[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Je cherchais un titre accrocheur pour ce petit blog, maintenant que j’ai votre attention, il s’agit bien sûr d’un article qui parle de triathlon. Plus particulièrement, devrais-je choisir des compétitions de longues haleines ou plutôt de petites distances et mettre l’emphase sur la rapidité. Avant d’en arriver à une décision il y a plusieurs points à soupeser, en voici quelques uns.

Bien se connaître

Qu’est-ce qui vous as attiré vers ce sport au tout début? Il est vrai que vos objectifs peuvent changer en cours de route, mais est-ce que ce changement vient vraiment de vous, ou vous laissez vous influencer par les objectifs de gens vous entourant ou encore des médias sociaux?

Premièrement, à quoi ressemble le temps que je peux réellement consacrer à l’entrainement? On ne se contera pas de mensonge ici, pour faire de la longue distance le secret c’est le volume, beaucoup de volume, ce qui implique beaucoup d’heure à consacrer à l’entrainement. Il est bien possible de concilier famille, travail et l’entraînement si c’est vraiment ce que vous voulez faire. Lorsque j’ai questionnée l’heure très matinal d’un training, on m’a répondu « nous les Ironman on se lève tôt » c’est une réalité que je n’avais pas encore connue à cette époque!

 

Deuxièmement, quel est votre budget? En effet certain diront que c’est le même équipement peut importe la distance, mais je vous conseil quand même certains « upgrade » pour rendre l’expérience un peu plus agréable [Sujet de ma future chronique]. Pour donner un court exemple, l’inscription à elle seule pour un demi ironman coûte aux alentours de 300$ et pour un full près de 900$. Il est bien possible de faire de la longue en gardant un budget réaliste, mais garder tout de même cela en tête

 

Troisièmement, quel genre d’effort votre corps peut supporter et quel est votre condition physique? Est-ce que vous préférez les petites vites ou vous trouvez que ça ne dure jamais assez longtemps! Comment vous sentez vous après de longs entraînements, est-ce que généralement vous récupérez bien? Encore là, je sais que peu importe la distance parcourue tout dépend de l’intensité que l’on y met, car l’un comme l’autre, ça peut être très taxant physiquement, la différence se verra dans le temps de récupération.

 

Le point de départ

Ceci est loin d’être une liste exhaustive, mais c’est selon moi la base du questionnement. Ceci étant dit, voici comment mon raisonnement c’est fait, lors d’un weekend de golf au Mont-Tremblant en 2013 qui par pur hasard était lors du Ironman. J’ai vu des gens exécuter le parcours avec une détermination contagieuse, j’ai aussi remarqué qu’il y avait toutes sortes de personnes sur le parcours, pas seulement la machine que l’on peut voir en page couverture d’un magazine. De là l’idée s’est mise a germer dans ma tête, est-ce le défi que je cherchais pour recommencer à m’entraîner plus sérieusement? Car pour être franc, à cette époque, le golf et la musculation étaient pas mal toute l’action que mon corps subissait, oui j’avais une bonne base en course à pied, mais coté vélo et nage hum….

La deuxième étape décisive pour moi a été de commencer à faire du triathlon en 2014. Ça tombait bien, je travaillais avec un ancien triathlète qui a bien voulu m’aider à prendre la bonne direction côté entrainement et équipement. En partant je savais que je voulais faire un Ironman, c’était mon objectif ultime et ce, même avant d’avoir souffert lors de mon premier triathlon sprint! Je m’étais fais un plan sur 4 ans, c’est simple, la première année je fais des sprints, l’année suivante olympique et ainsi de suite jusqu’au Ironman la quatrième année. Bon, je n’ai pas suivi mon plan à la lettre, car finalement j’ai réalisé mon objectif ultime lors de ma troisième année. À ma défense, j’avais fait beaucoup de volume lors de l’hiver qui a précédé ma troisième saison.

En conclusion, peu importe vos objectifs et aspirations, vous avez la chance de faire parti d’un club qui a une richesse inestimable en expériences! Alors à vous d’en profiter en questionnant les autres athlètes et entraîneurs. C’est en écoutant autant les bonnes que les mauvaises expériences, qu’on en apprend davantage. PS: Dave se fera probablement un plaisir de vous raconter mes pires

Sur ce, je vous souhaite une excellente saison à la hauteur de vos attentes!!

Jocelyn Paré

Athlète élite et entraîneur Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

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