par Francis | Déc 26, 2018
Il y a un an, je sortais de Forces canadiennes pour m’occuper de mon entreprise, Capitale Triathlon. J’étais loin de me douter du genre d’année qui m’attendait. Les défis sont nombreux et c’est positif. Voici les grandes lignes de 2018 mais surtout… mes souhaits pour 2019!
Les faits marquants de l’année :
- L’acquisition des Salons de la course à pied et du triathlon m’a permis d’évoluer comme entrepreneur-entraîneur.
- Parce qu’il faut savoir s’ouvrir et toujours apprendre, l’Institut national du sport contribue chaque semaine à rehausser mes connaissances de coaching.
Mes souhaits pour la prochaine année :
- Passer plus de temps avec mes athlètes. Être à l’entraînement et les voir évoluer, peu importe leur vitesse, me stimule énormément;
- Que l’édition 2019 du Triathlon Duchesnay soit un grand succès avec une première série Grand prix et Coupe Québec U15 et U13;
- Qu’à moyen terme, les Salons de la course à pieds et du triathlon deviennent la référence au Québec et marquent, de façon dynamique, le lancement de la saison de compétition;
- Que notre sport, le triathlon, continue de gagner en popularité et en accessibilité;
- Que tous les athlètes gardent cette belle folie qu’est le dépassement de soi par l’atteinte d’objectifs.
À toi, l’athlète :
Je te souhaite de te trouver un défi réaliste mais aussi motivant. Depuis trois ans, on parle beaucoup du processus et du bonheur dans l’entraînement. Cette année, il serait peut-être temps que ton défi ait le bonheur de te sortir de ta zone de confort… On jase, là!
Dans la vie, souhaiter, c’est du rêve. Pour bâtir tes ambitions et avoir des souvenirs, il ne faut pas que rêver, il faut accomplir.
Bonne année et… au travail!
Francis Bachand
par Francis | Déc 12, 2018
Cet hiver, Capitale Triathlon fait rimer entraînement avec plaisir!
La session hiver 2019 de Capitale Triathlon se déroule sur 18 semaines, du 7 janvier au 12 mai. Voici ce qui vous est proposé :
Le volet course aura lieu à l’extérieur, les samedis matin, au Collège Mérici. Quel meilleur terrain de jeu que les Plaines et les escaliers du Cap-Blanc?
Divisée en trois blocs de six semaines, la session est bâtie pour amener chaque athlète à progresser à son rythme. Les groupes seront formés pour respecter la vitesse de chacun.
Encore cette année, le club mise sur les entraînements parent-enfant. Nouveauté : les jeunes de 12 à 17 ans auront leur propre groupe, dirigé par coach Francis Bachand, et courront aussi à l’extérieur. Quant aux 7 à 11 ans, ils s’entraîneront bien au chaud à l’intérieur avec coach Alexandra Desbiens.
Le volet natation offre quant à lui neuf plages horaires dans quatre piscines différentes. De quoi plaire à tout le monde! Coach Sylvain Pineau, du Club aquatique Marlins de Québec, vous attend.
Et le spinning vous revient cet hiver! Les jeudis à 18h45, rendez-vous au Club Nautilus Lebourgneuf pour rouler et vous dépasser. Plaisir et garanti!
Pour commencer cette nouvelle année de belle façon, une petite surprise : les athlètes inscrits à la session de course d’automne 2018 et à celle de la session d’hiver recevront gratuitement le t-shirt Capitale Triathlon!
Nous désirons remercier nos partenaires pour la prochaine saison!
par Francis | Nov 25, 2018
Comment bien gérer mon alimentation les jours précédant une course?
Les jours qui précèdent une course sont souvent une source de questionnements par rapport à l’alimentation. La charge d’entraînement diminue progressivement de manière à optimiser la récupération, si bien que la dépense énergétique n’est plus la même que sur une base quotidienne. Par contre, il importe d’arriver avec des réserves énergétiques optimales le jour de la course. Comment s’y retrouver et comment savoir si certaines stratégies comme la surcharge en glycogène sont utiles pour vous? Voici quelques lignes directrices!
Tous d’abord, les habitudes alimentaires que vous adopterez dans les jours menant à votre compétition dépendront grandement du type d’épreuve que vous vous apprêtez à faire. Il faudra dans tous les cas porter une attention particulière à votre apport en glucides puisque ces derniers représentent votre principal carburant à l’effort. Toutefois, vos besoins varieront selon la durée de votre épreuve. En effet, vos muscles disposent normalement d’une réserve de glycogène susceptible de soutenir un effort de 90 minutes et moins. Une alimentation normale avec un apport en glucides adapté à votre niveau d’entraînement vous assure donc de disposer de cette source de carburant. Toutefois, dépassé 90 minutes d’effort, le corps s’épuise si aucun apport énergétique externe n’est fourni. Bien des athlètes ont déjà frappé ce fameux mur lors d’une épreuve de longue durée. Le corps n’ayant plus accès à suffisamment d’énergie est alors incapable de maintenir l’intensité d’effort qu’on lui demande. Toutefois, il est possible d’optimiser nos réserves énergétiques en maximisant la quantité de glycogène que notre corps emmagasine dans les jours précédant une compétition. Cela nous donne alors une petite longueur d’avance. Cette stratégie est mieux connue sous le nom de surcharge en glycogène.
Pour les épreuves d’une durée moyenne de 90 minutes et moins, c’est-à-dire les triathlons de type découverte et sprint, de même que les courses de demi-marathon et moins, il n’y a pas d’intérêt à utiliser une stratégie de surcharge en glycogène. Dans les jours menant à votre épreuve, conservez simplement vos habitudes alimentaires usuelles. Si la faim est un peu moins importante parce que l’entraînement est moins intensif, il est tout à fait adéquat de diminuer votre apport énergétique. Une considération particulière doit être portée à votre alimentation la veille de votre épreuve. À ce moment, il est important de vous assurer que votre corps dispose d’une bonne disponibilité en glucides pour le jour de votre épreuve. Veillez donc à augmenter votre consommation de glucides la veille de la course en choisissant des aliments contenant peu de fibres ou de matières grasses pour ne pas encombrer votre système digestif. Il est inutile d’aller chercher des quantités aussi imposantes que lors d’une surcharge en glycogène. Essayez simplement de combler la moitié de votre assiette avec une portion de féculent aux repas et ajoutez des fruits ou un féculent dans vos collations.
Pour les épreuves s’échelonnant sur une durée de plus de 90 minutes, une attention plus spéciale devra être portée à votre alimentation durant les deux à trois jours précédant votre course. Ainsi, les athlètes préparant des triathlons longues distances tels qu’un 70.3 ou un Ironman bénéficieront assurément d’une stratégie de surcharge en glycogène. Les athlètes qui s’apprêtent à prendre part à un triathlon olympique ou un marathon sont également susceptibles de bénéficier de cette stratégie. Pour ce faire, il faut planifier une augmentation substantielle de l’apport en glucides dans les deux à trois jours précédant la course. On parle ici d’une consommation de glucides qui atteint de 10 à 12 grammes de glucides par kilogramme de poids corporel par jour. Cela fait beaucoup de glucides à manger! Afin d’éviter les inconforts digestifs, optez pour des produits céréaliers sans grains entiers et intégrez au quotidien des sources de sucres concentrés tels que le sirop d’érable, les jus de fruits, les bonbons, les boissons sportives, le lait au chocolat ou les fruits séchés. Sachez aussi qu’une consommation d’eau optimale doit accompagner la surcharge en glycogène. En effet, chaque gramme de glycogène est emmagasiné dans vos muscles en compagnie de deux à trois grammes d’eau. Pour assurer une bonne surcharge, il faut donc boire un peu plus et ne pas s’inquiéter si les chiffres sur la balance grimpent légèrement.
Bien des athlètes ont de la difficulté à visualiser ce que représente un apport de 10 à 12 grammes de glucides par kilogramme, si bien que leur consommation de glucides est parfois insuffisante pour réaliser une bonne surcharge en glycogène. Dans le doute, n’hésitez pas à consulter une nutritionniste spécialisée en nutrition sportive pour avoir un plan adapté à vos besoins.
par Francis | Nov 21, 2018
Pour que chaque enfant ait sa chance
Chez Capitale Triathlon, on reconnaît la chance qu’on a de pouvoir pratiquer le sport qu’on aime, qui nous fait vibrer et nous fait sentir vivant. Un sport qui peut aussi, ne nous le cachons pas, coûter assez cher parfois! Mais surtout, on reconnaît que chacun n’a pas la même chance.
Au Québec, 1 élève sur 5 ne déjeune pas avant de se rendre à l’école, en raison d’un accès inadéquat à la nourriture. Les répercussions d’une mauvaise alimentation peuvent suivre ces jeunes toute leur vie puisqu’ils seront plus sujets aux maladies chroniques et aux problèmes de santé mentale.
Pour cette raison, votre club est très fier de redonner au suivant en contribuant au Club des petits déjeuners. Comment participons-nous? D’abord, pour chaque inscription au Triathlon Duchesnay, 2$ est versé à l’organisme. Ensuite, un matin par mois, trois entraîneurs Capitale Triathlon se rendent dans une école défavorisée de la région pour servir les déjeuners aux élèves.
Nous sommes convaincus que de tels programmes ont un impact réel pour ces enfants qui doivent affronter des défis supplémentaires pour réussir. Aidons ces jeunes à se préparer un meilleur avenir. Car leur avenir, c’est un peu aussi le nôtre.
par Francis | Nov 8, 2018
Oui, oui! Vous avez bien lu! Remarquant que l’engouement pour le triathlon hors route prend de plus en plus d’ampleur, Capitale Triathlon vous offre la possibilité de vivre le camp d’entraînement en Utah sur votre vélo de montagne, et en souliers à crampons!
Le camp Utah montagne, du 21 au 28 avril 2019, regroupera donc des cyclistes de montagne et des coureurs en sentiers. Inutile de préciser que le relief de Santa Clara se prête particulièrement bien à ces disciplines. Ce sera une excellente occasion de développer des habiletés techniques dans les trois sports et de profiter d’un entraînement cardio présaison.
Deux groupes, encadrés par des coachs d’expérience, seront formés selon la vitesse et la distance.
Une journée type se déroulera comme suit : entraînement en piscine le matin (optionnel pour les duathlètes), vélo de montagne en avant-midi et en début d’après-midi, puis course en sentiers en fin de journée (avant le repas du soir).
Ne ratez pas cette chance de venir vous amuser avec nous tout en vous entraînant dans un décor enchanteur!
par Francis | Nov 7, 2018
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«Une année Ironman n’est jamais ordinaire»
Par Véronique Proulx
Ambassadrice Élite Capitale Triathlon
C’est en septembre 2017 que j’ai pris la folle décision de m’inscrire à l’Ironman Wisconsin avec mon meilleur partenaire et des ami(e)s extraordinaires. Dès l’automne 2017, j’ai travaillé à bien récupérer et tenter de reprendre le plus d’énergie possible après une longue saison d’entraînement. En janvier 2018, le plan commence. Pour ceux qui me connaissent bien, le plan, je le suis à la lettre. Je veux mettre toutes les chances de mon côté pour relever ce défi de taille, le plus gros défi pour moi à ce jour.
Une année d’entraînement demande des sacrifices et une planification hors du commun. Travaillant à temps plein et étudiant au MBA en gestion d’entreprise à temps partiel, je me dois de trouver un équilibre de vie. Mon conjoint, s’entraînant également pour l’Ironman, m’aide aussi à atteindre cet équilibre. Pendant l’hiver, je mets l’accent sur la natation et le vélo. Chaque matin, je me lève très tôt pour faire un entraînement et parfois, je m’entraîne une deuxième fois après le travail et avant l’étude. Je crois pouvoir affirmer que ma force est la discipline. Je suis le plan et me maintiens en bonne santé.
Au printemps, j’ajoute du volume de course. Les jambes sont bonnes et je n’ai aucune blessure. La saison augure bien. Je débute avec le demi-marathon de Lévis où je réussis un PB. Ensuite, c’est le demi-ironman Eagleman où je réussis un autre PB. Ces deux performances me rendent super heureuse, je surpasse mes propres limites et je reste focus. Fin juillet, c’est au tour du Triathlon Duchesnay. C’est là que ça se gâche. La semaine précédant la course, je suis dans un sprint final d’études, car mon examen est le lendemain du triathlon. Je suis fatiguée et moins concentrée, j’ai même un peu peur de prendre le départ de la course. Je décide toutefois que cela me fera du bien et me changera les idées avant l’examen. Alors c’est un départ. Je fais la natation sans wetsuit sans aucune difficulté, j’embarque sur mon vélo le feu dans les yeux. Je réalise que je suis la deuxième femme. J’en profite donc pour maintenir ma cadence. Toutefois, imprudente, je prends un virage serré trop rapidement et la pédale intérieure au virage vers le bas. Mon pied touche le sol. À 36 km/h, je vole directement par-dessus mon vélo. Ça me prend quelques minutes pour comprendre ce qui s’est passé. Les bénévoles appellent l’équipe médicale et me disent que je dois m’arrêter. Là, je suis fâchée. Je n’ai qu’une idée en tête, j’étais la deuxième et je ne veux pas perdre cette position. Alors, cinq minutes plus tard, je repars. Je réussis à remonter jusqu’à la troisième position à la course à pied, mais me fais dépasser à 50 mètres de la ligne d’arrivée. Je finirai 4e.
Après avoir vu l’équipe médicale, la physiothérapeute, deux médecins et fait des radiographies, le verdict tombe : une grosse contusion au genou, un ligament partiellement déchiré et une bonne commotion cérébrale. Je passe plusieurs jours couchée à pleurer et penser que c’est terminé pour moi l’Ironman.
Cela me permet toutefois de réfléchir longuement à l’accident. Je réalise que, pour la première fois depuis que je fais du triathlon, je n’ai pas fait ma course pour les bonnes raisons. J’ai pensé à la position uniquement, sans penser à ma santé et les risques qu’entraîne le fait de courir après un choc à la tête. Je n’ai pas souri durant la course. Je n’ai pas salué les spectateurs. J’ai terminé fâchée de m’être fait dépasser. J’ai été très déçue de moi-même à ce moment. Ce n’est pas facile de l’admettre aujourd’hui, mais je n’aurais pas dû continuer. Je fais du triathlon pour m’amuser, mais à ce moment précis, je ne m’amusais pas. Cela m’a fait énormément réfléchir. Merci à mon conjoint qui m’a également remise sur le droit chemin en me disant que, si je n’avais plus de plaisir, on arrêtait maintenant.
Je ne suis pas une athlète professionnelle, j’ai toujours fait du sport pour me garder en santé, m’amuser et faire de belles rencontres. Je fais du triathlon pour garder un équilibre entre ma vie professionnelle et personnelle. Je crois aujourd’hui que personne n’est à l’abri de ce sentiment de vouloir gagner, mais je réalise que ce n’est pas moi et je ne veux plus ressentir ce sentiment malsain que j’ai eu lors de ce triathlon.
Donc une semaine après l’accident, je retourne travailler avec une canne et suis à la lettre les instructions de la physiothérapeute. Je fais un retour très progressif et surveille le moindre mal de tête afin de ne pas prendre de risque avec la commotion. Deux semaines plus tard, je retourne à vélo et commence la course en fractionné 5 x 1 minute… Les deux semaines qui suivent sont très mentales. Je sais ce que je suis capable de faire en entraînement, et je dois accepter d’être moins forte, moins rapide et moins endurante. Heureusement, le mental tient le coup. Je m’accroche à tout ce que je peux, du petit garçon traversant la rue devant moi, tout souriant malgré une prothèse au lieu d’une jambe. Je vois le neveu de mon conjoint devoir subir une amputation de la jambe à cause d’un cancer à l’âge de 23 ans seulement et se relever tel un vainqueur. Toutes ces personnes me donnent l’énergie nécessaire et la force mentale de me dire que, peu importe le temps, je peux faire ce que je fais. Je peux marcher de mieux en mieux chaque jour. Je peux faire du vélo et pédaler plusieurs kilomètres. Je m’accroche aux petites victoires au quotidien.
Je relève mes manches et retrouve ma discipline. Je me couche très tôt, car les journées de travail sont exigeantes et je ressens beaucoup de fatigue. Je mange bien, dors bien et respecte mon corps, ses limites et l’augmentation très graduelle des entraînements. Je fais mes exercices de physiothérapie rigoureusement. J’accepte que certaines journées, je régresse et prends les petites victoires avec un grand sourire.
Trois semaines avant l’Ironman, ma physiothérapeute me confirme que c’est officiel, je peux prendre le départ. La natation va bien, le vélo est moins rapide, mais va bien aussi et la course sera à prendre au fur et à mesure. Elle me parle beaucoup et j’accepte qu’il y ait une possibilité que je marche mon marathon. J’avais un objectif de temps en tête il y a un mois; maintenant, mon seul objectif est de franchir la ligne d’arrivée en santé et avec le sourire! Les journées se suivent, mais sont toutes différentes. Parfois, le fait de réussir un peu de fractionné à la course est digne de la plus grande victoire et me rend heureuse. D’autres fois, me rendre compte que je manque de force en montant une côte à vélo m’enrage et me déçois. Chaque fois, je tente de me conditionner à voir le positif. Je dois également faire attention à mes maux de tête, ce qui me limite à me pousser lors d’efforts physiques et à atteindre des pulsations cardiaques trop hautes.
Deux semaines avant le grand jour, on décide mon coach et moi de tenter un peu de volume à vélo question de tester le corps, la tête et surtout le mental. Je me répète, mais ce dernier aspect est probablement le plus important dans un aussi gros défi. Mes deux tests qui ont lieu serviront à peaufiner cela! Je dois être attentive à mon corps et conserver mes efforts pour le jour J. Je dois accepter que ce ne sera pas ma performance physique qui importera et je dois surtout être intelligente afin de ne pas me causer des dommages qui pourraient ralentir davantage mon retour. Je fais beaucoup d’introspection. J’en discute énormément avec mon conjoint, ma soeur, mon coach et les professionnels autour de moi.
À une semaine de l’événement, j’atteins un certain niveau de rétablissement qui est définitivement au-delà de nos espérances initiales. Une tante à moi, malheureusement décédée aujourd’hui, m’avait déjà dit : « Tu sais, le mental et le positif sont pour beaucoup dans la vie. » Alors qu’on lui donnait six mois à vivre à cause d’un cancer, elle a contredit tous les médecins en vivant pendant plus de trois ans. Je ne compare pas ma situation à la sienne, car la mienne est plutôt banale. Mais ce mental dont elle parle, je crois l’avoir trouvé, là aujourd’hui. À quelques jours du départ, oui, j’ai des doutes, oui, je ne sais absolument pas à quoi m’attendre. Est-ce que mon corps tiendra le coup? Devrai-je marcher mon marathon? Pire encore, devrai-je m’arrêter? Je pense à tout cela, mais maintenant, je suis zen. Je ne suis pas stressée. Je sais que peu importe comment la journée ira, j’aurai tout fait ce qui est en mon pouvoir pour être ici et vivre ce magnifique événement.
Alors voilà, 9 septembre 2018, il est 4h et le cadran sonne. Je me lève en étant étonnée d’avoir aussi bien dormi! Je mange ce qui est prévu pour ensuite me diriger à l’endroit où l’on dépose nos sacs «special needs». Je rejoins par le fait même Valérie, mon amie avec qui j’ai développé une magnifique relation au courant de la dernière année et qui m’a beaucoup soutenue. Nous déposons nos sacs et direction zone de transition pour faire les derniers préparatifs vélo. Une fois le tout fait, un saut au marquage et je retourne à l’hôtel afin de prendre mon wetsuit pour ensuite me diriger au départ de natation. À partir de là, tout va très vite! Ma soeur, son copain et ma nièce arrivent pour me voir! On pleure d’émotion! Pour ceux qui ne savent pas, ma soeur me suit toujours sur internet en commentant de manière très détaillée mes journées. Elle me donne toute la motivation qu’il faut! Aujourd’hui, elle est présente, elle a fait toute la route juste pour moi et j’en suis extrêmement choyée et reconnaissante! Je sais qu’avec elle ici avec moi, rien ne peut être triste. Ensuite, ma meilleure amie arrive également, on pleure encore un peu 😉 Haha! Contrairement à la majorité de mes courses, ma famille est ici aujourd’hui et je le répète, je suis plus qu’heureuse!
Mon coach me rappelle qu’il faut partir! Haha! Donc Val et moi sautons la clôture pour nous rendre au devant du fil dans le départ 1h00 à 1h10. Quelques minutes passent et voilà, on entre dans l’eau! Un dernier « bonne journée » et c’est parti. Je me retrouve dans le silence, le calme, car dans l’eau on n’entend pas la foule qui crie tout près. Je suis très confortable. Je prends mon rythme et me concentre sur tout ce dont mon coach Sylvain m’a appris cette année. Je prends le temps de faire mes tractions, de glisser et surtout d’y prendre plaisir, car oui, je suis bien dans l’eau. Le retour de la boucle est un peu plus difficile, des vagues empêchent de bien voir les bouées, donc je dois me repérer plus souvent. Ce n’est pas grave, j’ai vu pire et comme prévu, j’arrive à la toute fin en étant en forme et sans avoir trop forcé!
Je sors de l’eau le sourire aux lèvres et je pars vers la transition. La foule est complètement hallucinante! Dans la montée en cercle du stationnement à étages, des centaines de personnes sont regroupées et crient : Let’s go! Je croise ma soeur juste avant d’entrer dans le bâtiment pour me changer! J’enfile mon gilet de vélo, je prends mon casque et mes souliers et hop! je ressors. Petit arrêt pause pipi et je prends mon vélo pour partir pour ce 180 km. Je croise Val à la zone d’embarquement! Je lui crie des encouragements et c’est un départ pour la seconde partie. La première boucle est un peu difficile, j’ai peur un peu dans les virages. Le parcours n’est pas très rapide. Lorsque c’est relativement plat, nous avons un bon vent et lorsque ça descend, ça tourne beaucoup alors on doit freiner. Je prends mon temps et je teste mon genou pour bien l’échauffer. À la mi-parcours, je croise ma famille qui a pris la navette pour se rendre à Vérona, avec la poussette et tout! Je suis aux anges et ça me donne littéralement des ailes. J’entame mon deuxième tour avec beaucoup de motivation. Tout le long, je m’assure de bien manger, suivre le plan de ma nutritionniste et bien boire. La deuxième boucle passe plus vite que la première malgré le vent qui augmente. Les montées sont fantastiques, car des groupes de centaines de personnes se tiennent de part et d’autre et l’espace d’un moment, je me sens comme une star du Tour de France! Je souris à tout le monde et je prends beaucoup de plaisir! Plus que quelques kilomètres et me voilà arrivée à la transition! Je descends de mon vélo, cours changer de chandail, je prends casquette et dossard et je fais une deuxième pause pipi! Depuis le km 40 à vélo que je me retiens et j’ai l’impression que ça dure cinq minutes! Haha!
Enfin, la partie croustillante : la course à pied. En commençant, je croise ma soeur et Antoine. Ma soeur pleure de me voir, elle me dit que je suis belle et bonne et qu’elle est fière de moi. J’ai le coeur gros, elle est là, je n’en reviens pas chaque fois que je la croise. Le premier 10 km, je pense à ma famille tout en suivant mon plan à la lettre. Je cours entre les ravitos et je marche le long des tables. Cela a pour objectif de limiter le stress sur mon genou et de m’assurer de bien manger et m’hydrater pour limiter mes maux de tête. Aux premiers ravitos, je n’ai pas envie de marcher et ça me prend une force mentale pour suivre ce plan. Je sais par contre que ça me sera bénéfique plus tard. Contrairement à Duchesnay, ici, je souris et je sourirai tout le long de ce marathon! On me dit plusieurs fois : «Nice smile, keep going!» et cela ne fait qu’augmenter mon sourire. Je croise mon coach, Karim, qui me rappelle de bien suivre le plan. Je croise Sylvain et Joce dans ma première boucle. Au demi-marathon, je revois ma famille, on se parle un peu. Ça va toujours bien! La fatigue commence à se faire sentir, mais le moral est là et il restera! Il fait un peu chaud, je m’assure de me garder refroidie avec les verres d’eau sur la tête! Au km 23, je croise Francis que me dit que je suis 15e et que si je garde le pace, je peux monter de quelques places. Je suis heureuse, mais je sais que je dois continuer ma stratégie de marcher mes ravitos, alors je continue. Je croise Benoit qui est en plein milieu du parcours et apparaît pour nous encourager! Je croise Val, Mylène, Isa, Joce Ducharme et Jake. Je suis tellement heureuse! J’apprécie et vis au maximum chaque kilomètre. À 5 km de la fin, je réalise que là, peu importe que je marche à 2 km/h, je terminerai et aujourd’hui, je serai Ironman! Ça me donne des ailes. Je ralentis un peu, car je commence à sentir un inconfort au genou, mais je ne m’attarde pas à cela! Mon seul point en tête est sourire, taper dans les mains de tous les enfants et avoir du plaisir jusqu’au plus profond de mon être. Je vois 43 km sur ma montre… Haha! Je crois que j’ai peut-être un peu trop zigzagué! Il me reste environ 500 m à faire. Les émotions remontent, des larmes de joie coulent sur mes joues! Ça y est! À peine sept semaines après un accident qui aurait pu mettre un terme à ma saison, mes efforts et mon mental me permettent aujourd’hui de franchir ce fil d’arrivée tant attendu!
Aucun mot ne pourra décrire les émotions qui m’ont traversée les minutes suivant cet accomplissement. Et pour ajouter à tout cela, après avoir pris le temps de marcher un peu et d’avoir pris ma photo-finish la médaille au cou, l’homme qui a su m’épauler durant les dernières années s’est agenouillé devant moi pour me demander en mariage. J’ai explosé et cru l’espace d’un instant que je faisais une crise cardiaque. À ces émotions plus fortes que tout d’avoir accompli mon plus gros défi à ce jour sont venues s’ajouter des émotions débordantes d’amour.
Pour résumer ces sept semaines et cette journée, je peux vous affirmer que rien n’arrive pour rien. Ce que j’en retiens est que sans cet accident, jamais je n’aurais été aussi prête mentalement que je l’ai été en ce jour. Cet événement m’a permis non seulement d’apprendre à mieux écouter mon corps, mais également qu’en étant positif et qu’en tirant le meilleur de tout, nous arrivons à accomplir de grandes choses! Je vous mentirais si je disais que ça a été facile. Oui, j’ai été fâchée, oui, j’ai pleuré, oui, j’ai parfois cru que je n’y arriverais pas. Mais le côté optimiste et persévérant a toujours pris le dessus.
Je remercie la vie de me permettre d’accomplir tout ce que j’accomplis et que la santé me permet d’accomplir. Merci à ma famille et à mon fiancé qui me supporte et m’accepte dans mes horaires de fou et dans les différents sacrifices. Merci à mon coach d’avoir su adapter mon plan pour me relever! Merci aux filles pour votre support moral! Merci à tous pour vos petits mots, vous n’avez pas idée à quel point ils font partie de ma réussite!
Je terminerai simplement en vous disant : ne lâchez jamais! Appréciez chaque moment et tirez le meilleur de ceux-ci. Nous n’avons qu’une vie, autant la vivre au maximum!
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par Francis | Oct 15, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]L’automne est souvent le moment des bilans. Nous regardons la dernière année afin de cibler les faiblesses et, dans le mesure du possible, nous planifions notre prochaine saison dans un but logique : devenir meilleur.
La natation… comprendre ce que l’on fait
Au-delà de nager plus, il faut nager mieux, être plus efficient et, surtout, comprendre ce que l’on fait dans l’eau. Pour comprendre, il faut simplement apprendre à ralentir et rester dans une zone d’apprentissage. Un bon entraîneur, des outils et du bon feed back t’aideront assurément à sortir de l’eau moins « taxé » . Un camp de natation est une bonne option pour regrouper tous ces outils et ainsi, investir sur ta compréhension et ta technique.
Le camp de deux jours t’offrira la chance de comprendre et être analysé par les meilleurs. Cette analyse, faite lors du camp, te sera également partagée par vidéo tutoriel dans la semaine suivant le camp. Tu repartiras donc avec des outils pour t’améliorer et comprendre!
L’horaire est le suivant :
Samedi 24 novembre :
- 8h00 à 9h30 Natation McGill (optionnel si vous arrivez le samedi)
- 11h00 visite du Café Barista avec Alex Sereno
- 16h30 à 18h00 Bassin entraînement six couloirs 50 m
Dimanche 25 novembre :
- 8h00 à 9h30 Bassin synchro huit couloirs 30 m (analyse vidéo one on one)
- 10h30 Conférence nutritionniste de l’Institut national du sport
- 15h00 à 16h30 Bassin synchro huit couloirs 30 m
Inscriptions sur ce lien Camp Natation Montréal
Au plaisir de vous y voir!
Entraîneurs présents :
Alex Sereno – Sylvain Pineau – Georges Guay – Francis Bachand
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur
Capitale Triathlon / Triathlon Duchesnay[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Oct 4, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]S’entraîner en sécurité sur un site calme. S’entraîner sur un site pensé et réfléchi par des triathlètes. Dès le printemps 2019, Capitale Triathlon aura comme quartier général le Manoir du Lac Delage. Le concept est simple : on fait du triathlon en compétition, il faut en faire à l’entraînement.
La natation
Des bouées formeront un circuit de 1500 m en eau libre. Les entraîneurs vous suivront avec les planches à pagaie du club.
Le vélo
Le vélo se fera pour les groupes jeunesse, sprint et olympique vers le chemin de la Grande-Ligne et Stoneham. Pour le volet Demi et Ironman, une boucle de 45 km sera marquée vers Stoneham afin d’assurer un encadrement adéquat dans les entraînements spécifiques.
La course
La course se fera au Lac-Delage et en sentiers.
Bien que quelques entraînements en eau libre seront maintenus au lac Beauport, les samedis matin auront une saveur « triathlon » dans un environnement unique et sécuritaire dès le printemps!
Au plaisir de vous y voir.
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur
Capitale Triathlon / Triathlon Duchesnay[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Sep 28, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Dimanche dernier, j’ai participé à mon deuxième Ironman à Madison, au Wisconsin. J’avais plusieurs objectifs en allant là-bas. Je ne les ai pas tous atteints car j’avais peut-être sous-estimé la difficulté de ce parcours, mais j’ai donné le meilleur de moi-même et cela me permet de rêver encore! Quelle belle aventure ce IM du Wisconsin!
Avant de faire mon (long) résumé de course (pour les intéressés), je veux d’abord dire merci à mon coach Francis Bachand qui me donne de judicieux conseils et qui croit en moi. Merci à Karim Hajjaj mon meilleur supporteur qui est là pour veiller sur tout et qui m’encourage aussi tout au long de l’année à donner le meilleur de moi-même en entraînement. Merci à mes trois amours d’accepter que nous fassions ensemble des sacrifices dans notre horaire. J’ai traversé la ligne d’arrivée avec vous. xx
Je suis donc arrivée jeudi au Wisconsin avec plusieurs autres amis du club. Nous avons pu nager, faire le parcours de vélo et visiter un peu la ville de Madison, qui est très belle, d’ailleurs. Samedi, je laisse mon vélo dans la transition et je vais porter mes sacs de transition parce que dans un Ironman, on ne peut rien laisser, autre que son vélo, dans la zone de transition. On doit mettre tout ce qui sera nécessaire pour la portion vélo dans un sac de transition pour le vélo et tout ce qui sera nécessaire pour la partie course dans un autre sac. Il faut quand même préparer ces sacs méticuleusement car il y a beaucoup de choses à penser.
Je me couche assez zen samedi soir. En fait, ce qui me stresse le plus est d’avoir froid en attendant le départ de natation et au début de la portion vélo. Mais bon, il fallait bien que je me stresse avec quelque chose?!
Dimanche matin, on se lève à 3h45. Je déjeune et je rejoins mon amie Véro Proulx pour aller porter les special need bags. Ce sont des sacs (un pour le vélo et un pour la course) auxquels on aura accès à la mi-parcours de vélo et de la course. On peut donc y laisser de la nourriture, des bonbonnes de CO2, du linge de rechange…
Ensuite, je me rends à la zone de transition pour porter mes gourdes, gonfler mes pneus, huiler ma chaîne, mettre mes pédales (merci mes amis CT de m’avoir aidée?!!!).
L’heure du départ approche. On enfile notre wetsuit, on écoute l’hymne national américain, on s’insère dans la file en passant par-dessus la clôture et quelques minutes plus tard, c’est le départ.
Natation: 3800 m
L’eau est calme contrairement aux deux journées précédentes où nous sommes allés nager. Je me sens relaxe.
Quand je respire, j’admire le lever du soleil à ma gauche et je vois les centaines (peut-être même milliers) de personnes entassées sur la Monona Terrass pour nous encourager à ma droite. C’est vraiment impressionnant. La portion natation passe très rapidement.
1h08min
T1:
Je sors de l’eau. Enlève mon casque, lunettes, wetsuit. Fais une petite pause pipi car je sais que le vélo sera long… Je croise Karim qui m’encourage. Je suis contente de le voir. Je vois mon coach Francis un peu plus loin qui me donne quelques judicieux conseils et je cours vers la zone de transition. Ce qui est particulier dans ce triathlon, c’est que la zone de transition se trouve dans un stationnement étagé. Il faut donc monter en courant dans cette spirale. Tout au long de la montée, les gens sont entassés et nous encouragent. Wow! Belle dose d’adrénaline!!!
J’enfile mon chandail de vélo dans les poches duquel j’avais mis ma nutrition, je mets mon casque, mes lunettes, prends mon vélo et file vers la ligne d’embarquement en croisant mon amie Véro Proulx.
6min53
Vélo: 180 km
Le premier 90 minutes de vélo est rapide. Tout va bien. Je me dis que je vais atteindre mon objectif et que je devrais faire 5h45 mais soudainement… le vent et des côtes… Ouffff! Je me fais dépasser par des gars (ça, j’y suis habituée?) mais aussi par des filles qui sont vraiment fortes, très fortes! Je commence à broyer du noir. Je sais que je ne ferai pas moins de 6h et plus le temps avance, plus je me dis que je vais faire plusieurs minutes au-dessus de 6h. Je finis par me faire à l’idée et à l’accepter. Je sais que je vais devoir continuer de pousser contre le vent et affronter plusieurs autres montées. Aussi bien profiter de ce parcours magnifique et se laisser porter par les encouragements des gens qui s’entassent à plusieurs endroits sur le parcours pour nous encourager, danser… D’ailleurs, dans plusieurs longues montées, les gens sont massés sur des centaines de mètres, des deux côtés de la route. Je me sens au Tour de France!
Je termine FINALEMENT ma portion vélo. Quand j’approche de la zone de transition, je vois Karim en haut de la zone de transition. J’ai un coup d’émotion. J’ai envie de pleurer et de lui dire à quel point j’ai trouvé le parcours de vélo difficile et que j’ai tout donné mais je vois qu’il fait un Facebook live? et je ne veux pas trop l’inquiéter… Je monte donc la spirale qui me mène à la zone de transition.
6h16min
T2: Je descends de mon vélo et cours vers la zone de transition, une autre pause pipi, je prends le nécessaire pour la course et c’est reparti.
4min19
Course: 42,2 km
Dès le début de la course, je vois Karim. Quel plaisir de savoir qu’il est là. Quelques mètres plus loin, mon coach Francis est là. Il fait quelques mètres avec moi. On parle de la portion vélo qui a été plus difficile que prévu pour tout le monde. Il me rappelle le plan de match. Le parcours de course est magnifique. On traverse la ville, on passe dans un stade de football universitaire, on longe un lac… Pas le temps de trouver le temps long. Beaucoup de gens nous encouragent partout sur le parcours. Je croise mes amis de Capitale Triathlon sur le parcours. C’est toujours une grande joie de les voir!!! Je me sens bien tout au long de la course. Je ralentis un peu à la deuxième boucle mais tout est sous contrôle.
La fin de la deuxième boucle arrive. Je vois mon amie Valérie Vaillancourt qui a fait la route jusqu’à Madison pour nous encourager et Francis. Ils me disent que si j’accélère un peu, je vais pouvoir faire ma course en bas de 4h. Je le sais mais j’ai donné ce que j’ai pu et tout ce que je peux faire, c’est de me concentrer pour terminer ce dernier kilomètre qu’il me reste à faire. En tournant le dernier coin, je vois le ligne d’arrivée à 200 mètres. Des centaines de personnes sont entassées et crient! Ça y est! Je profite de ce dernier 200 mètres, des applaudissements et traverse la ligne d’arrivée.
4h01min58s
Temps total : 11h38min06s
OUFFF! Je ne l’ai pas trouvée facile, celle-là! Mais j’ai déjà hâte à la prochaine!!![/vc_column_text][vc_single_image image= »1518″ img_size= »large » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Sep 21, 2018
Le choix…
Le choix est parfois difficile. Après avoir sélectionné les objectifs de la prochaine saison, il faut se tourner vers le type de planification et de suivi désiré.
(suite…)
par Francis | Sep 14, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Compte rendu Ironman Wisconsin
Je ne me souviens pas exactement quand le projet a commencé, mais je sais que l’idée a fait son chemin à mesure que je m’entraînais avec la gang de Capitale Triathlon. C’est finalement lors d’un souper à la fin juin que le projet est né. En retournant à la maison, je me suis inscrit au Ironman Wisconsin. Là, quand même, je ne partais pas de rien. J’avais déjà fait le 70.3 Eagleman et je m’entraînais pour le 70.3 Maine et Lake Placid. J’avais aussi déjà fait un Ironman et plusieurs 70.3 alors le projet n’était pas complètement fou!
Fast forward au 9 septembre…
Quelques minutes avant le départ:
On est tous ensemble près du départ. Une équipe de trois personnes gosse après mon wetsuit pour l’attacher mais je suis plutôt préoccupé par les vagues et le vent. Je suis un nageur moyen et je sais que mon temps va être «lent»… probablement 1h20. Ensuite, c’est l’hymne national puis on se place pour le départ. Je vous dirais que quand on prend le départ avec Jocelyn Paré et Sylvain Nadeau, on ne se sent pas exactement le mâle alpha du groupe! Je me place loin derrière, sachant très bien que je suis un nageur beaucoup moins fort que le reste de notre gang!
Natation (3,8 km): Le départ est donné, mon tour de sauter à l’eau arrive beaucoup trop vite à mon goût, mais pas le choix, on se lance! C’est plutôt agité, venteux et vagueux! Je reçois ma dose habituelle de coups de poing et de pied mais rien d’inquiétant. Je trouve même que je nage bien et même si tout le monde me dépasse, j’ai l’impression que je vais faire un bon temps. Je ne suis pas pressé de sortir de l’eau et le temps passe plutôt vite. Je suis étonné de voir autant de bénévoles disponibles pour enlever les wetsuits. Quand j’ai croisé Francis et Valérie un peu plus loin et que Francis m’a dit : «Oublie ça, Joce, focus bike», j’ai compris que ça ne pouvait pas être bon. ? J’ai su plus tard que j’avais fait 1h40 et que Valérie et Francis se demandaient qui j’avais mis comme contact d’urgence!
Vélo (180 km): Ici, c’est une autre histoire. Toutes proportions gardées, le bike est ma force. Dès le début, je dépasse un nombre incalculable de cyclistes, particulièrement dans les montées. Il faut quand même dire que je suis tellement lent à la natation que ça prend du temps avant de rejoindre la compétition de mon niveau et de mon groupe d’âge à vélo. Mais plus la course avance, plus ça devient difficile de faire des dépassements, sans compter que le vent se lève et que les côtes se multiplient! J’ai quand même des boosts d’adrénaline incroyables dans certaines montées où les spectateurs forment un cordon étroit, un peu à la façon du Tour de France, et encouragent les cyclistes bruyamment! Pas pu résister, j’ai brûlé beaucoup trop de cartouches dans ces montées, mais c’était ma-la-de! Loin sur le parcours, je finis par commencer à rattraper des coéquipiers de Capitale Triathlon. Chaque fois, on s’échange quelques mots et on s’entend rapidement que le parcours est très difficile (le plus difficile que j’ai fait à date) puis je continue ma route. Au bout de 180 km, j’aurai gagné plus de 1200 positions avec un chrono respectable de 5h52.
Course à pied (42,2 km): J’avais un seul objectif, courir tout le long et perdre le moins de positions possible. Je devais marcher seulement les ravitos et certaines côtes. Le parcours est magnifique et la foule est nombreuse. En plus, c’est là qu’on a la chance de voir le plus notre monde, aussi bien nos coéquipiers que nos supporteurs. Chaque fois, ça donne un boost incroyable. J’ai trippé de voir Sylvain et Joce P. puis Valérie, Véro, Mylène, Isabelle. Je les voyais faire des super courses et ça me donnait un boost chaque fois! Il y a aussi Jake qui courait très bien et qui me
poussait dans le cul en me disant qu’il s’en venait me chercher!!! Vraiment cool de faire le tour du stade des badgers, courir au centre-ville, sur le bord de l’eau et dans un parc. Le plus beau parcours de course que j’ai fait jusqu’à maintenant!
L’arrivée: Il n’y a rien de plus satisfaisant que de suivre la flèche Finish à l’intersection Finish/Second loop… puis entendre un bénévole annoncer dans un radio portatif «number 285, coming in for the finish». À ce moment, il ne reste plus que 200 à 300 mètres sur une distance de 42 km. Je ne sens plus rien sauf mon cœur qui veut sortir de ma poitrine et mes yeux qui se remplissent d’eau. Je sens l’énergie de la foule et il suffit de soulever un bras pour entendre la foule réagir encore plus. Je ne boude pas mon plaisir et j’en redemande. La foule devient encore plus bruyante. Je me sens comme une rock star et je m’assume complètement. Je termine dans les 400e sur 2300 mais c’est secondaire. J’ai couru tout le long, je vais avoir gagné une centaine de positions supplémentaires et je suis fier de ma course.
On se rejoint tous près de l’arrivée. On en aura pour plusieurs heures à se raconter nos courses! Chacun a sa belle histoire à raconter et on ne tanne pas de les entendre!
Merci à Val d’avoir été là tout le week-end pour me supporter et pour les 15 minutes que tu auras conduit ???. Tu as été parfaite! J’ai hâte que ce soit mon tour!
Merci à Val L, Sylvain, Mylène, Francis, Véro, Joce et Isabelle. Vous êtes inspirants… mais surtout incroyablement gentils!!!! Vous m’écœurez un peu avec votre talent à la natation mais pour le reste, vous êtes parfaits!
Merci aussi à Jake, Ben, Karim et au Véro support crew! Vous êtes malades![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Août 27, 2018
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Un club accessible à tous
«Je ne suis pas assez bon pour m’entraîner dans un club de triathlon!»
Plusieurs ont déjà lancé cette phrase, pensant devoir déjà être un athlète expérimenté pour intégrer un club de triathlon. Au contraire. Chez Capitale Triathlon, tous les sportifs sont accueillis et encadrés selon leur niveau.
Vous aimeriez faire un triathlon distance découverte et vous ne savez pas nager? Nos entraîneurs sont formés pour vous accompagner pas à pas vers votre objectif.
Vous aimez vous entraîner à votre rythme, sans avoir d’objectif de compétition? Que ce soit de façon récréative, histoire de retrouver les amis sur la piste, ou de façon plus intense, en vue d’une compétition prochaine, chez Capitale Triathlon, tout le monde y trouve son compte.
De plus, les parents de jeunes qui aiment bouger seront heureux d’apprendre qu’un groupe pour les 7 à 13 ans attend leurs enfants! Un entraîneur d’expérience leur apprend les bases du sport dans une ambiance ludique pendant que papa et maman s’entraînent. Une belle façon de promouvoir le sport en famille!
Intégrez un club qui saura respecter votre rythme, quel qu’il soit.
Intégrez Capitale Triathlon!
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par Francis | Juin 4, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]
Nous sommes fiers de vous annoncer notre partenariat avec le Cross-triathlon découverte de Québec qui se tiendra le 8 juillet prochain au Lac-Delage. Capitale Triathlon veut se tenir au premier plan dans le développement du triathlon hors route (Xterra, cross-triathlon). Pour ce faire, le club s’implique dans l’organisation de cet événement, une première à Québec, consacré à la découverte du cross-triathlon (nage en eau libre, vélo de montagne et course en sentiers). Votre entraineur responsable du volet hors route (Xtriathlon et Xtrail) Christian St-Pierre est directeur de course pour le Cross-triathlon découverte de Québec. Capitale Triathlon compte déjà deux responsables bénévoles, soit Isabelle Tremblay au balisage et Jocelyn Ducharme pour le parcours vélo.
Pour obtenir plus de renseignements sur le Cross-triathlon de Québec, visitez la page Facebook https://www.facebook.com/groups/119257612160605/ ou écrivez-nous à xterra@capitaletriathlon.com.
Vous avez envie de vous inscrire? C’est par ici! https://gotikk.com/fr/evenements/cross-triathlon-de-quebec-2018/
Vous aimeriez faire partie de l’équipe de bénévoles? Visitez le https://tinyurl.com/yd4rb3oh. Chaque bénévole recevra un coupon pour une inscription gratuite à l’événement 2019 (transférable à une connaissance).
Crédit photo : Sylvie Laurence
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Mai 30, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Bon, je sais… tu n’as pas beaucoup de temps. Je serai bref!
Dans quelques jours sera ton premier 70.3 de la saison… « Ça ira », te dit le coach.
C’est rare, voire impensable que TOUT se passe comme prévu! Alors, en quelques lignes, je vais tenter de te dire comment… ça pourrait aller!
- Le petit stress de la veille t’envahira juste avant le dodo. Même si tu te couches à 19h30, tu fermeras les yeux vers 23h.
- Après un déjeuner qui te lèvera le cœur (chu pas stressé!), tu visiteras la toilette à quelques reprises. Y’a du bon… tu approches de ton « race weight »!
- Ce n’est qu’une fois rendu à la transition que tu te rappelleras où est ton foutu body glide…
- Dernier post Facebook et Instagram! (Comme si tu allais mourir!)
- Départ. Tu nageras assurément trop vite et finalement, le parcours sera trop long… Un classique!
- Transition no 1, comme un chef… assez dur de merder ça!
- Ton vélo sera sans drafting. Si c’est le cas, tu as le mérite d’être dans le 15 % des « vrais ».
- Transition no 2, comme un chef qui est… un peu racké!
- La course à pied en contrôle… surtout quand tu croises un athlète de ton club!
Finalement… quand tu seras sur le parcours de course à pied, à chaque moment où tu penseras à ralentir, à chaque moment où tu penseras à marcher, rappelle-toi que tu croiseras un athlète Capitale Triathlon bientôt. Et que lui, ne marchera pas! Accroche-toi à la force du club et rappelle-toi qu’on fait tout ça pour se sentir vivant et avoir des histoires à raconter!
Bonne compétition!
Francis
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Mai 15, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Des nouvelles du Triathlon Duchesnay
C’est avec beaucoup d’enthousiasme que toute l’équipe convie les triathlètes de la province ainsi que les amateurs de défis et de sports d’endurance à la 5e présentation du Triathlon Duchesnay.
Devant la formidable occasion qui se présentait à nous, il nous fait plaisir de vous annoncer que le Triathlon Duchesnay change de date et se tiendra le 21 juillet 2018, dès la première fin de semaine des vacances de la construction. Plusieurs éléments motivent ce changement. Surtout, après l’édition de l’année dernière, nous cherchions un moment en juillet où le niveau de la rivière est généralement plus stable et les matins, définitivement plus chauds. Naturellement, nous voulions aussi une date qui s’éloignait de la seconde moitié du mois d’août et de quelques événements prisés par les triathlètes québécois et athlètes de la région de Québec, dont l’Ironman de Mont-Tremblant et les Championnats du monde ITU de Montréal.
Cela dit, les mêmes éléments forts de l’an dernier y seront! Vous avez été nombreux à nous mentionner vos coups de cœur pour le site en général, le bâtiment d’accueil, l’énorme zone de transition, le superbe parcours de course à pied et la prestigieuse zone d’arrivée.
Pour fêter sa 5e année, le Triathlon Duchesnay est très heureux d’être l’hôte d’une Coupe Québec distance sprint. Soucieux de se démarquer par la qualité de l’expérience des athlètes, plusieurs cadeaux, dont le t-shirt unique 5e édition, seront remis aux athlètes.
Avant vos vacances, question de partir la tête tranquille et d’en profiter pleinement, relevez le défi du Triathlon Duchesnay le 21 juillet prochain!
D’ici là, gardez la forme et bon entraînement!
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Avr 27, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]J’ai toujours aimé me dépasser et me réaliser dans le sport. J’aime m’améliorer et me mesurer à d’autres.
Depuis quelques années, le sport, tout particulièrement le triathlon, prend plus de place dans ma vie. C’est devenu une passion.
L’année 2018 sera une belle année remplie de défis pour moi. J’ai d’inscrit à mon calendrier le marathon de Boston, le Ironman 70.3 Eagleman et le Ironman 140.6 du Wisconsin et quelques autres courses pour me garder alerte! Ceci demande beaucoup de temps, d’organisation, de discipline et de quelques sacrifices. Peu importe, je suis passionnée! Comment faire pour le rester? Voici 5 points que je considère importants:
1. Se fixer des objectifs inaccessibles
Quand je dis que je me fixe des objectifs inaccessibles, je veux dire que je me fixe des objectifs qui me seraient inaccessibles d’atteindre en restant Confortable. Je choisis ces objectifs en sachant que je pourrai les atteindre. mais que je devrai travailler pour les réaliser. Le travail, parfois hors de ça zone de confort, est inévitable pour atteindre ces objectifs, mais, bien entourer, tout est possible.
2. Bien s’entourer
Il faut bien s’entourer. Il faut s’entourer d’un coach qui nous connaît et qui nous permet de repousser nos limites tout en respectant la personne que l’on est et les obligations que l’on a (oui, il y a des obligations autres que le triathlon dans ma vie!). Il faut s’entourer de gens qui prennent soin de nous comme une nutritionniste, une massothérapeute, un physiothérapeute qui seront là pour nous aider à prévenir les bobos où nous aider à les guérir. Il faut aussi s’entourer d’amis qui partagent cette même passion, qui vivent les mêmes défis reliés à la poursuite d’un objectif et avec qui on peut rire et discuter à l’entraînement entre deux intervalles. Il faut aussi s’entourer de gens qui sont fiers de nous et qui nous encouragent les jours de doutes, car il y a des jours de doutes!
3. Prendre plaisir à l’entraînement
Il faut prendre plaisir à l’entraînement. La journée d’une course est l’aboutissement d’un nombre d’heures impressionnant d’entraînement. Il faut savoir les apprécier et s’amuser même si certaines fois, ça fait mal! Il faut être conscient que ces entraînements nous rendent meilleurs et y trouver satisfaction!
4. Accepter les hauts et les bas
Il faut accepter les hauts et les bas. Quand tout va bien, tant mieux, mais quand rien ne va plus ou que ça ne va pas comme on l’aurait espéré, il faut savoir l’accepter. Ce sont des choses qui arrivent. Il faut pouvoir rebondir et savoir tirer avantage de ces bas. Ils font aussi partie de l’entraînement. Dans une course, il y aura des hauts, mais il pourra y avoir des bas et il faudra le gérer.
5. Être reconnaissant
Être reconnaissant d’avoir la santé pour nous permettre de nous entrainer, d’avoir si peu de soucis afin de pouvoir s’investir autant dans notre passion. Être reconnaissant envers notre famille et nos amis. En effet, quand on se fixe un objectif, c’est aussi notre entourage proche qui doit s’adapter, faire des concessions. Notre objectif devient aussi leur objectif. Il faut leur en être reconnaissant, les remercier et faire, nous aussi, des concessions pour leur permettre de vivre, eux-aussi, leurs passions. Il faut parfois démontrer une certaine souplesse dans la rigidité de notre plan d’entraînement. Il faut surtout leur rappeler qu’eux aussi, ils la traverseront avec nous cette ligne d’arrivée!
Bon entraînement!
Valérie Lalancette,
Athlète Élite et entraîneur Capitale Triathlon
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Mar 13, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Il y a bientôt 4 mois que nous nous donnions comme mission d’améliorer l’offre de service en Xtri ici, à Québec. Une première session en mode découverte des plus satisfaisante, nous regardons la session printemps arrivée avec un grand sourire! 🙂
Les samedis matins à compté du 28 avril
Les entraînements du samedi matin du volet XTri / XTrail se tiendront à Charlesbourg à partir de l’Aréna Réjean-Lemelin (École secondaire les sentiers).
Au menu : Parcours d’habiletés techniques vélo de montagne, sorties de vélo de montagne, course en sentier avec conseils techniques, équipement, et
Info et calendrier par ICI
Un nouvel événement à Québec
Cross-triathlon Découverte de Québec Lac-Delage 8 juillet 2018.
Le parcours de 300m de natation + 10km de vélo + 4km de course comporte une sélection des sentiers les plus faciles du site du XTERRA Québec.
Une excellente course vous permettant de découvrir le cross-triathlon.
Détails et inscription Par ICI
Bon entraînement à tous!
Francis Bachand
Entraîneur Chef Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Fév 23, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Tu veux avoir un plan d’entraînement et accès aux couleurs et bénéfices d’un club sans avoir à te déplacer à des séances de groupes? Voici ta chance!
En te joignant au plan CT, tu obtiens le statut d’athlète Capitale triathlon et à de facto, accès aux rabais et avantages de nos partenaires.
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1. Courte distance
2. Longue distance
Les entraînements sont détaillés et numérotés par ordre prioritaire afin de bien te guider dans ta semaine.
Par ici : INSCRIPTION
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Fév 16, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]J’ai pensé profiter du changement d’année pour écrire un article afin de me présenter et que vous appreniez un peu qui je suis et d’où je viens, et également parler de la clinique pour laquelle je travaille et ce que je peux vous offrir à travers celle-ci, au niveau professionnel.
Sylvie Martin, c’est qui ça!?
Voilà! Je suis une Québécoise d’adoption, une Néo-Brunswickoise d’origine! Je suis venu étudier à l’Université Laval en 2003 en physiothérapie et je pratique en clinique privée depuis 2006. Le sport fait partie de ma vie depuis l’adolescence grâce à mon père, qui était un coureur et un athlète de tous les sports de raquette. J’ai d’ailleurs commencé ma vie de sportive en pratiquant le badminton, sport que je pratique d’ailleurs toujours. J’ai participé aux Jeux du Canada en 2003 sur l’équipe de badminton, et c’est grâce à cette expérience que je me suis mis à la course à pied. Depuis, je n’ai jamais arrêté. C’est d’ailleurs pour cette raison que je me suis joint à l’équipe de Blaise Dubois et de PCN La Capitale en 2011, afin d’intégrer ma passion à mon travail. Notre clinique se spécialise en course à pied, et au moins 50% de ma clientèle sont des coureurs. J’ai donc suivi des formations continues plus spécifiques à la course afin d’être mieux outillé pour servir mes patients.
PCN La Capitale
Évidemment, n’importe qui peut venir se faire traiter à notre clinique, pas besoin d’être un coureur. Par contre, nous avons développé une expertise dans le domaine qui nous permet d’offrir des services plus personnalisés à ceux-ci. Nous offrons donc des évaluations de course à pied, où vous vous faites filmer en courant sur tapis roulant, ce qui permet de voir votre patron de course, s’il y a des modifications majeures à apporter, et par la suite d’avoir des conseils et exercices en fonction de blessures ou douleur spécifique. Nous offrons aussi également des conseils concernant les différents types de chaussures et des programmes de reprise de course à pied suite aux blessures. Conjointement, une nutrionniste et une kinésiologue plus spécialisées en course à pied offrent leur service pour consultation à notre clinique.
PCN ‘at large’
Les cliniques PCN sont nombreuses dans la ville de Québec. Cela à l’avantage d’avoir des experts de différents domaines auxquels nous pouvons référer. Nous avons donc dans notre grande équipe des massothérapeutes, des ostéopathes, acupuncteurs, physiothérapeutes travaillant avec les aiguilles sèches, spécialistes en golf, physiothérapeutes en rééducation périnéale et bien d’autres pour améliorer nos services. De plus, nous travaillons en équipe avec des médecins du sport, auxquels nous pouvons référer nos cas complexes ou ceux qui ont besoin d’un rendez-vous en orthopédie.
Le triathlon
Le triathlon est un peu plus nouveau comme passion dans ma vie. Je cherche maintenant à aller chercher des compétences au niveau du vélo, de la natation, et de poursuivre celles en course. Francis est une personne que j’apprécie énormément et je me trouve privilégié qu’il m’ait intégrée à votre équipe, qui est vraiment inspirante.
J’espère donc que vous ne vous gênerez pas pour m’aborder par Facebook, courriel ou aux entraînements si vous avez des questions. Et surtout que vous viendrez me voir en clinique pour éviter que vos petits bobos deviennent des gros!
Sylvie Martin , Physiothérapeute PCN La Capitale
Pour consulter la biographie ou contacter Sylvie Martin, cliquez ICI![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Jan 31, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Et voilà, la fin, mais aussi le début. Je quitte les Forces canadiennes après 16 ans, disons-le, de bons et loyaux services. Pour les gens qui se demande, « Mais tu faisais quoi dans les Forces canadiennes coach? » et bien c’est une bonne question!
Le point de départ
Je viens de Montréal et j’ai eu la chance d’être élevé par la meilleure mère sur la terre; la mienne ? . Issues d’une famille assez pauvre, moi, ma mère et ma sœur avons vécu l’inimaginable dans un petit 4 et demi en banlieue de Montréal. J’ai mangé du Kraftdinner et du cordon bleu plus souvent qu’à mon tour, mais ça… c’est des bons souvenirs ?
J’ai donc, à 18 ans, décidé de joindre les Forces canadiennes! Quelle idée! Je me suis enrôlé comme homme d’équipage, version « fancy » de Chauffeur de tank! Les premiers mois serviront aux études, en l’occurrence ; cours de recrue, cours de métier et cours de soldat des armes de combat. Je réalise rapidement que malgré une forme physique irréprochable, mon défi dans l’armée serait de… me trouver un défi dans l’armée!
Une réorientation
Après quelques années dans les armes de combat, la prise de conscience se fait, ce métier n’est pas fait pour moi, il ne me « passionne » pas du tout. J’entreprends alors une réorientation en administration et finance, choix judicieux et représentant un bon défi.
Le sport
Mes premières années dans les Forces n’ont pas été sous le signe du sport et de la santé. Heureusement la raison sera revenue et les sports de haut niveau offert dans l’armée comblent le sportif en moi. J’atteins le niveau national et remporte le titre d’équipe national junior à l’âge de 27 ans. Bon, n’allez pas chercher le lien avec le triathlon, il n’y en a pas!
J’ai donc débuté le triathlon en 2007, après le squash. L’armée aura su, durant toutes ces années comblez études, dépassement et forme physique.
Je quitte donc les Forces le 31 janvier 2018 pour vivre de ma passion via mon entreprise. En 2012, je fonde le club Capitale Triathlon et le Triathlon Duchesnay. Depuis ce jour, la croissance et le développement sont très constants.
La discipline
L’armée est maintenant, 16 ans plus tard, ma façon de « coacher » ma façon d’être. Lors de mon enrôlement, jamais je n’aurai pensé un jour fonder mon entreprise. Jamais je n’aurai pensé que la discipline militaire aurait cet impact positif sur ma vie. Je ne regrette aucune minute passée à servir mon pays. Je regarde devant, loin devant.
Ma vocation à changer, mais mon ADN restera toujours, celle des Forces canadiennes.
Et voilà qui je suis.
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Jan 9, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]L’année 2018 commencer et déjà les objectifs pour la prochaine année de compétition vous tournent en tête. Si votre premier but est d’atteindre un poids de compétition plus optimal en ce début d’année, vous devriez lire les quelques conseils suivants!
1- Tout d’abord, il est vrai que le poids a une influence sur la performance. Toutefois, il est également normal que le poids varie au cours d’une année. Idéalement, votre poids en période de hors saison ne devrait pas dépasser 6 à 8% de plus que le poids de course que vous jugez idéal pour votre performance.
2- Si vous visez une perte de poids, celle-ci devrait idéalement être réalisée dans la période de préparation physique générale et non lors des entraînements très spécifiques ou durant votre saison de compétition. L’hiver et le début du printemps représentent donc une période idéale pour le triathlète qui désire optimiser sa composition corporelle.
3- Inutile de viser une perte de poids trop rapide! Une perte de 0,7% de votre poids corporel par semaine devrait être votre objectif. Une perte de poids plus rapide entraînera une perte de masse musculaire, et donc, une diminution de votre force et de votre puissance. Planifiez donc suffisamment de temps afin d’atteindre votre objectif.
4- Assurez-vous de consommer suffisamment de protéines et de fibres tout au long de la journée. Ces aliments vous apporteront un effet rassasiant plus important et faciliteront la mise en place d’un déficit énergétique.
5- Planifier également des apports énergétiques plus important en fonction de vos entraînements. Il est important de vous assurer de donner suffisamment de carburant à vos muscles lors des séances d’entraînements plus exigeantes. Inutile de chercher à optimiser votre poids si, en contrepartie, votre entraînement en souffre en retour!
Dans tous les cas, si vous avez des questions, n’hésitez pas à me consulter.
Je vous souhaite à tous une très bonne année 2018, à la hauteur de vos objectifs.
Isabelle Morin, nutritionniste du sport
nutrition.morin@gmail.com
Consulte la bio d’Isabelle par ICI[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Jan 8, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Le camp aura lieu 6 semaines avant le 70.3 Tremblant. Il réunira plusieurs partenaires tel Argon 18 et Barista en plus d’accueillir pour une journée d’entraînement Magali Tisseyre, athlète professionnel.
Le camp est basé sur la qualité dans les 3 sports. Au menu, reconnaissance du parcours Ironman Tremblant, sortie technique à vélo dans la montée Duplessis, analyse vidéo à la natation et technique de course et transition.
L’hébergement se fera en condo de 4 à 7 personnes. Les condos sont situés aux bords du Lac Tremblant, à deux pas du parcours de course à pied du IM. Tous les entraînements partiront de ce site.
Ouvert à tous, 35 places.
Tu réserves ta place par ICI
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Jan 2, 2018
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Parce que y’a juste trop de top 5 et top 10 sur les meilleurs choses à faire… je te fais économiser du temps en lisant mon top 1 qui renferme les 6 meilleurs conseils pour ta saison 2018… C’est tu pas beau ça?! 🙂
- Arrête de penser que la quantité te rendras meilleur.
- Place ton entraînement en priorité dans ta journée et organise tes semaines le dimanche.
- Respecte le plan du coach, même quand c’est facile. ?
- Respecte les allures du plan et ce, même si tu es en groupe et que tu aimes courir avec les plus rapides.
- Contacte une nutritionniste. Ta nutrition aura un impact considérable sur tes performances et ce, même à l’entraînement.
- L’équilibre, tu connais? Parce que s’entrainer pour un objectif est une chose, et maintenir une constance pour la vie en est une autre. Comprendre la différence entre les deux.
En terminant, garde en tête que l’objectif devrait être la récompense et que le processus doit être agréable mais aussi… te mettre au défi.
Bonne saison 2018 à tous!
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Déc 16, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]
C’est avec beaucoup d’enthousiasme que toute l’équipe convie les triathlètes de toute la province ainsi que les amateurs de défis et de sports d’endurance à la 5e édition de l’événement.
Devant la formidable opportunité qui se présentait à nous, il nous fait plaisir de vous annoncer que le Triathlon Duchesnay déménage et se tiendra le 21 juillet 2018, dès la première fin de semaine des vacances de la construction. Plusieurs éléments motivent ce changement. Surtout, suite à l’édition de l’année dernière, nous cherchions un moment en juillet où le niveau de la rivière est généralement plus stable et les matins définitivement plus chauds. Naturellement, nous voulions aussi une date qui s’éloignait de la seconde moitié du mois d’août et de quelques événements prisés par les triathlètes québécois et athlètes de la région de Québec, dont l’Ironman de Mont-Tremblant et les Championnat du monde ITU de Montréal.
Cela dit, les mêmes éléments forts de l’an derniers y seront! Vous avez été nombreux à nous mentionner vos coups de cœurs pour le site en général, le bâtiment d’accueil, l’énorme zone de transition, le superbe parcours de course à pied et la prestigieuse zone d’arrivée.
Pour fêter sa 5e édition, le Triathlon Duchesnay est très heureux d’être l’hôte d’une Coupe Québec distance sprint. Soucieux de se démarquer par la qualité de l’expérience des athlètes, plusieurs cadeaux dont le T-Shirt unique 5ème édition seront remis aux athlètes. Toutefois, afin de plaire à un grand nombre de sportif et désireux d’adapter le tarif aux attentes de chacun, nous innovons avec l’option « avec ou sans » cadeaux et/ou lunch. À votre choix, vous n’avez ainsi plus à payer pour un cadeau non souhaité ou un repas non désiré.
Enfin, pour l’édition 2018, la progression du tarif d’inscription se fera par paliers. Ainsi, les 150 premiers inscrits bénéficieront d’un tarif préférentiel. Par la suite, le tarif augmentera sensiblement à chaque tranche de 300 inscriptions.
Avant vos vacances, question de partir la tête tranquille et d’en profiter pleinement, relevez le défi du Triathlon Duchesnay le 21 juillet prochains!
D’ici là, gardez la forme et bon entraînement!
Francis Bachand et Claude Martin
Directeurs Triathlon Duchesnay[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »1685,1686,1687,1688,1689,1690″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Nov 30, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Vous avez pris la décision d’essayer un triathlon ou d’être plus actif et, cette fois-ci, avez l’intention que ça dure plus de 3 semaines? Vous êtes déjà un triathlète expérimenté, mais avez envie de vous entrainer avec d’autres personnes pour rendre le tout plus agréable ou améliorer vos performances? La solution est simple : inscrivez-vous avec nous!
Initialement, nous devions énumérer des raisons pour joindre un club de triathlon, mais Capitale Triathlon est tellement TOP(!), que voici quelques raisons de joindre notre club :
- L’encadrement et le soutien sont offerts par des entraineurs. Parce que parfois on ne sait pas comment bien faire les mouvements et éviter les blessures, ou bâtir et faire progresser notre entrainement. Ne laissez rien au hasard et suivez les conseils des gens expérimentés.
- La motivation grâce aux autres athlètes. Parce que c’est normal de ne pas avoir envie de faire un entrainement et de trouver un million d’autres priorités. Mais savoir que d’autres personnes seront présentes aide à se motiver à aller aux entrainements.
- Le dépassement de soi. Côtoyer d’autres athlètes vous inspirera à vous surpasser lors des entrainements et des compétitions. Vous atteindrez vos objectifs et irez au-delà.
- L’ambiance familiale de notre club. Tout le monde y trouve sa place. Petits et grands, débutants et expérimentés. Rapides et moins rapides. Que ce soit uniquement pour le plaisir ou pour la performance, et tout ce qui se trouve entre les deux, Capitale Triathlon est un club rassemblant des gens qui deviennent tous amis, sans exception.
- Vous partagerez de beaux moments entrevous. Ex.: Vous avez couru plus longtemps ou plus rapidement? Vous avez complété votre première course ou fait un record personnel? Vous pourrez vivre ces moments avec d’autres passionnés.
- Vous partagerez aussi les mauvais. Ex.: Vous n’avez pas terminé une course? Vous n’arrivez pas à compléter certaines séances? Vous pourrez partager ces moments avec d’autres passionnés qui vous aideront à passer au travers et à en ressortir plus fort.
- Les rencontres inoubliables. Vous rencontrerez des gens extraordinaires, au parcours inspirant. Notre club est rempli de gens ayant surmonté des défis impressionnants qui ont complètement transformé leur vie. (Et pour les célibataires, oubliez Tinder et venez faire de vraies rencontres! On ne sait jamais…).
- Support lors des courses. Vous ne serez plus jamais seul lors de vos participations aux événements. Nous sommes assez nombreux pour que des athlètes et des entraîneurs soient présents régulièrement. Et si jamais il n’y en a pas, annoncez aux autres que vous êtes inscrit et il y aura certainement quelques ‘’crinqués’’ qui s’inscriront et vous accompagneront. On est (trop) souvent facile à convaincre!
- Inscription à l’avance aux courses de la série IRONMAN. Nous faisons partie du programme ‘’Triclub’’ de la série IRONMAN, alors si vous avez les fonds suffisants, vous pouvez vous inscrire aux courses avant l’ouverture publique officielle. Certaines courses sont si populaires qu’il est parfois plus difficile de s’inscrire que de compléter l’événement…
Alors, qu’attendez-vous? On se voit au prochain entrainement?
Andréanne Germain
Dave Vigneault
Stéphane Jolin
Ambassadeurs Capitale Triathlon
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »1590,1591,1583″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Nov 22, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column width= »2/3″][vc_column_text]Le volet jeunesse Capitale Triathlon grandit rapidement. En plus de compter sur un volet civil de maintenant 23 jeunes, le club s’assure une relève solide avec un Parascolaire à l’école Saint Jean Eudes et un profil triathlon au Cégep Mérici.
Afin de bien séparer les différentes habilités liés au différents groupes d’âges, les séances d’entraînement sont maintenant séparés en 3 groupes :
• Groupe 8 À 12 ANS
• Groupe 13 À 15 ANS
• Groupe Junior
Parce que bouger devrait toujours se faire avec le sourire!
Les détails du volet jeunesse sont disponible par ici
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_column_text]
HORAIRE VOLET JEUNESSE
Course vélo et Musculation:
- Samedi 9h30 Course à pied intervalles PEPS Université Laval et Polyvalente Saint-Jean-Eude
- Lundi 18H30 Musculation Fonctionnelle et Course à Pied Polyvalente Saint-Jean-Eude
À la natation, plus de 5 choix :
Mardi:
- MINI (12 ans et moins) 16h45-17h30 Cégep Limoilou
- BRONZE (plus de 12 ans) 16h30-17h30 Cégep Limoilou
Mardi:
- MINI 16h45-17h30 Cégep Limoilou
- BRONZE 16h30-17h30 Cégep Limoilou
Mercredi:
- MINI (12 ans et moins) 18h00-18h45 Piscine Hamel
Jeudi:
- MINI (12 ans et moins) 16h45-17h30 Cégep Limoilou
- BRONZE (plus de 12 ans) 16h30-17h30 Cégep Limoilou
Vendredi :
- MINI (12 ans et moins) 16h45-17h30 Cégep Limoilou
- BRONZE (plus de 12 ans) 16h30-17h30 Cégep Limoilou
Samedi :
- MINI (12 ans et moins) 7h00 à 8h00 Cégep Limoilou
- BRONZE (plus de 12 ans) 7h00-8h30 Cégep Limoilou
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »1517,1519,1520,1521,1536,1522,1523,1524,1525,1526,1527,1518,1528,1535″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Nov 18, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Christopher Busset, un athlète de 25 ans originaire de Québec, a un CV sportif très impressionnant. Il a connu son meilleur résultat en 2017 en passant le fil d’arrivée du Ironman 70.3 Mont Tremblant 1er Groupe d’âge et en 11e position overall, avec un temps de 4h06.
Cette prochaine saison, il passe chez les professionnels, son objectif étant de se qualifier pour le Championnat du monde Ironman 70.3.
Afin d’assurer un encadrement de qualité et un soutien à long terme, nous avons rallié avec nous les entreprises Argon 18, Zone 3 et Café Barista. Cette équipe de partenaires sera d’un soutien et d’une importance cruciale dans son développement pour les années à venir.
Christopher se joint donc aux rangs de Capitale Triathlon. C’est avec le plus grand plaisir que je travaillerai de concert avec ce grand athlète afin de nous rendre aux Championnats du monde Ironman 70.3.
Au nom de tous les athlètes de la grande famille, je tiens à souhaiter la bienvenue à Christopher!
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »1364,1365″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Nov 13, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]
L’automne est bien installé et représente une saison de transition, de repos ou de changement pour la majorité des coureurs. C’est souvent un bon moment pour prendre quelques semaines de repos après une saison d’été bien chargée, ou de profiter des feuilles et des couleurs pour essayer la course en sentier. Par contre, il faut être prudent lorsqu’on intègre des changements dans notre routine de coureur.
La course en sentiers
La course en sentier apporte beaucoup de bénéfice, du fait qu’elle est moins rythmique et ‘straightforward’ que la course sur tapis ou sur route. Elle permet de développer la proprioception, la stabilité et les muscles latéraux du corps. Par contre, elle apporte une surcharge du travail excentrique des quadriceps lors des descentes, et une plus grande sollicitation des muscles stabilisateurs au niveau de la cheville. Il faut donc être progressif lorsqu’on décide de faire des sorties en sentier, diminuer légèrement nos distances et faire des petits pas lors des descentes de côtes, qui sont la partie la plus stressante au niveau musculaire des courses en trail.
Prudence cet hiver!
Par le fait même, lorsque l’hiver apportera son lot de neige, de glace et de gadoue, la prudence et la progression est de mise! La neige offre une surface avec beaucoup moins d’adhérence, ce qui amène un plus grand travail des muscles de la chaîne postérieure, principalement au niveau des mollets. Il faut donc être conscient qu’on ne peut pas avoir les mêmes exigences côté vitesse de course et distances lorsqu’on travail contre le vent, le froid et une surface glissante qui ne permet pas la même poussée que l’asphalte. Je considère que la course l’hiver devrait être perçue comme une façon de se garder un ‘fond’ de course, une façon de profiter de l’hiver et de travailler d’autres qualités en attendant le retour du beau temps.
Être progressif
Pour ceux qui décident de se rabattre sur le tapis roulant, sachez que c’est au printemps que vous devrez penser à adaptation et progression. Le tapis peut être un bon outil de remplacement, mais il faut être conscient courir dehors, avec le vent, les faux plats et le fait que ce soient les muscles qui doivent pousser pour nous propulser est un peu plus demandant, donc il faut être prudent au printemps lors des premières sorties dehors.
C’est tentant quand on revoit le soleil et le beau temps de se laisser emporter et courir juste ‘quelques kilomètres de plus’ mais ces quelques petits kilomètres peuvent avoir un prix… le prix d’un rendez-vous en physiothérapie!
Amusez-vous, faites des folies mais pensez progression et adaptation!
Sylvie Martin , Physiothérapeute PCN La Capitale
Pour consulter la biographie ou contacter Sylvie Martin cliquer ICI!
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Nov 6, 2017
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Vous avez entendu parler de XTERRA ? De Swimrun ? Si oui lisez ces quelques lignes pour en savoir plus et connaître comment Capitale Triathlon vous aidera dans votre développement et l’atteinte de vos objectifs. Et si vous n’en avez jamais entendu parler, encore plus de bonnes raisons de continuer à lire 😉
Qu’est-ce que le XTERRA ?
Premièrement, il faut savoir que XTERRA est une marque déposée (comme Ironman). Une série mondiale mène à un championnat du monde sur l’ile de Maui, Hawaii à chaque année. En fait, le XTERRA est une version du triathlon (connue aussi sous le nom Cross-Triathlon) qui rallie natation, vélo de montagne et course en sentier. Triathlètes aguerris : attention ! Dénivelé au menu 🙂 Le cross Triathlon a été introduit pour la première fois sur l’ile de Maui en 1996 sous le nom de Aquaterra (mer et terre). Ensuite devenu XTERRA (et sponsorisé par Nissan qui a commercialisé un modèle de véhicule inspiré du triathlon….), le circuit mondial des XTERRA bat son plein depuis ce temps. Et vous savez quoi ? Le Québec est l’hôte, à chaque année depuis 2014, d’une épreuve du circuit XTERRA qui permet une qualification à son prestigieux championnat du monde. Particularités de la discipline du cross- triathlon (ou XTERRA ou X-triathlon) ? Épreuve ou se mesurent triathlètes (experts dans les trois sports et dans les transitions), « mountainbikers », et coureurs de trail ! Lesquels de ces athlètes sont les plus aptes à être les plus rapides ? Autre aspect du XTERRA : le plaisir et le dépassement de soi (et vaincre la peur de terminer la face pleine de bouette ;-)). Un esprit de famille et une vibe incroyable sont aussi au rendez-vous !
Le Swimrun maintenant ?
Le swimrun a connu ses débuts en 2002 où des amis se sont lancés un défi (de manière très inusitée, après plusieurs bières ;-)) et est une discipline qui consiste à courir et nager (de manière répétée) dans la nature et en rejoignant des plans d’eau qu’il faut traverser à la nage. La principale particularité du Swimrun : on peut utiliser le matériel qu’on veut, mais on doit le conserver avec nous tout le long de la course (vous imaginez ce que vous voulez.. palmes, paddles, souliers de course….), ce qui signifie qu’il n’y a aucune zone de transition… On termine avec le matériel qu’on a sur la ligne de départ ! Le swimrun se déroule soit individuellement ou en binôme (en équipe de deux). Fait intéressant ? Oui vous pourrez participer à un Swimrun à Québec à l’été 2018, le lendemain du XTERRA Québec !
Et Capitale Triathlon dans tout ça ?
Votre club vous offre en primeur cette année un volet XTERRA ainsi qu’un volet Swimrun. Que vous souhaitiez relever le défi de terminer une de ces épreuves, que vous souhaitiez remporter une de ces courses, que vous souhaitiez vous entrainer dans la nature (vélo de montagne, course en sentier, nage en eau libre) ou parfaire vos connaissance et aptitudes dans une ou plusieurs des disciplines du XTERRA ou du Swimrun, vos entraineurs des volets XTERRA et Swimrun sont là pour vous ! Au menu :
- Course en sentier (automne 2017)
- Course sur neige (hiver 2018)
- Deux sorties organisées en Fatbike (hiver 2018)
- Entrainements de course en sentiers et de vélo de montagne à compter de mai 2018
- Pratiques de course (natation, vélo de montagne, course en sentier) sur le circuit du XTERRA au Lac Delage
- Pratiques de Swimrun (natation, course en sentier avec équipement) sur le circuit du Swimrun au Lac Delage
Besoin de plus d’information ?
Entraineur responsable du volet XTERRA et Swimrun : xterra@capitaletriathlon.ca
Informations sur web : https://capitaletriathlon.com/xterra/
Christian St-Pierre , Entraîneur Capitale Triathlon
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Oct 31, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Le camp Utah se déroule à Santa Clara, au pied du mythique Snow Canyon. 2 semaines sont à l’horaire. 31 mars au 7 avril ADULTE 7 au 14 avril JUNIOR
Le camp est axé sur les 3 sports et la qualité. Chacune des journées saura placer une emphase sur l’un des 3 entraînements. Le relief et l’élévation de Santa Clara offre des conditions idéales. L’entraînement se fait en 3 groupes respectant des vitesses différentes selon ceux-ci. Chacun des groupes à un entraineur. Les sorties varient entre 60 et 120 KM selon les groupes.
Le tarif
Le tarif (995$) inclut l’hébergement, la nourriture(dîners et soupers), le chef cuisinier sur place pour les soupers et dîners, les séances dirigés par 3 entraîneurs et l’accès à la piscine. Il te reste donc à prévoir:
- Ton billet d’avion (+/- 500$ )
- La location d’une voiture qui se fait habituellement en groupe de 4 (+/- 75$ par personnes)
RÉSERVE TA PLACE EN CLIQUANT ICI!
Voici quelques photos!
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »771,772,1334,739,1330,1331,1332,1335,1333″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Oct 30, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]La fin de semaine dernière avait lieu le tout premier camp du programme propulsé par Barista. Le squad de Montréal et le Squad de Québec était donc réunis pour une fin de semaine d’entraînement, de technique et de plaisir!
Parce qu’il n’y a pas que le triathlon, les athlètes ont eu la chance de faire la connaissance (et d’échanger quelques coups) avec l’inspirante olympienne (Rio 2016) Arianne Fortin.
Également au programme sur le camp, discussion médias sociaux avec coach Alex et évaluation du coup de pédale avec moi-même.
Le programme Barista, c’est aussi le soutien des partenaires très importants. Les jeunes ont donc été en mesure de tester les vélos Argon 18 en plus de jaser positionnement avec l’ami Guillaume Coutu de Physio Vélo.
Le prochain camp aura lieu en janvier dans la région de Québec. Les jeunes auront la chance de s’initier au Biathlon et au Fat Bike.
Voici quelques photos!
Francis Bachand
Entraîneur et fondateur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »1298,1299,1300,1301,1302,1303″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Oct 25, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]À cette période de l’année je publie habituellement un article aidant à bien choisir ses objectifs et se motiver pour la saison suivante. Tu peux lire ici l’article parlant du processus, publié en novembre 2016.
Aujourd’hui je vais tenter de te « challenger » un peu, toi, le triathlète pantouflard.
Ton objectif…
Ton objectif pour 2018 est surement déjà décidé. Pas le choix, avec les inscriptions hâtives aux évènements, il faut faire vite afin de s’assurer une place.
Tu as longuement réfléchi et à soigneusement choisi ta ou tes courses. Certes, tu les as placés en ordres d’importance et tu en as discuté avec ton entraîneur. Bon, maintenant, et si on changeait un peu!
Ton éthique
Tu nages 2 à 3 fois semaines, pas plus, « c’est difficile de trouver l’horaire parfait et de concilier travail, famille entraînement… » As-tu prévu placer une emphase natation cette année? As-tu regardé les opportunités de faire « différent » et de joindre un club de natation. Et quand tu nages, as-tu vraiment l’impression de progresser? Tu te donne la chance en nageant plus lentement? Tu de donne les bons outils en étant filmé? Bah, tout ça ce n’est peut-être pas « requis » mais qui ne veut pas progresser?
Tu suis la même « diète alimentaire » et tu as ce petit surpoids? As-tu l’intention de le perdre cette année? Et si tu essayais de « racer » un peu plus léger à la place de te soucier du poids de tes supports à bidon?
Ta valeur
Tu te mesure des fois? Nah, pas ta grandeur, ta vitesse! Bon je sais ce n’est pas plaisant avoir l’heure juste et savoir sa vraie valeur sur 400 mètres crawl ou 3000 mètres Course, mais bon, à toi de voir hein, peut-être que sa peut aider de savoir la vérité!
Quand vient le temps de décider ta course, ta ligne d’arrivée et ton moment de gloire tu es là et tu es impliqué dans le processus! Il est facile, vraiment facile, de s’accrocher à un résultat plutôt que de prendre conscience du chemin qu’il faudra faire pour s’y rendre.
Mais te challenge tu vraiment? Veux-tu vraiment t’améliorer? Qui ne veut pas devenir meilleur!
« outside the box »
Pour la prochaine année, essaie les choses que tu n’as pas encore fait, travail là ou tu ne travail normalement pas ou peu. Travail, « outside the box » être en mesure de te sortir de ta zone de confort et travailler ce que tu déteste le plus fera de toi un meilleur athlète.
C’est entre le mois de novembre et juin que tu construis ta saison 2018… As-tu le goût qu’elle soit différente?
Bon entraînement et bon processus!
Francis Bachand
Entraîneur et Fondateur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Oct 20, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Je cherchais un titre accrocheur pour ce petit blog, maintenant que j’ai votre attention, il s’agit bien sûr d’un article qui parle de triathlon. Plus particulièrement, devrais-je choisir des compétitions de longues haleines ou plutôt de petites distances et mettre l’emphase sur la rapidité. Avant d’en arriver à une décision il y a plusieurs points à soupeser, en voici quelques uns.
Bien se connaître
Qu’est-ce qui vous as attiré vers ce sport au tout début? Il est vrai que vos objectifs peuvent changer en cours de route, mais est-ce que ce changement vient vraiment de vous, ou vous laissez vous influencer par les objectifs de gens vous entourant ou encore des médias sociaux?
Premièrement, à quoi ressemble le temps que je peux réellement consacrer à l’entrainement? On ne se contera pas de mensonge ici, pour faire de la longue distance le secret c’est le volume, beaucoup de volume, ce qui implique beaucoup d’heure à consacrer à l’entrainement. Il est bien possible de concilier famille, travail et l’entraînement si c’est vraiment ce que vous voulez faire. Lorsque j’ai questionnée l’heure très matinal d’un training, on m’a répondu « nous les Ironman on se lève tôt » c’est une réalité que je n’avais pas encore connue à cette époque!
Deuxièmement, quel est votre budget? En effet certain diront que c’est le même équipement peut importe la distance, mais je vous conseil quand même certains « upgrade » pour rendre l’expérience un peu plus agréable [Sujet de ma future chronique]. Pour donner un court exemple, l’inscription à elle seule pour un demi ironman coûte aux alentours de 300$ et pour un full près de 900$. Il est bien possible de faire de la longue en gardant un budget réaliste, mais garder tout de même cela en tête
Troisièmement, quel genre d’effort votre corps peut supporter et quel est votre condition physique? Est-ce que vous préférez les petites vites ou vous trouvez que ça ne dure jamais assez longtemps! Comment vous sentez vous après de longs entraînements, est-ce que généralement vous récupérez bien? Encore là, je sais que peu importe la distance parcourue tout dépend de l’intensité que l’on y met, car l’un comme l’autre, ça peut être très taxant physiquement, la différence se verra dans le temps de récupération.
Le point de départ
Ceci est loin d’être une liste exhaustive, mais c’est selon moi la base du questionnement. Ceci étant dit, voici comment mon raisonnement c’est fait, lors d’un weekend de golf au Mont-Tremblant en 2013 qui par pur hasard était lors du Ironman. J’ai vu des gens exécuter le parcours avec une détermination contagieuse, j’ai aussi remarqué qu’il y avait toutes sortes de personnes sur le parcours, pas seulement la machine que l’on peut voir en page couverture d’un magazine. De là l’idée s’est mise a germer dans ma tête, est-ce le défi que je cherchais pour recommencer à m’entraîner plus sérieusement? Car pour être franc, à cette époque, le golf et la musculation étaient pas mal toute l’action que mon corps subissait, oui j’avais une bonne base en course à pied, mais coté vélo et nage hum….
La deuxième étape décisive pour moi a été de commencer à faire du triathlon en 2014. Ça tombait bien, je travaillais avec un ancien triathlète qui a bien voulu m’aider à prendre la bonne direction côté entrainement et équipement. En partant je savais que je voulais faire un Ironman, c’était mon objectif ultime et ce, même avant d’avoir souffert lors de mon premier triathlon sprint! Je m’étais fais un plan sur 4 ans, c’est simple, la première année je fais des sprints, l’année suivante olympique et ainsi de suite jusqu’au Ironman la quatrième année. Bon, je n’ai pas suivi mon plan à la lettre, car finalement j’ai réalisé mon objectif ultime lors de ma troisième année. À ma défense, j’avais fait beaucoup de volume lors de l’hiver qui a précédé ma troisième saison.
En conclusion, peu importe vos objectifs et aspirations, vous avez la chance de faire parti d’un club qui a une richesse inestimable en expériences! Alors à vous d’en profiter en questionnant les autres athlètes et entraîneurs. C’est en écoutant autant les bonnes que les mauvaises expériences, qu’on en apprend davantage. PS: Dave se fera probablement un plaisir de vous raconter mes pires
Sur ce, je vous souhaite une excellente saison à la hauteur de vos attentes!!
Jocelyn Paré
Athlète élite et entraîneur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Oct 2, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]Le 28 septembre dernier avait lieu les 5 ans Capitale Triathlon. Afin d’inspirer nos athlètes pour la saison 2018, Magali Tisseyre, athlète mentor du volet élite Capitale Triathlon est venue nous livrer une conférence authentique et vraiment motivante
La soirée était également l’occasion d’annoncer nos athlètes ambassadeurs et athlètes élites, mais aussi de remettre les 3 méritas annuels du club.
Nous tenons à remercier les partenaires présents Argon 18, Mathieu Performance et Naak!
Pour visoner le vidéo Capitale Triathlon : https://www.youtube.com/watch?v=NtrtUxIO-yw
Merci!
Voici le résumé des gagnants et quelques photos![/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]
Athlètes Ambassadeurs Capitale Triathlon:
- Andréanne Germain
- Stéphane Jolin
- Dave Vigneault
Athlètes Élites Capitale Triathlon:
- Simon Gagné
- Jocelyn Paré
- Valérie Lalancette
- Véronique Proulx
Méritas 2017 Capitale Triathlon:
- The Racer : Dave Vigneault
- The Funny: Thomas Bilodeau
- The Leader : Valérie Lalancette
Félicitation à tous les gagnants!
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][vc_gallery type= »image_grid » images= »1113,1114,1115,1116,1117,1118,1119,1120,1121,1122,1124,1128,1129,1131,1132,1133,1134,1135,1125″ img_size= »500×500″ column_number= »3″ grayscale= »no » images_space= »gallery_with_space »][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Juin 28, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Voici une super résumé de course de l’ami et ambassadeur Capitale Triathlon Nicolas Beaulieu! Bonne lecture!
Triathlon #4 : Triathlon avec finale désastreuse ! Samedi Gabrielle Néron et moi prenions le départ du Triathlon Drummondville cette fois-ci sur la distance Olympique 1500m / 40 km / 10 km. La distance me fait un peu peur, mais j’arrive sur place relax, petite semaine au travail avec un congrès de trois jours à Québec et les grands-parents qui gardent notre petite fille pour que l’on puisse aller dormir tranquilos à l’hôtel à Drummondville la veille.
Section liquide : J’étais assez confiant pour cette portion, car j’ai fait un test à la piscine mardi soir qui a résulté en 20 min 05 pour 1500 m pull/Paddle. Mais là ça a VRAIMENT bien été à la natation, j’étais devant du début à la fin et le résultat c’est mon temps le plus rapide à vie sur un olympique 20 min 22.
Transition #1, tout est sous contrôle
Section bicyclette : Je suis essoufflé de la natation sur les premiers kilomètres, mais je prends un bon rythme qui s’avère être un excellent rythme puisque ce sera mon vélo le plus rapide en olympique 1h12. Passons aux choses sérieuses c’est-à-dire ce qui se passe dans ma tête ! Sur le premier 20 km je crois bien être 2ème ou 3ème mais je constate à chaque virage le peloton de Monsieurs qui s’en vient me rattraper progressivement. Je me dis que si je peux tenir bon jusqu’au kilomètre 30, ils ne pourront pas se sauver bien loin pendant les 10 km qu’il va rester et avec un peu de chance (parce que tout le monde sait que c’est une question de chance le triathlon) je pourrais les rattraper à la course parce que j’avais de grandes ambitions pour la course à pied. Finalement, à partir de 25 km je commence à me faire dépasser je dirais par 5-6 personnes, et ils vont VRAIMENT plus vite que moi. De plus, à partir de 30 km je sens que mon réservoir d’essence commence à baisser, mais je ne m’en soucie pas trop, en me disant que c’est normal, c’est quand même une épreuve qui dure plus de deux heures, la fatigue fait donc partie des éléments à gérer.
Transition #2 : Je n’ai pas assez bougé mes orteils pendant le 40km, mes pieds sont complètement engourdis et j’ai l’impression de courir sur des moignons, qu’importe, je semble avoir un talent naturel à courir sur des moignons, car je ne tombe pas par terre en courant à côté de mon vélo jusqu’à la zone de transition. Cet engourdissement me donne même le luxe de ne pas me soucier des petits cailloux qui traînent par terre parce que de toute façon je ne sens rien.
Section finale et brutale : Je débute la course à pied, retrouve rapidement des sensations sous mes pieds et je prends un rythme que je crois bon à ce moment, il y a 4 allers-retours à faire pour le 10 km. Premier aller, tout va bien je rattrape progressivement les Monsieurs qui m’ont dépassé à vélo tout à l’heure. Il fait chaud pas mal, mais ce n’est pas grave j’ai bien bu en vélo et je me verse un verre d’eau sur la tête (en plus d’en boire un) à chaque station d’hydratation de manière préventive, car il doit ben faire 30/35 et les nuages ont déserté la place. Deuxième aller-retour ça commence à se gâter, je sens que mon rythme ralenti et je suis incapable de me « relancer », mais je me dis que tout le monde est en train de suffoquer de chaleur et que si je garde un rythme raisonnable je pourrai rattraper ceux qui tomberont au combat. Troisième tour sur quatre, là ça ne va vraiment plus, je me pose la question à savoir comment je vais réussir à finir ce triathlon-là, j’ai l’impression d’être à la fin d’un marathon, je n’ai plus d’amplitude, disons que ça ressemble à du jogging. Quatrième et INTERMINABLE tour, je trotte, en fait je m’interdis d’arrêter ou de marcher, mais c’est strictement psychologique, car je n’ai plus de posture et même si je fais semblant de courir je vais clairement plus lentement que quelqu’un à la marche et malgré cette vitesse fulgurante on dirait que je ralentis à chaque 100m. Un ambulancier à vélo vient s’enquérir de mon état et je pars à rire en lui disant « j’ai vraiment l’air à ce point magané ? » Ambulancier : « pas mal oui ! » Dernier kilomètre, je « cours » en regardant par terre et j’ai vraiment l’impression de mener un combat pour me rendre à la ligne d’arrivée. Gabrielle qui me croise dans cet état glorieux me dira plus tard qu’elle s’est demandée ce qu’elle ferait si elle me rattrapait et que j’étais écrasé par terre (parce qu’elle était en train de vivre une course parfaite !) alors je devais vraiment avoir bonne mine pour qu’elle s’attende à me retrouver au sol. Les bénévoles le long du tapis menant à la ligne d’arrivée me demandent si ça va et je leur réponds que tout est sous contrôle que je suis concentré à faire mon sprint final (à 3 km/hr). J’ai fini ![/vc_column_text][vc_single_image image= »665″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]J’aurais aimé que ça se passe autrement parce que c’était parti pour être toute qu’une course, mais j’ai bien apprécié l’opportunité de me battre contre moi-même et je suis assez fier d’avoir tenu bon malgré cette déchéance totale et complète en fin de parcours. Est-ce que c’est le fait de ne pas avoir mangé pendant le triathlon, la chaleur, le manque de volume pour une telle distance ou le vélo qui m’a tiré trop de jus, toutes ces réponses, aucune de ces réponses, je ne le saurai jamais et ce n’est pas grave. C’est aussi pour ça qu’on s’inscrit à des triathlons, pour voir elle est où la limite.[/vc_column_text][vc_single_image image= »663″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]Étrangement, malgré cet impressionnante finale, il y avait tellement peu de participants que j’ai une troisième place dans mon groupe d’âge (sur 4 ? )
Vous allez avoir une pause de mes résumés de compétition, car on prend trois grosses semaines de pause avant le prochain, mais comme j’ai de nombreux compatriotes de Capitale Triathlon qui vont s’amuser sur le parcours du Demi-Ironman du Mont-Tremblant dont plusieurs pour une première fois, j’espère qu’on pourra vous lire !
Nicolas – Ambassadeur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Juin 19, 2017
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Voici une super résumé de course de l’ami et ambassadeur Capitale Triathlon Nicolas Beaulieu! Bonne lecture!
Triathlon #2 et non le moindre, Challenge Antoine Manseau – Triathlon de Jolietteque j’ai affectueusement surnommé Joliette International, un rendez-vous presque annuel depuis 6-7 ans je crois. Plein de bons souvenirs à cette compétition : location de chalets à St-Liguori avec Joel TourignyCatherine DuboisMélissa Giguère Sydney Tremblay, les épopées du Motel Bonsoir avec Vincent Béchard Gabrielle Roy et Gabrielle Néron, les soupers d’avant course avec parfois trop de boisson…énergétique. Le premier triathlon où Gabrielle a dû annoncer dans la zone de transition aux autres athlètes du club qu’elle ne faisait pas le triathlon même si elle était inscrite parce qu’on venait tout juste d’apprendre qu’elle était enceinte de notre fille, et premier triathlon accompagné de ladite héritière ! Bref, Joliette c’est tôt dans la saison, il fait souvent froid, on a eu de la pluie …à plusieurs reprises et je l’ai déjà complété avec manteau, gants et tuque, c’est à plus de deux heures de route de chez moi, mais j’aime toujours y retourner.
Suffit la nostalgie, édition 2017, je prends la route avec coach Isabelle Grenier (oui oui la fille qui a plus d’Ironman derrière la cravate que de sprint qui décide de s’attaquer à Joliette, elle est finalement très à l’aise avec le sprint également puisqu’elle revient à la maison avec un podium en poche !) le matin même, en route, on philosophise (mot inventé en instance d’approbation par l’Office québécois de la langue française) et même si je parle rarement de mes temps/classements, j’avoue à Isabelle le fait que mes 7 triathlons sprint de l’été dernier j’ai fait l’équivalent de 1 heure 11 minutes et Valcartier il y a quelques semaines s’est soldé par 1heure 11 minutes…encore ! Alors nouvelle stratégie, rouler plus fort en vélo (dans le sens de hors de ma zone de confort chérie) quitte à casser violemment à la course pour espérer 1h10, 59 secondes. En tant que scripteur médiocre, je vous vends immédiatement le punch de mon histoire j’ai fait 1h10 et 01 seconde ! ? Comme ça si tu ne veux pas lire jusqu’au bout tu peux arrêter ici parce que tout le reste raconte ce qui s’est passé pendant 1h10 et 01 seconde[/vc_column_text][vc_single_image image= »669″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]Trilogie sportive : L’EAU, elle était froide, première fois que je participe à une course avec wetsuit obligatoire, mais on l’anticipait tellement froide que ce n’était pas si pire une fois le petit « buzz » du cerveau gelé en sautant à l’eau (similaire aux sensations de boire une slush trop vite lorsqu’il fait 35 dehors (merci Marc-André Prégent pour l’analogie). À Joliette, on nage dans une rivière avec le courant dans le dos, donc record personnel assuré à ceux qui hésite encore à tenter leur chance dans cet évènement unique ! Le courant était particulièrement dynamique cette année et j’étais un peu trop excité à l’idée d’en profiter, j’ai donc été premier nageur pendant environ 50/60% (estimation) de la course jusqu’à ce que je commence à manquer de gaz et que les premiers gars me dépassent, je me suis calmé les nerfs et j’ai profité de leur draft par la suite, après tout je le méritais ?
Transition #1, tout va bien, il fait beau, il fait chaud, c’est l’été, je dirais même que j’ai transitionné (deuxième nouveau mot) assez vite !
Balade à vélo : Tel que mentionné précédemment j’applique mon plan et je pousse fort (plus que d’habitude) j’ai un bon discours mental (voir précédent résumé…(c’était pas le cas à Valcartier)) je me dis que les séances de spinning de Francis Bachand cet hiver avec Capitale Triathlon m’ont surement rendu plus endurant sur le vélo, on a travaillé tellement fort ! et ça fonctionne, les jambes répondent et j’ai bien du plaisir à être inconfortable (il y a certainement dans ce dernier bout de phrase une des clés du succès), 20 km plus tard, je me sens bien, à ma grande surprise, en sortant du vélo
Transition #2, encore une fois sans anicroche tout va bien, j’ai rien à dire sinon qu’une excellente chanson joue dans les haut-parleurs à ce moment, c’est la première fois que je l’entends …not ! et ça me garde dans une « vibe » très positive https://youtu.be/kJQP7kiw5Fk
Retour avec les deux pieds sur terre (la course c’est le seul moment d’un triathlon où l’on reconnecte avec le sol…pensez-y) là, j’ai mal, mais dans ma tête j’ai un bon rythme jusqu’à ce que je constate que sur les 3 premiers tours je me fait dépasser par 20-25 personnes (19 pour être précis en regardant sur Sportstats par après (merci Dominic Michaud ? ), je me demande s’ils en sont à leur premier tour puisque je me faisais accroire que j’avais un bon pace, ce qui n’était pas tout à fait le cas finalement et qui explique probablement pourquoi je n’ai pas cassé à la course. j’étais de retour dans ma douce zone de confort ?
Bref, je suis TRÈS heureux de ma course et j’ai VRAIMENT hâte de faire le triathlon de Québec en fin de semaine pour essayer un nouveau stratagème de zone inconfortable perpétuelle. D’ailleurs qui fait ce sprint en fin de semaine, la rumeur cours que la moitié du club y sera !? Si vous me voyez, dites-moi que j’ai l’air de trouver ça trop facile !
Ci-joint vous trouverez deux photos inédites, une où l’on voit bien ma face de gars qui pense qui est en train de courir vite et une autre où je prends le temps de divertir les bénévoles au stand de lunch (toujours un de mes moments favoris).
Félicitations à tous les athlètes de Capitale Triathlon présents à Joliette pour vos performances !
Nicolas, ambassadeur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
par Francis | Oct 3, 2015
[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Les compagnies font un marketing incroyable pour vous faire croire que vous avez besoin de leurs produits. Ce gel ou ce liquide vous fait t’il vraiment avancer plus vite? S’arrêter et décomposer chaque produit nous permet de réaliser que toute forme de glucide modifié, peut être facilement remplacée sous forme naturelle (non-modifié).
Un Ironman sans gel, sans produit chimique ou même sans produit transformé… Possible? C’est la question à laquelle j’ai voulu répondre après avoir souffert de crampes abdominales et de problèmes gastriques lors de ma première tentative sur cette magnifique distance. Quelques semaines après avoir franchit la ligne d’arrivée de l’ironman Tremblant 2012, je me promets une tentative future sur cette distance, cette fois, complètement naturel, appelons-ça, un Ironman propre… sans jeu de mots.
L’objectif premier de ce petit test de « propreté » était de reproduire l’alimentation normale d’une journée, en utilisant des aliments naturels et le moins modifiés possibles. Cette alimentation devait, dans le meilleur des mondes, pouvoir se compacter et de se conserver sans trop de logistique. Évidement, il m’a fallu tester tous ces beaux glucides à l’entraînement et surtout, travailler de concert avec ma nutritionniste préférée, Josiane Tanguay.
Étape 1, les essais… et les erreurs
Contrairement aux habitudes alimentaires normales d’un athlète, mon objectif allait être pour quelques semaines, de manger mes repas le plus près possible en temps de mes entraînements de course et de vélo. La réaction de l’estomac allait donc être observée, l’élimination de certains types d’aliments débutés. J’éliminerai rapidement tout apport en caféine de ma diète. La caféine me donne un petit coup de main côté éveil certes, mais me propulse à long terme dans les petites cabines bleues communément appelées… la toilette. Les produits retenus sont pour le moment simples et surtout faciles à traîner durant la pratique des 2 sports; mangues, dattes, figues et pita avec beure de soja et cassonade sont pour le moment les gagnants.
Quoi boire durant ce défi?
Évidement, qui dit naturel dit faire une croix sur l’idée de boire les boissons énergisantes et d’électrolytes de type Poweraid, Perform et autres. Ma recette sera alors plutôt simple, 1 bidon de 750 millilitres, rempli de moitié d’eau, moitié de jus de raisin blanc. Ajoutez à cette potion deux cuillères à soupes de sirop d’érable et 1 cuillère à thé de sel et le tour est joué.
La gestion, durant la course
Comment traîner cette « épicerie » avec moi durant la compétition représente un défi en soi. Je sépare donc le tout en 2 et prévois utiliser le ravito au kilomètre 90 du vélo et 21.1 de la course afin de refaire le plein. Le départ à vélo se fait donc avec 2 petites sacoches contenant dattes, figues, mangues séchées et pitas magiques. Le sandwich aux œufs m’attend à la mi-chemin du vélo, au frais dans une boîte à lunch. Mon bidon principal contient la formule maison mentionnée plus tôt et doit être consommé dans la première moitié du parcours vélo. Vous le devinerez, l’arrêt du kilomètre 90 me permet de faire le plein et la deuxième portion du vélo se veut une copie de la première. Tout au long du parcours vélo, je ne prends que les bouteilles d’eau offertes dans les stations placées à chaque 35 kilomètres. J’écoute ma faim, je mange ce que j’ai envie.
La portion course
Les fruits séchés et mon « gel maison » seront mes 2 meilleurs amis pour les 42.2 kilomètres de course à pied. Je porte une ceinture avec 2 bouteilles de 100 millilitres contenant chacune une compote de pommes maison, 2 cuillères à soupe de sirop d’érable et une pincée de sel. Je mange aux besoins les figues que je traîne dans ma ceinture. Les ravitos disponibles aux 2 kilomètres me permettent de manger banane, orange et de boire de l’eau. Évidement, le ravito de mi-chemin me serviront afin de refaire le plein et de manger le pain aux bananes secret de ma nutritionniste!
Et la conclusion….
Je ne suis pas de ceux qui pensent qu’un changement à lui seul peut faire la différence. Il est aussi très difficile de comparer 2 courses car ils sont séparées par un espace temps, dans lequel nous gagnons en connaissance et aussi en forme physique. Je terminerai quand même cet article en vous disant que j’ai battu mon temps de plus d’une heure et ce, sans visite répétée dans les boîtes bleus, sans visite post course à l’hôpital, mais surtout, en grande forme et avec un sourire!
Bon entraînement![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]