, et c’est grâce à cette expérience que je me suis mis à la course à pied. Depuis, je n’ai jamais arrêté. C’est d’ailleurs pour cette raison que je me suis joint à l’équipe de Blaise Dubois et de PCN La Capitale en 2011, afin d’intégrer ma passion à mon travail. Notre clinique se spécialise en course à pied, et au moins 50% de ma clientèle sont des coureurs. J’ai donc suivi des formations continues plus spécifiques à la course afin d’être mieux outillé pour servir mes patients.

     

    PCN La Capitale

    Évidemment, n’importe qui peut venir se faire traiter à notre clinique, pas besoin d’être un coureur. Par contre, nous avons développé une expertise dans le domaine qui nous permet d’offrir des services plus personnalisés à ceux-ci. Nous offrons donc des évaluations de course à pied, où vous vous faites filmer en courant sur tapis roulant, ce qui permet de voir votre patron de course, s’il y a des modifications majeures à apporter, et par la suite d’avoir des conseils et exercices en fonction de blessures ou douleur spécifique. Nous offrons aussi également des conseils concernant les différents types de chaussures et des programmes de reprise de course à pied suite aux blessures. Conjointement, une nutrionniste et une kinésiologue plus spécialisées en course à pied offrent leur service pour consultation à notre clinique.

     

    PCN ‘at large’

    Les cliniques PCN sont nombreuses dans la ville de Québec. Cela à l’avantage d’avoir des experts de différents domaines auxquels nous pouvons référer. Nous avons donc dans notre grande équipe des massothérapeutes, des ostéopathes, acupuncteurs, physiothérapeutes travaillant avec les aiguilles sèches, spécialistes en golf, physiothérapeutes en rééducation périnéale et bien d’autres pour améliorer nos services. De plus, nous travaillons en équipe avec des médecins du sport, auxquels nous pouvons référer nos cas complexes ou ceux qui ont besoin d’un rendez-vous en orthopédie.

    Le triathlon

    Le triathlon est un peu plus nouveau comme passion dans ma vie. Je cherche maintenant à aller chercher des compétences au niveau du vélo, de la natation, et de poursuivre celles en course. Francis est une personne que j’apprécie énormément et je me trouve privilégié qu’il m’ait intégrée à votre équipe, qui est vraiment inspirante.

    J’espère donc que vous ne vous gênerez pas pour m’aborder par Facebook, courriel ou aux entraînements si vous avez des questions. Et surtout que vous viendrez me voir en clinique pour éviter que vos petits bobos deviennent des gros!

     

     

    Sylvie Martin , Physiothérapeute PCN La Capitale
    Pour consulter la biographie ou contacter Sylvie Martin, cliquez ICI![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    La perte de poids comme résolution?

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]L’année 2018 commencer et déjà les objectifs pour la prochaine année de compétition vous tournent en tête. Si votre premier but est d’atteindre un poids de compétition plus optimal en ce début d’année, vous devriez lire les quelques conseils suivants!

    1- Tout d’abord, il est vrai que le poids a une influence sur la performance. Toutefois, il est également normal que le poids varie au cours d’une année. Idéalement, votre poids en période de hors saison ne devrait pas dépasser 6 à 8% de plus que le poids de course que vous jugez idéal pour votre performance.

    2- Si vous visez une perte de poids, celle-ci devrait idéalement être réalisée dans la période de préparation physique générale et non lors des entraînements très spécifiques ou durant votre saison de compétition. L’hiver et le début du printemps représentent donc une période idéale pour le triathlète qui désire optimiser sa composition corporelle.

    3- Inutile de viser une perte de poids trop rapide! Une perte de 0,7% de votre poids corporel par semaine devrait être votre objectif. Une perte de poids plus rapide entraînera une perte de masse musculaire, et donc, une diminution de votre force et de votre puissance. Planifiez donc suffisamment de temps afin d’atteindre votre objectif.

    4- Assurez-vous de consommer suffisamment de protéines et de fibres tout au long de la journée. Ces aliments vous apporteront un effet rassasiant plus important et faciliteront la mise en place d’un déficit énergétique.

    5- Planifier également des apports énergétiques plus important en fonction de vos entraînements. Il est important de vous assurer de donner suffisamment de carburant à vos muscles lors des séances d’entraînements plus exigeantes. Inutile de chercher à optimiser votre poids si, en contrepartie, votre entraînement en souffre en retour!

    Dans tous les cas, si vous avez des questions, n’hésitez pas à me consulter.
    Je vous souhaite à tous une très bonne année 2018, à la hauteur de vos objectifs.

     

    Isabelle Morin, nutritionniste du sport
    nutrition.morin@gmail.com

    Consulte la bio d’Isabelle par ICI[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Des nouvelles du Triathlon Duchesnay – Québec

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]

    C’est avec beaucoup d’enthousiasme que toute l’équipe convie les triathlètes de toute la province ainsi que les amateurs de défis et de sports d’endurance à la 5e édition de l’événement.

    Devant la formidable opportunité qui se présentait à nous, il nous fait plaisir de vous annoncer que le Triathlon Duchesnay déménage et se tiendra le 21 juillet 2018, dès la première fin de semaine des vacances de la construction. Plusieurs éléments motivent ce changement. Surtout, suite à l’édition de l’année dernière, nous cherchions un moment en juillet où le niveau de la rivière est généralement plus stable et les matins définitivement plus chauds. Naturellement, nous voulions aussi une date qui s’éloignait de la seconde moitié du mois d’août et de quelques événements prisés par les triathlètes québécois et athlètes de la région de Québec, dont l’Ironman de Mont-Tremblant et les Championnat du monde ITU de Montréal.

    Cela dit, les mêmes éléments forts de l’an derniers y seront! Vous avez été nombreux à nous mentionner vos coups de cœurs pour le site en général, le bâtiment d’accueil, l’énorme zone de transition, le superbe parcours de course à pied et la prestigieuse zone d’arrivée.

    Pour fêter sa 5e édition, le Triathlon Duchesnay est très heureux d’être l’hôte d’une Coupe Québec distance sprint. Soucieux de se démarquer par la qualité de l’expérience des athlètes, plusieurs cadeaux dont le T-Shirt unique 5ème édition seront remis aux athlètes. Toutefois, afin de plaire à un grand nombre de sportif et désireux d’adapter le tarif aux attentes de chacun, nous innovons avec l’option « avec ou sans » cadeaux et/ou lunch. À votre choix, vous n’avez ainsi plus à payer pour un cadeau non souhaité ou un repas non désiré.

    Enfin, pour l’édition 2018, la progression du tarif d’inscription se fera par paliers. Ainsi, les 150 premiers inscrits bénéficieront d’un tarif préférentiel. Par la suite, le tarif augmentera sensiblement à chaque tranche de 300 inscriptions.

    Avant vos vacances, question de partir la tête tranquille et d’en profiter pleinement, relevez le défi du Triathlon Duchesnay le 21 juillet prochains!

    D’ici là, gardez la forme et bon entraînement!

    Francis Bachand et Claude Martin

    Directeurs Triathlon Duchesnay[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »1685,1686,1687,1688,1689,1690″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Pourquoi joindre un club de triathlon….

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Vous avez pris la décision d’essayer un triathlon ou d’être plus actif et, cette fois-ci, avez l’intention que ça dure plus de 3 semaines? Vous êtes déjà un triathlète expérimenté, mais avez envie de vous entrainer avec d’autres personnes pour rendre le tout plus agréable ou améliorer vos performances? La solution est simple : inscrivez-vous avec nous!

    Initialement, nous devions énumérer des raisons pour joindre un club de triathlon, mais Capitale Triathlon est tellement TOP(!), que voici quelques raisons de joindre notre club :

    1. L’encadrement et le soutien sont offerts par des entraineurs. Parce que parfois on ne sait pas comment bien faire les mouvements et éviter les blessures, ou bâtir et faire progresser notre entrainement. Ne laissez rien au hasard et suivez les conseils des gens expérimentés.
    2. La motivation grâce aux autres athlètes. Parce que c’est normal de ne pas avoir envie de faire un entrainement et de trouver un million d’autres priorités. Mais savoir que d’autres personnes seront présentes aide à se motiver à aller aux entrainements.
    3. Le dépassement de soi. Côtoyer d’autres athlètes vous inspirera à vous surpasser lors des entrainements et des compétitions. Vous atteindrez vos objectifs et irez au-delà.
    4. L’ambiance familiale de notre club. Tout le monde y trouve sa place. Petits et grands, débutants et expérimentés. Rapides et moins rapides. Que ce soit uniquement pour le plaisir ou pour la performance, et tout ce qui se trouve entre les deux, Capitale Triathlon est un club rassemblant des gens qui deviennent tous amis, sans exception.
    5. Vous partagerez de beaux moments entrevous. Ex.: Vous avez couru plus longtemps ou plus rapidement? Vous avez complété votre première course ou fait un record personnel? Vous pourrez vivre ces moments avec d’autres passionnés.
    6. Vous partagerez aussi les mauvais. Ex.: Vous n’avez pas terminé une course? Vous n’arrivez pas à compléter certaines séances? Vous pourrez partager ces moments avec d’autres passionnés qui vous aideront à passer au travers et à en ressortir plus fort.
    7. Les rencontres inoubliables. Vous rencontrerez des gens extraordinaires, au parcours inspirant. Notre club est rempli de gens ayant surmonté des défis impressionnants qui ont complètement transformé leur vie. (Et pour les célibataires, oubliez Tinder et venez faire de vraies rencontres! On ne sait jamais…).
    8. Support lors des courses. Vous ne serez plus jamais seul lors de vos participations aux événements. Nous sommes assez nombreux pour que des athlètes et des entraîneurs soient présents régulièrement. Et si jamais il n’y en a pas, annoncez aux autres que vous êtes inscrit et il y aura certainement quelques ‘’crinqués’’ qui s’inscriront et vous accompagneront. On est (trop) souvent facile à convaincre!
    9. Inscription à l’avance aux courses de la série IRONMAN. Nous faisons partie du programme ‘’Triclub’’ de la série IRONMAN, alors si vous avez les fonds suffisants, vous pouvez vous inscrire aux courses avant l’ouverture publique officielle. Certaines courses sont si populaires qu’il est parfois plus difficile de s’inscrire que de compléter l’événement…

    Alors, qu’attendez-vous? On se voit au prochain entrainement?

    Andréanne Germain
    Dave Vigneault
    Stéphane Jolin
    Ambassadeurs Capitale Triathlon

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    La progression… Pas toujours évident!

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]

    L’automne est bien installé et représente une saison de transition, de repos ou de changement pour la majorité des coureurs. C’est souvent un bon moment pour prendre quelques semaines de repos après une saison d’été bien chargée, ou de profiter des feuilles et des couleurs pour essayer la course en sentier. Par contre, il faut être prudent lorsqu’on intègre des changements dans notre routine de coureur.

    La course en sentiers

    La course en sentier apporte beaucoup de bénéfice, du fait qu’elle est moins rythmique et ‘straightforward’ que la course sur tapis ou sur route. Elle permet de développer la proprioception, la stabilité et les muscles latéraux du corps. Par contre, elle apporte une surcharge du travail excentrique des quadriceps lors des descentes, et une plus grande sollicitation des muscles stabilisateurs au niveau de la cheville. Il faut donc être progressif lorsqu’on décide de faire des sorties en sentier, diminuer légèrement nos distances et faire des petits pas lors des descentes de côtes, qui sont la partie la plus stressante au niveau musculaire des courses en trail.

    Prudence cet hiver!

    Par le fait même, lorsque l’hiver apportera son lot de neige, de glace et de gadoue, la prudence et la progression est de mise! La neige offre une surface avec beaucoup moins d’adhérence, ce qui amène un plus grand travail des muscles de la chaîne postérieure, principalement au niveau des mollets. Il faut donc être conscient qu’on ne peut pas avoir les mêmes exigences côté vitesse de course et distances lorsqu’on travail contre le vent, le froid et une surface glissante qui ne permet pas la même poussée que l’asphalte. Je considère que la course l’hiver devrait être perçue comme une façon de se garder un ‘fond’ de course, une façon de profiter de l’hiver et de travailler d’autres qualités en attendant le retour du beau temps.

    Être progressif

    Pour ceux qui décident de se rabattre sur le tapis roulant, sachez que c’est au printemps que vous devrez penser à adaptation et progression. Le tapis peut être un bon outil de remplacement, mais il faut être conscient courir dehors, avec le vent, les faux plats et le fait que ce soient les muscles qui doivent pousser pour nous propulser est un peu plus demandant, donc il faut être prudent au printemps lors des premières sorties dehors.

    C’est tentant quand on revoit le soleil et le beau temps de se laisser emporter et courir juste ‘quelques kilomètres de plus’ mais ces quelques petits kilomètres peuvent avoir un prix… le prix d’un rendez-vous en physiothérapie!

    Amusez-vous, faites des folies mais pensez progression et adaptation!

    Sylvie Martin , Physiothérapeute PCN La Capitale

    Pour consulter la biographie ou contacter Sylvie Martin cliquer ICI!

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    Capitale Triathlon ajoute un volet XTERRA et SwimRun!

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    Vous avez entendu parler de XTERRA ? De Swimrun ? Si oui lisez ces quelques lignes pour en savoir plus et connaître comment Capitale Triathlon vous aidera dans votre développement et l’atteinte de vos objectifs. Et si vous n’en avez jamais entendu parler, encore plus de bonnes raisons de continuer à lire 😉

    Qu’est-ce que le XTERRA ?

    Premièrement, il faut savoir que XTERRA est une marque déposée (comme Ironman). Une série mondiale mène à un championnat du monde sur l’ile de Maui, Hawaii à chaque année. En fait, le XTERRA est une version du triathlon (connue aussi sous le nom Cross-Triathlon) qui rallie natation, vélo de montagne et course en sentier. Triathlètes aguerris : attention ! Dénivelé au menu 🙂 Le cross Triathlon a été introduit pour la première fois sur l’ile de Maui en 1996 sous le nom de Aquaterra (mer et terre). Ensuite devenu XTERRA (et sponsorisé par Nissan qui a commercialisé un modèle de véhicule inspiré du triathlon….), le circuit mondial des XTERRA bat son plein depuis ce temps. Et vous savez quoi ? Le Québec est l’hôte, à chaque année depuis 2014, d’une épreuve du circuit XTERRA qui permet une qualification à son prestigieux championnat du monde. Particularités de la discipline du cross- triathlon (ou XTERRA ou X-triathlon) ? Épreuve ou se mesurent triathlètes (experts dans les trois sports et dans les transitions), « mountainbikers », et coureurs de trail ! Lesquels de ces athlètes sont les plus aptes à être les plus rapides ? Autre aspect du XTERRA : le plaisir et le dépassement de soi (et vaincre la peur de terminer la face pleine de bouette ;-)). Un esprit de famille et une vibe incroyable sont aussi au rendez-vous !

     

    Le Swimrun maintenant ?

    Le swimrun a connu ses débuts en 2002 où des amis se sont lancés un défi (de manière très inusitée, après plusieurs bières ;-)) et est une discipline qui consiste à courir et nager (de manière répétée) dans la nature et en rejoignant des plans d’eau qu’il faut traverser à la nage. La principale particularité du Swimrun : on peut utiliser le matériel qu’on veut, mais on doit le conserver avec nous tout le long de la course (vous imaginez ce que vous voulez.. palmes, paddles, souliers de course….), ce qui signifie qu’il n’y a aucune zone de transition… On termine avec le matériel qu’on a sur la ligne de départ ! Le swimrun se déroule soit individuellement ou en binôme (en équipe de deux). Fait intéressant ? Oui vous pourrez participer à un Swimrun à Québec à l’été 2018, le lendemain du XTERRA Québec !

    Et Capitale Triathlon dans tout ça ?

    Votre club vous offre en primeur cette année un volet XTERRA ainsi qu’un volet Swimrun. Que vous souhaitiez relever le défi de terminer une de ces épreuves, que vous souhaitiez remporter une de ces courses, que vous souhaitiez vous entrainer dans la nature (vélo de montagne, course en sentier, nage en eau libre) ou parfaire vos connaissance et aptitudes dans une ou plusieurs des disciplines du XTERRA ou du Swimrun, vos entraineurs des volets XTERRA et Swimrun sont là pour vous ! Au menu :

    • Course en sentier (automne 2017)
    • Course sur neige (hiver 2018)
    • Deux sorties organisées en Fatbike (hiver 2018)
    • Entrainements de course en sentiers et de vélo de montagne à compter de mai 2018
    • Pratiques de course (natation, vélo de montagne, course en sentier) sur le circuit du XTERRA au Lac Delage
    • Pratiques de Swimrun (natation, course en sentier avec équipement) sur le circuit du Swimrun au Lac Delage

    Besoin de plus d’information ?

    Entraineur responsable du volet XTERRA et Swimrun : xterra@capitaletriathlon.ca
    Informations sur web : https://capitaletriathlon.com/xterra/

    Christian St-Pierre , Entraîneur Capitale Triathlon

     

     

     

     [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    Longue ou courte distance, le meilleur pour vous?

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Je cherchais un titre accrocheur pour ce petit blog, maintenant que j’ai votre attention, il s’agit bien sûr d’un article qui parle de triathlon. Plus particulièrement, devrais-je choisir des compétitions de longues haleines ou plutôt de petites distances et mettre l’emphase sur la rapidité. Avant d’en arriver à une décision il y a plusieurs points à soupeser, en voici quelques uns.

    Bien se connaître

    Qu’est-ce qui vous as attiré vers ce sport au tout début? Il est vrai que vos objectifs peuvent changer en cours de route, mais est-ce que ce changement vient vraiment de vous, ou vous laissez vous influencer par les objectifs de gens vous entourant ou encore des médias sociaux?

    Premièrement, à quoi ressemble le temps que je peux réellement consacrer à l’entrainement? On ne se contera pas de mensonge ici, pour faire de la longue distance le secret c’est le volume, beaucoup de volume, ce qui implique beaucoup d’heure à consacrer à l’entrainement. Il est bien possible de concilier famille, travail et l’entraînement si c’est vraiment ce que vous voulez faire. Lorsque j’ai questionnée l’heure très matinal d’un training, on m’a répondu « nous les Ironman on se lève tôt » c’est une réalité que je n’avais pas encore connue à cette époque!

     

    Deuxièmement, quel est votre budget? En effet certain diront que c’est le même équipement peut importe la distance, mais je vous conseil quand même certains « upgrade » pour rendre l’expérience un peu plus agréable [Sujet de ma future chronique]. Pour donner un court exemple, l’inscription à elle seule pour un demi ironman coûte aux alentours de 300$ et pour un full près de 900$. Il est bien possible de faire de la longue en gardant un budget réaliste, mais garder tout de même cela en tête

     

    Troisièmement, quel genre d’effort votre corps peut supporter et quel est votre condition physique? Est-ce que vous préférez les petites vites ou vous trouvez que ça ne dure jamais assez longtemps! Comment vous sentez vous après de longs entraînements, est-ce que généralement vous récupérez bien? Encore là, je sais que peu importe la distance parcourue tout dépend de l’intensité que l’on y met, car l’un comme l’autre, ça peut être très taxant physiquement, la différence se verra dans le temps de récupération.

     

    Le point de départ

    Ceci est loin d’être une liste exhaustive, mais c’est selon moi la base du questionnement. Ceci étant dit, voici comment mon raisonnement c’est fait, lors d’un weekend de golf au Mont-Tremblant en 2013 qui par pur hasard était lors du Ironman. J’ai vu des gens exécuter le parcours avec une détermination contagieuse, j’ai aussi remarqué qu’il y avait toutes sortes de personnes sur le parcours, pas seulement la machine que l’on peut voir en page couverture d’un magazine. De là l’idée s’est mise a germer dans ma tête, est-ce le défi que je cherchais pour recommencer à m’entraîner plus sérieusement? Car pour être franc, à cette époque, le golf et la musculation étaient pas mal toute l’action que mon corps subissait, oui j’avais une bonne base en course à pied, mais coté vélo et nage hum….

    La deuxième étape décisive pour moi a été de commencer à faire du triathlon en 2014. Ça tombait bien, je travaillais avec un ancien triathlète qui a bien voulu m’aider à prendre la bonne direction côté entrainement et équipement. En partant je savais que je voulais faire un Ironman, c’était mon objectif ultime et ce, même avant d’avoir souffert lors de mon premier triathlon sprint! Je m’étais fais un plan sur 4 ans, c’est simple, la première année je fais des sprints, l’année suivante olympique et ainsi de suite jusqu’au Ironman la quatrième année. Bon, je n’ai pas suivi mon plan à la lettre, car finalement j’ai réalisé mon objectif ultime lors de ma troisième année. À ma défense, j’avais fait beaucoup de volume lors de l’hiver qui a précédé ma troisième saison.

    En conclusion, peu importe vos objectifs et aspirations, vous avez la chance de faire parti d’un club qui a une richesse inestimable en expériences! Alors à vous d’en profiter en questionnant les autres athlètes et entraîneurs. C’est en écoutant autant les bonnes que les mauvaises expériences, qu’on en apprend davantage. PS: Dave se fera probablement un plaisir de vous raconter mes pires

    Sur ce, je vous souhaite une excellente saison à la hauteur de vos attentes!!

    Jocelyn Paré

    Athlète élite et entraîneur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

    LA SCIENCE DU HTFU…

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]En triathlon, le cyclisme est la partie amusante entre la partie qui fait peur (natation) et la partie qui fait mal (course à pied). Comme quand vous étiez jeune, en vélo, on est libre et on a l’air cool! Sauf qu’en fait, nous n’avons pas vraiment l’air cool avec nos casques aéro et suit en lycra… Mais il nous reste ce sentiment de liberté et de vitesse.

    Je ne vous le cacherai pas, j’adore le cyclisme. Mais tout n’est pas rose. C’est selon moi le sport le plus difficile en entrainement. Les séances sont parfois très longues, les routes sont cahoteuses et étrangement avec plus de dénivelé positif que négatif (même si c’est géographiquement impossible), il existe des variations de la force gravitationnelle car elle est plus forte en montant qu’en descendant (même si c’est physiquement impossible), sans oublier le vent de face dans les 2 directions (même si c’est météorologiquement impossible)… Mais le cyclisme, c’est surtout difficile mentalement. C’est dans la tête, comme dirait le coach. Et il a raison! Une séance d’entrainement par intervalles ressemble souvent à ça : avoir l’impression que la capacité de vos poumons est insuffisante et que votre cœur tente de sortir de sa cage thoracique, vos jambes brûlent, l’acide lactique semble remplacer tranquillement tous les fluides de votre corps, votre tête n’est plus capable de penser (ce qui est une bonne chose car elle vous dirait d’arrêter!). Si je suis dans cet état, je sais que je suis en train de faire une belle ride.

    Voici mes recommandations afin de vous améliorer en vélo :

    • HTFU : Voici la base du cyclisme. En entrainement, lorsque c’est difficile, que vous pensez à ralentir, ou pire, à arrêter : Harden The Fuck Up! En vélo, le plus rapide est souvent celui qui est capable de souffrir le plus. Dites-vous que la douleur ne durera qu’un moment (mais je ne vous dit pas quelle est la longueur de ce moment)…
    • Ce ne sera jamais plus facile. Vous allez simplement aller plus vite! Vous trouvez ça difficile de monter la côte près de chez vous et pensez qu’à la fin de la saison, vous la monterez facilement? Erreur, elle sera toujours aussi difficile à monter, mais vous la monterez plus rapidement. Alors, rappelez-vous : HTFU!
    • Rouler plus souvent. Beaucoup de zone 1-2 (longue sortie, récupération) et intervalles zone 4-5 (HTFU)!
    • Essayer d’avoir un bon sens de l’humour afin de rire de la douleur lorsque ça devient difficile. Et aussi pour rire de vous-même lorsque vous portez votre casque aéro…

    Lors d’un triahtlon, le HTFU s’applique plus ou moins à la portion vélo car il faut habituellement courir lorsqu’on descend de notre monture. Le vélo devient donc stratégique. Si vous attaquez le parcours de vélo :

    • Trop rapide : Vous exploserez à la course à pied, et s’en suivra une longue marche de la mort vers la ligne d’arrivée. En de rares occasions, vous pouvez survivre à une telle stratégie agressive sans que votre course à pied ne souffre trop, mais je ne vous recommande pas de baser votre stratégie de course sur ‘’l’espoir’’.
    • Trop lentement : Pas d’inquiétude, je crois qu’aucun athlète a déjà commencé la course à pied en se disant : Je me sens trop bien, c’est vraiment facile courir vite ‘’off the bike’’! Alors ce scénario n’arrivera pas.
    • En respectant vos capacités : Félicitation! Vous avez réussi à faire ce que pratiquement personne n’arrive à faire. Alors maintenant, profitez de la course à pied pour dépasser tous ceux qui ont ‘’overbiké’’. Vous vous sentirez comme un athlète de calibre olympique et aurez une expérience de course mémorable.

    Ah, et une dernière chose, rasez-vous les jambes…

    Dave Vigneault

    Athlète et ambassadeur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »971,972,970″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][/vc_row]

    Race Report Capitale Triathlon

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Voici une super résumé de course de l’ami et ambassadeur Capitale Triathlon Nicolas Beaulieu!  Bonne lecture!

    Triathlon #4 : Triathlon avec finale désastreuse ! Samedi Gabrielle Néron et moi prenions le départ du Triathlon Drummondville cette fois-ci sur la distance Olympique 1500m / 40 km / 10 km. La distance me fait un peu peur, mais j’arrive sur place relax, petite semaine au travail avec un congrès de trois jours à Québec et les grands-parents qui gardent notre petite fille pour que l’on puisse aller dormir tranquilos à l’hôtel à Drummondville la veille.

    Section liquide : J’étais assez confiant pour cette portion, car j’ai fait un test à la piscine mardi soir qui a résulté en 20 min 05 pour 1500 m pull/Paddle. Mais là ça a VRAIMENT bien été à la natation, j’étais devant du début à la fin et le résultat c’est mon temps le plus rapide à vie sur un olympique 20 min 22.

    Transition #1, tout est sous contrôle

    Section bicyclette : Je suis essoufflé de la natation sur les premiers kilomètres, mais je prends un bon rythme qui s’avère être un excellent rythme puisque ce sera mon vélo le plus rapide en olympique 1h12. Passons aux choses sérieuses c’est-à-dire ce qui se passe dans ma tête ! Sur le premier 20 km je crois bien être 2ème ou 3ème mais je constate à chaque virage le peloton de Monsieurs qui s’en vient me rattraper progressivement. Je me dis que si je peux tenir bon jusqu’au kilomètre 30, ils ne pourront pas se sauver bien loin pendant les 10 km qu’il va rester et avec un peu de chance (parce que tout le monde sait que c’est une question de chance le triathlon) je pourrais les rattraper à la course parce que j’avais de grandes ambitions pour la course à pied. Finalement, à partir de 25 km je commence à me faire dépasser je dirais par 5-6 personnes, et ils vont VRAIMENT plus vite que moi. De plus, à partir de 30 km je sens que mon réservoir d’essence commence à baisser, mais je ne m’en soucie pas trop, en me disant que c’est normal, c’est quand même une épreuve qui dure plus de deux heures, la fatigue fait donc partie des éléments à gérer.

    Transition #2 : Je n’ai pas assez bougé mes orteils pendant le 40km, mes pieds sont complètement engourdis et j’ai l’impression de courir sur des moignons, qu’importe, je semble avoir un talent naturel à courir sur des moignons, car je ne tombe pas par terre en courant à côté de mon vélo jusqu’à la zone de transition. Cet engourdissement me donne même le luxe de ne pas me soucier des petits cailloux qui traînent par terre parce que de toute façon je ne sens rien.

    Section finale et brutale : Je débute la course à pied, retrouve rapidement des sensations sous mes pieds et je prends un rythme que je crois bon à ce moment, il y a 4 allers-retours à faire pour le 10 km. Premier aller, tout va bien je rattrape progressivement les Monsieurs qui m’ont dépassé à vélo tout à l’heure. Il fait chaud pas mal, mais ce n’est pas grave j’ai bien bu en vélo et je me verse un verre d’eau sur la tête (en plus d’en boire un) à chaque station d’hydratation de manière préventive, car il doit ben faire 30/35 et les nuages ont déserté la place. Deuxième aller-retour ça commence à se gâter, je sens que mon rythme ralenti et je suis incapable de me « relancer », mais je me dis que tout le monde est en train de suffoquer de chaleur et que si je garde un rythme raisonnable je pourrai rattraper ceux qui tomberont au combat. Troisième tour sur quatre, là ça ne va vraiment plus, je me pose la question à savoir comment je vais réussir à finir ce triathlon-là, j’ai l’impression d’être à la fin d’un marathon, je n’ai plus d’amplitude, disons que ça ressemble à du jogging. Quatrième et INTERMINABLE tour, je trotte, en fait je m’interdis d’arrêter ou de marcher, mais c’est strictement psychologique, car je n’ai plus de posture et même si je fais semblant de courir je vais clairement plus lentement que quelqu’un à la marche et malgré cette vitesse fulgurante on dirait que je ralentis à chaque 100m. Un ambulancier à vélo vient s’enquérir de mon état et je pars à rire en lui disant « j’ai vraiment l’air à ce point magané ? » Ambulancier : « pas mal oui ! » Dernier kilomètre, je « cours » en regardant par terre et j’ai vraiment l’impression de mener un combat pour me rendre à la ligne d’arrivée. Gabrielle qui me croise dans cet état glorieux me dira plus tard qu’elle s’est demandée ce qu’elle ferait si elle me rattrapait et que j’étais écrasé par terre (parce qu’elle était en train de vivre une course parfaite !) alors je devais vraiment avoir bonne mine pour qu’elle s’attende à me retrouver au sol. Les bénévoles le long du tapis menant à la ligne d’arrivée me demandent si ça va et je leur réponds que tout est sous contrôle que je suis concentré à faire mon sprint final (à 3 km/hr). J’ai fini ![/vc_column_text][vc_single_image image= »665″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]J’aurais aimé que ça se passe autrement parce que c’était parti pour être toute qu’une course, mais j’ai bien apprécié l’opportunité de me battre contre moi-même et je suis assez fier d’avoir tenu bon malgré cette déchéance totale et complète en fin de parcours. Est-ce que c’est le fait de ne pas avoir mangé pendant le triathlon, la chaleur, le manque de volume pour une telle distance ou le vélo qui m’a tiré trop de jus, toutes ces réponses, aucune de ces réponses, je ne le saurai jamais et ce n’est pas grave. C’est aussi pour ça qu’on s’inscrit à des triathlons, pour voir elle est où la limite.[/vc_column_text][vc_single_image image= »663″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]Étrangement, malgré cet impressionnante finale, il y avait tellement peu de participants que j’ai une troisième place dans mon groupe d’âge (sur 4 ? )
    Vous allez avoir une pause de mes résumés de compétition, car on prend trois grosses semaines de pause avant le prochain, mais comme j’ai de nombreux compatriotes de Capitale Triathlon qui vont s’amuser sur le parcours du Demi-Ironman du Mont-Tremblant dont plusieurs pour une première fois, j’espère qu’on pourra vous lire !

    Nicolas – Ambassadeur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

    Bonjour les vacances !

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Quand vous étiez plus jeune, il y avait les camps de vacances. Vous y avez rencontré de nouveaux amis, avez appris de nouvelles choses et explorer de nouveaux territoires. Mais surtout, vous avez eu du plaisir et en retenez des souvenirs pour le restant de vos jours.

    En tant qu’adulte, un camp d’entrainement est exactement la même chose. C’est une semaine de vacance où vous passerez votre temps à forger des souvenirs mémorables en explorant de nouveaux territoires, en apprenant à être meilleur dans notre sport et en côtoyant d’autres gens qui recherchent la même chose que vous: passer du bon temps!

    Des craintes

    Comme tout le monde, vous aurez des craintes. Vous croyez ne pas être assez en forme ou assez rapide? Pas d’inquiétude, le groupe sera un mélange de force et niveau différent et personne n’est laissé seul. Le but n’est pas de terminer chaque entrainement complètement épuisé, alors on nage, roule et cours ensemble. Vous ne connaissez pas les autres personnes qui seront présentent? Les adeptes de sport d’endurance sont un groupe très inclusif alors dès la première journée, nous nous connaîtrons tous. Vous ne voulez pas ‘’gaspiller’’ une de vos rares semaine de vacance? Que recherchez-vous en vacances? Visiter un nouvel endroit. Prendre du repos et décrocher de votre vie professionnelle. Vous changez les idées. Manger de bons repas. C’est exactement ce qu’on fait lors d’un camp d’entrainement.[/vc_column_text][vc_single_image image= »771″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]

    Le Camp lui…

    À l’arrivée, on s’installe dans l’établissement (villa) et on assemble les vélos (ou on regarde les autres assembler notre vélo…). Du même coup, on fait la rencontre de tous ceux avec qui nous passerons la semaine. À chaque jour, il y a des sorties de vélo planifiées, à différents endroits, ce qui nous permet d’explorer les environs. Le groupe est séparé en quelques petits groupes afin de s’adapter à la vitesse de tous. Personne ne sera laissé seul. Il y a certaines courses à pied de planifiées pendant la semaine, mais pour les plus motivés, il est toujours possible de se lever plus tôt et d’aller courir avant le déjeuner ou en après-midi, suite à l’entrainement de vélo. Il y a des entrainements de natation planifiée à chaque jour, parce qu’apparemment, il y a des gens qui aiment tellement nager qu’ils veulent même y aller pendant leurs vacances… Il y a des temps libres, à chaque jour. Vous pourrez relaxer près de la piscine ou aller explorer les environs. Par exemple, vous pouvez organiser une sortie de randonnée pédestre dans un parc national, ou bien une randonnée de vélo dans un autre endroit. Peu importe ce que vous recherchez, vous risquez de trouver des gens pour vous accompagner. Il s’agit d’en parler et d’organiser entre vous ces escapades. À chaque jour, il y a un souper commun, avec du vino, évidemment.[/vc_column_text][vc_single_image image= »772″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]

    La belle vie!

    Mon expérience personnelle va comme suit : j’ai roulé à vélo et couru dans des paysages majestueux, sauté par-dessus un serpent à sonnette, souffert dans les montées interminables, passé dangereusement près de l’hypothermie, mangé de bons repas, bronzé avec de belles démarcations de cycliste, ris à en cracher ma gorgé à plus d’une reprise, bref j’ai partagé des moments inoubliables avec des gens extraordinaires! Qu’attendez-vous?

    Dave Vigneault

    Athlète et ambassadeur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

    Gestion de la noyade

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_row_inner row_type= »row » type= »full_width » text_align= »left » css_animation= » »][vc_column_inner width= »1/3″][vc_single_image image= »673″ img_size= »full » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »2/3″][vc_column_text]Entre deux saisons de compétition, je suis de près l’actualité sportive en espérant un changement de règlement: À partir de maintenant, la première épreuve de tout triathlon sera du kayak ou une ronde de fléchette ou écrire une dictée,… peu importe! Pendant que je continue d’attendre cette évolution sportive, je dois accepter l’inévitable: Il faut nager.

    Je crois avoir compris pourquoi la natation est la première discipline: Pour qu’on aie le temps d’oublier à quel point on déteste nager pendant le reste de la course. Je crois d’ailleurs que c’est pour cette raison que tout le monde semble heureux à la ligne d’arrivée, ils ont oublié à quel point ils étaient misérables dans l’eau![/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_single_image image= »674″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]

    Un objectif!

    J’essai de me convaincre qu’il y a peut-être quelques points positifs à la natation. C’est toujours intéressant de se lancer des défis et surmonter votre peur de nager en eau libre (lac, rivière, océan) est un gros défi! Aussi, pour ceux qui ont un côté compétitif, plusieurs excellents cyclistes et coureurs ne s’intéressent pas vraiment au triathlon parce qu’ils ne savent pas vraiment nager et craigne cette discipline, malgré le fait qu’en compétition, le temps passé à nager est beaucoup plus court que les autres disciplines. En plus, à la ligne de départ, c’est moins intimidant car nous avons tous l’air pareil  en wetsuit avec notre casque de bain et nos lunettes, que vous soyez un vétéran ou une recrue.

    Mes objectifs pour la portion natation sont simples:

    • Ne pas mourir.
    • Ne pas sortir de l’eau en m’échouant tel un survivant de naufrage.
    • Que mon temps soit mesurable en minutes et non en jours calendrier.

    [/vc_column_text][vc_single_image image= »675″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]

    La technique!

    Pour y arriver, il faut bien sûr s’entraîner. En hiver, les entraînements en piscine sont simples, rapide et gratuit (majoritairement). En été, on peut également nager en eau libre. Je ne suis absolument pas en mesure de vous aider à améliorer votre natation, mais je vais vous donner ces quelques conseils:

    • Aller nager. Le plus souvent possible. Pour mieux nager, nager plus!
    • Demander à un coach de vous observer et de corriger votre technique. La natation est un sport très technique. Beaucoup plus que le cyclisme et la course.
    • Aller nager en eau libre avant vos compétition (attention aux requins, monstres et autres hallucinations). Nager en wetsuit et sans voir une ligne au fond de l’eau est vraiment différent de la piscine. Vous aurez l’impression d’être étouffer par votre wetsuit et désorienté. Ajouter à cela l’effet machine à laver où tout le monde nage un par dessus l’autre et vous éviterez beaucoup de stress inutile le jour de votre compétition.

    Soyez assidu et vous verrez une nette amélioration comme j’ai vécu l’an dernier. Grâce à beaucoup de travail et de discipline, j’ai progressé d’un nageur pathétique à un nageur médiocre. Les petites victoires de la vie!

    – Dave Vigneault Athlète et ambassadeur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

    Les secrets du triathlète que personne (ou presque) ne vous dira

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_row_inner row_type= »row » type= »full_width » text_align= »left » css_animation= » »][vc_column_inner width= »1/3″][vc_single_image image= »678″ img_size= »medium » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »2/3″][vc_column_text]Pour mon premier blog  j’ai décidé d’y aller avec du contenu inédit à forte valeur ajoutée (c’est tendance). Puisque je participe à des événements de triathlon depuis plus de 10 ans voici quelques petits et gros secrets que vous pourrez certainement mettre en application cette saison.

    1- Aux points d’eau à la course à pied, plie ton verre dans ta main ça va t’éviter d’en jeter 75 % dans ta face et au sol (tu me remercieras plus tard de t’avoir évité de dessécher sur le dernier kilomètre)

    2-  Même si tu dois sacrifier trois sorties de course d’une heure, prends trois heures de ton temps et apprends à sauter sur ton vélo avec les souliers DÉJÀ clippés dessus ! Tu seras en train de pédaler pendant que la personne qui est sortie en même temps que toi de l’eau sera en train de se demander si elle devrait mettre ses souliers dans la zone de transition ou courir jusqu’à la zone d’embarquement avec ses souliers dans les mains.

    2.1 – Pédale (les pieds nus sur tes souliers de bike) au moins jusqu’à 30 km/hr (minimum !) avant de te laisser rouler le temps de mettre ton premier pied DANS tes souliers de vélo, ensuite re-pédale jusqu’à 30 km/hr , laisse-toi aller et rentre ton deuxième pied,  re-pédale jusqu’à 30 km/hr … etc !  Deux kilomètres plus tard, tu vas avoir tes pieds dans tes souliers comme tout le monde, mais tu vas déjà être rendu beaucoup plus loin et tu vas avoir un beau momentum ![/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_column_text]3- Au départ dans l’eau, place-toi à l’extérieur ça brasse moins, place-toi plus devant que derrière, on se sous-estime toujours et c’est plus frustrant d’être pris derrière quelqu’un 10 % moins vite que soit (et c’est vraiment difficile à dépasser) que de se faire passer dessus

    4- À chaque fois que tu approches de la zone de transition (soit dans les derniers mètres de nage soit dans le dernier kilomètre de vélo) répètes sans cesse ce que tu vas faire dans la zone de transition (Ex. « je dépose mon vélo, dépose mon casque, rentre dans mes souliers, attrape ma banane, mon dossard et ma casquette et pars à courir) La zone de transition tu as le temps en masse d’en profiter avant et après ta course, tandis que pendant, y’a aucune raison de s’y attarder.

    5- Les numéros sur les bras et les jambes, des fois ça ne part pas (en fait ça ne part jamais), avec du décapant à peinture ça part !

    6- Le dossard en vélo c’est TRÈS rarement obligatoire, informes-toi, car c’est gossant un dossard qui flotte au vent, attend d’être rendu à la course à pied pour qu’il commence à te déranger !

    7- Ta puce électronique sur ta cheville, mets ça sous ton wet suit (t’auras pas la tête à ça, tu vas oublier qu’elle est là (à moins d’être passé maître du truc 4), tout arracher en enlevant ton wet suit et t’auras pas de temps officiel

    8- Du BodyGlide, tu en mets épais et partout sur tes chevilles, tes poignets et ton cou, (tu me remercieras quand tu riras des triathlètes qui se roule par terre en tentant d’enlever leur wet suit dans la zone de transition)

    9- Souriez !!, c’est impossible pour le corps d’accepter un signal  de douleur ou de fatigue de la part du cerveau lorsqu’on sourit. Croyez-moi, je suis neurologue spécialiste en effet placebo !  (Bonus : les bénévoles vous sourirons et ça fait plaisir, sans eux, il n’y aurait pas d’événement)

    10- Écoutez les conseils des triathlètes d’expérience avec empathie, ils vous racontent leurs erreurs passées…

    Et vous, vos trucs, vos secrets, c’est quoi ?

    – Nicolas Beaulieu[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

    Plume d’athlète…

    [vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]À chaque mois, un ambassadeur Capitale Triathlon nous partage sa plume sur un sujet de son choix. Dave Vigneault, ambassadeur Capitale Triathlon, brise la glace et jase… triathlon!

    Bonne lecture!

    Why Tri…

    Un sport, c’est déjà assez difficile…

    Alors, pourquoi faire trois sports d’un seul coup? Pourquoi choisir le triathlon? Voici pourquoi vous devriez vous inscrire à un triathlon :

    Le défi :

    Je ne vous le cacherai pas, un triathlon est très difficile lorsqu’on le fait bien et ce, peu importe la distance. Un Ironman est très facile jusqu’à ce que ça commence à faire très mal. Un sprint, ça fait mal dès le départ. Le défi d’un triathlon, c’est : avoir le courage de regarder l’impensable distance qui sépare la plage de la bouée de demi-tour, avoir l’endurance placer tout son poids sur 2 cm carré de selle en vélo, être assez fou pour aller courir après tout ça… Ce défi nous permet de réaliser que nos limites sont beaucoup plus loin que nous croyons.

    L’entrainement :

    Ce qui est bien avec le triathlon, c’est qu’il y a plus d’un sport, donc pas de monotonie. Ce qui est difficile avec le triathlon, c’est qu’il y a plus d’un sport, donc il faut trouver du temps. Par contre, on découvre que nous perdons beaucoup trop de notre précieux temps devant les écrans de télé et d’ordinateur. Et aussi à quel point les levé de soleil sont majestueux… Il faut le voir comme un investissement pour soi-même : Si vous ne trouvez pas le temps de faire de l’activité physique aujourd’hui, vous devrez trouver le temps d’être malade demain.

    La course :

    Imaginez attraper une passe de Tom Brady pendant un match de la NFL. C’est ce que le triathlon vous permet de faire! Nous sommes sur le même parcours, en même temps, simplement un peu (beaucoup) plus lent. On peut même se comparer aux professionnels et réaliser que leur fréquence cardiaque pendant la course est la même que la nôtre lorsqu’on attache nos souliers. C’est comme comparer notre rapport d’impôt avec celui d’Exxon Mobil. Par contre, on réalise en les croisant sur le parcours, que nous sommes tous pareil. Ils ont autant de douleur que nous et terminer la course est aussi difficile pour eux que pour nous. Et si vous avez peur d’arriver dernier, vous serez les plus chanceux car on reste jusqu’à la fin pour vous encourager dans le dernier droit, alors vous aurez plus de fans que le vainqueur![/vc_column_text][vc_single_image image= »684″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]

    L’accomplissement :

    Terminer une course, c’est un accomplissement personnel que l’on peut partager avec ses proches.  Vous pouvez montrer à tous (par exemple, vos enfants) que tout est possible. On peut vaincre nos peurs (natation), la douleur (vélo) et nos doutes (suis-je vraiment capable de courir toute cette distance après avoir nagé et pédaler). Lorsque vous aurez des petits enfants, vous pourrez leur raconter que ‘’dans votre temps’’ vous avez compléter un triathlon qui consistait à vous sauver d’un requin à la nage (dans un lac!), pédaler avec un vent de face de plus de 100 Km/h (jamais de dos même si on faisait un aller-retour…) et courir un distance impensable dans une chaleur de 45C (et vous avez même pris le mauvais chemins et couru 3 fois la distance mais êtes arrivé 2e quand même…). Que de bon souvenir!

    La communauté :

    Le triathlon, c’est une communauté très accueillante qui ne juge personne, peu importe ses habiletés. Nous sommes là pour se supporter, se motiver, s’amuser! Tout le monde a une histoire différente à raconter à la fin d’une course et on échange nos expérience autour d’un repas en plein air, sur une table de massage ou simplement couché sur le sol à essayer de de reprendre ses esprits.[/vc_column_text][vc_single_image image= »685″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]

    Les récompenses :

    Crème glacée du chocolat favori? Oui, une grande pour moi svp!

    Les récompenses, version 2 :

    On s’amuse dehors, on pratique plusieurs sports, on rencontre des gens, on passe du bon temps avec des amis et comme par magie, on devient plus en forme, on mange mieux et on est en meilleur santé. Qu’avez-vous à perdre?

    Mais en fait, la seule et unique raison pour laquelle vous devez vous inscrire à un triathlon : FUN! C’est un sport tellement amusant. Rappelez-vous vos souvenirs d’enfance à jouer dans l’eau, que ce soit dans un lac ou dans une piscine. Souvenez-vous du sourire que vous aviez à rouler à vélo avec vos amis, ce sentiment de liberté. Rappelez-vous également ces moments à courir dans toutes les directions, en jouant à la tag, police-bandit, au soccer, pratiquement tous les jeux en fait. Le triathlon vous permet de faire tout ça en tant qu’adulte!

    Lancez-vous un défi et inscrivez-vous à un triathlon. Peu importe la distance, vous serez triathlète en franchissant la ligne d’arrivée.

    – Dave Vigneault, Ambassadeur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

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