Parce que t’es pas une chochotte

[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Bon, je sais… tu n’as pas beaucoup de temps. Je serai bref!
Dans quelques jours sera ton premier 70.3 de la saison… « Ça ira », te dit le coach.

C’est rare, voire impensable que TOUT se passe comme prévu! Alors, en quelques lignes, je vais tenter de te dire comment… ça pourrait aller!

  1. Le petit stress de la veille t’envahira juste avant le dodo. Même si tu te couches à 19h30, tu fermeras les yeux vers 23h.
  2. Après un déjeuner qui te lèvera le cœur (chu pas stressé!), tu visiteras la toilette à quelques reprises. Y’a du bon… tu approches de ton « race weight »!
  3. Ce n’est qu’une fois rendu à la transition que tu te rappelleras où est ton foutu body glide…
  4. Dernier post Facebook et Instagram! (Comme si tu allais mourir!)
  5. Départ. Tu nageras assurément trop vite et finalement, le parcours sera trop long… Un classique!
  6. Transition no 1, comme un chef… assez dur de merder ça!
  7. Ton vélo sera sans drafting. Si c’est le cas, tu as le mérite d’être dans le 15 % des « vrais ».
  8. Transition no 2, comme un chef qui est… un peu racké!
  9. La course à pied en contrôle… surtout quand tu croises un athlète de ton club!

Finalement… quand tu seras sur le parcours de course à pied, à chaque moment où tu penseras à ralentir, à chaque moment où tu penseras à marcher, rappelle-toi que tu croiseras un athlète Capitale Triathlon bientôt. Et que lui, ne marchera pas! Accroche-toi à la force du club et rappelle-toi qu’on fait tout ça pour se sentir vivant et avoir des histoires à raconter!
Bonne compétition!

Francis

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Des nouvelles du Triathlon Duchesnay

[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Des nouvelles du Triathlon Duchesnay

C’est avec beaucoup d’enthousiasme que toute l’équipe convie les triathlètes de la province ainsi que les amateurs de défis et de sports d’endurance à la 5présentation du Triathlon Duchesnay.

Devant la formidable occasion qui se présentait à nous, il nous fait plaisir de vous annoncer que le Triathlon Duchesnay change de date et se tiendra le 21 juillet 2018, dès la première fin de semaine des vacances de la construction. Plusieurs éléments motivent ce changement. Surtout, après l’édition de l’année dernière, nous cherchions un moment en juillet où le niveau de la rivière est généralement plus stable et les matins, définitivement plus chauds. Naturellement, nous voulions aussi une date qui s’éloignait de la seconde moitié du mois d’août et de quelques événements prisés par les triathlètes québécois et athlètes de la région de Québec, dont l’Ironman de Mont-Tremblant et les Championnats du monde ITU de Montréal.

Cela dit, les mêmes éléments forts de l’an dernier y seront! Vous avez été nombreux à nous mentionner vos coups de cœur pour le site en général, le bâtiment d’accueil, l’énorme zone de transition, le superbe parcours de course à pied et la prestigieuse zone d’arrivée.

Pour fêter sa 5année, le Triathlon Duchesnay est très heureux d’être l’hôte d’une Coupe Québec distance sprint. Soucieux de se démarquer par la qualité de l’expérience des athlètes, plusieurs cadeaux, dont le t-shirt unique 5e édition, seront remis aux athlètes.

Avant vos vacances, question de partir la tête tranquille et d’en profiter pleinement, relevez le défi du Triathlon Duchesnay le 21 juillet prochain!

D’ici là, gardez la forme et bon entraînement!

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

Mon sport, ma passion!

[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]J’ai toujours aimé me dépasser et me réaliser dans le sport. J’aime m’améliorer et me mesurer à d’autres.

Depuis quelques années, le sport, tout particulièrement le triathlon, prend plus de place dans ma vie. C’est devenu une passion.

L’année 2018 sera une belle année remplie de défis pour moi. J’ai d’inscrit à mon calendrier le marathon de Boston, le Ironman 70.3 Eagleman et le Ironman 140.6 du Wisconsin et quelques autres courses pour me garder alerte! Ceci demande beaucoup de temps, d’organisation, de discipline et de quelques sacrifices. Peu importe, je suis passionnée! Comment faire pour le rester? Voici 5 points que je considère importants:

1. Se fixer des objectifs inaccessibles

Quand je dis que je me fixe des objectifs inaccessibles, je veux dire que je me fixe des objectifs qui me seraient inaccessibles d’atteindre en restant Confortable. Je choisis ces objectifs en sachant que je pourrai les atteindre. mais que je devrai travailler pour les réaliser. Le travail, parfois hors de ça zone de confort, est inévitable pour atteindre ces objectifs, mais, bien entourer, tout est possible.

2. Bien s’entourer

Il faut bien s’entourer. Il faut s’entourer d’un coach qui nous connaît et qui nous permet de repousser nos limites tout en respectant la personne que l’on est et les obligations que l’on a (oui, il y a des obligations autres que le triathlon dans ma vie!). Il faut s’entourer de gens qui prennent soin de nous comme une nutritionniste, une massothérapeute, un physiothérapeute qui seront là pour nous aider à prévenir les bobos où nous aider à les guérir. Il faut aussi s’entourer d’amis qui partagent cette même passion, qui vivent les mêmes défis reliés à la poursuite d’un objectif et avec qui on peut rire et discuter à l’entraînement entre deux intervalles. Il faut aussi s’entourer de gens qui sont fiers de nous et qui nous encouragent les jours de doutes, car il y a des jours de doutes!

3. Prendre plaisir à l’entraînement

Il faut prendre plaisir à l’entraînement. La journée d’une course est l’aboutissement d’un nombre d’heures impressionnant d’entraînement. Il faut savoir les apprécier et s’amuser même si certaines fois, ça fait mal! Il faut être conscient que ces entraînements nous rendent meilleurs et y trouver satisfaction!

4. Accepter les hauts et les bas

Il faut accepter les hauts et les bas. Quand tout va bien, tant mieux, mais quand rien ne va plus ou que ça ne va pas comme on l’aurait espéré, il faut savoir l’accepter. Ce sont des choses qui arrivent. Il faut pouvoir rebondir et savoir tirer avantage de ces bas. Ils font aussi partie de l’entraînement. Dans une course, il y aura des hauts, mais il pourra y avoir des bas et il faudra le gérer.

5. Être reconnaissant

Être reconnaissant d’avoir la santé pour nous permettre de nous entrainer, d’avoir si peu de soucis afin de pouvoir s’investir autant dans notre passion. Être reconnaissant envers notre famille et nos amis. En effet, quand on se fixe un objectif, c’est aussi notre entourage proche qui doit s’adapter, faire des concessions. Notre objectif devient aussi leur objectif. Il faut leur en être reconnaissant, les remercier et faire, nous aussi, des concessions pour leur permettre de vivre, eux-aussi, leurs passions. Il faut parfois démontrer une certaine souplesse dans la rigidité de notre plan d’entraînement. Il faut surtout leur rappeler qu’eux aussi, ils la traverseront avec nous cette ligne d’arrivée!

Bon entraînement!

Valérie Lalancette,
Athlète Élite et entraîneur Capitale Triathlon

 

 

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

Sylvie Martin PCN La Capitale

[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]J’ai pensé profiter du changement d’année pour écrire un article afin de me présenter et que vous appreniez un peu qui je suis et d’où je viens, et également parler de la clinique pour laquelle je travaille et ce que je peux vous offrir à travers celle-ci, au niveau professionnel.

 

 

Sylvie Martin, c’est qui ça!?

Voilà! Je suis une Québécoise d’adoption, une Néo-Brunswickoise d’origine! Je suis venu étudier à l’Université Laval en 2003 en physiothérapie et je pratique en clinique privée depuis 2006. Le sport fait partie de ma vie depuis l’adolescence grâce à mon père, qui était un coureur et un athlète de tous les sports de raquette. J’ai d’ailleurs commencé ma vie de sportive en pratiquant le badminton, sport que je pratique d’ailleurs toujours. J’ai participé aux Jeux du Canada en 2003 sur l’équipe de badminton, et c’est grâce à cette expérience que je me suis mis à la course à pied. Depuis, je n’ai jamais arrêté. C’est d’ailleurs pour cette raison que je me suis joint à l’équipe de Blaise Dubois et de PCN La Capitale en 2011, afin d’intégrer ma passion à mon travail. Notre clinique se spécialise en course à pied, et au moins 50% de ma clientèle sont des coureurs. J’ai donc suivi des formations continues plus spécifiques à la course afin d’être mieux outillé pour servir mes patients.

 

PCN La Capitale

Évidemment, n’importe qui peut venir se faire traiter à notre clinique, pas besoin d’être un coureur. Par contre, nous avons développé une expertise dans le domaine qui nous permet d’offrir des services plus personnalisés à ceux-ci. Nous offrons donc des évaluations de course à pied, où vous vous faites filmer en courant sur tapis roulant, ce qui permet de voir votre patron de course, s’il y a des modifications majeures à apporter, et par la suite d’avoir des conseils et exercices en fonction de blessures ou douleur spécifique. Nous offrons aussi également des conseils concernant les différents types de chaussures et des programmes de reprise de course à pied suite aux blessures. Conjointement, une nutrionniste et une kinésiologue plus spécialisées en course à pied offrent leur service pour consultation à notre clinique.

 

PCN ‘at large’

Les cliniques PCN sont nombreuses dans la ville de Québec. Cela à l’avantage d’avoir des experts de différents domaines auxquels nous pouvons référer. Nous avons donc dans notre grande équipe des massothérapeutes, des ostéopathes, acupuncteurs, physiothérapeutes travaillant avec les aiguilles sèches, spécialistes en golf, physiothérapeutes en rééducation périnéale et bien d’autres pour améliorer nos services. De plus, nous travaillons en équipe avec des médecins du sport, auxquels nous pouvons référer nos cas complexes ou ceux qui ont besoin d’un rendez-vous en orthopédie.

Le triathlon

Le triathlon est un peu plus nouveau comme passion dans ma vie. Je cherche maintenant à aller chercher des compétences au niveau du vélo, de la natation, et de poursuivre celles en course. Francis est une personne que j’apprécie énormément et je me trouve privilégié qu’il m’ait intégrée à votre équipe, qui est vraiment inspirante.

J’espère donc que vous ne vous gênerez pas pour m’aborder par Facebook, courriel ou aux entraînements si vous avez des questions. Et surtout que vous viendrez me voir en clinique pour éviter que vos petits bobos deviennent des gros!

 

 

Sylvie Martin , Physiothérapeute PCN La Capitale
Pour consulter la biographie ou contacter Sylvie Martin, cliquez ICI![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

La perte de poids comme résolution?

[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]L’année 2018 commencer et déjà les objectifs pour la prochaine année de compétition vous tournent en tête. Si votre premier but est d’atteindre un poids de compétition plus optimal en ce début d’année, vous devriez lire les quelques conseils suivants!

1- Tout d’abord, il est vrai que le poids a une influence sur la performance. Toutefois, il est également normal que le poids varie au cours d’une année. Idéalement, votre poids en période de hors saison ne devrait pas dépasser 6 à 8% de plus que le poids de course que vous jugez idéal pour votre performance.

2- Si vous visez une perte de poids, celle-ci devrait idéalement être réalisée dans la période de préparation physique générale et non lors des entraînements très spécifiques ou durant votre saison de compétition. L’hiver et le début du printemps représentent donc une période idéale pour le triathlète qui désire optimiser sa composition corporelle.

3- Inutile de viser une perte de poids trop rapide! Une perte de 0,7% de votre poids corporel par semaine devrait être votre objectif. Une perte de poids plus rapide entraînera une perte de masse musculaire, et donc, une diminution de votre force et de votre puissance. Planifiez donc suffisamment de temps afin d’atteindre votre objectif.

4- Assurez-vous de consommer suffisamment de protéines et de fibres tout au long de la journée. Ces aliments vous apporteront un effet rassasiant plus important et faciliteront la mise en place d’un déficit énergétique.

5- Planifier également des apports énergétiques plus important en fonction de vos entraînements. Il est important de vous assurer de donner suffisamment de carburant à vos muscles lors des séances d’entraînements plus exigeantes. Inutile de chercher à optimiser votre poids si, en contrepartie, votre entraînement en souffre en retour!

Dans tous les cas, si vous avez des questions, n’hésitez pas à me consulter.
Je vous souhaite à tous une très bonne année 2018, à la hauteur de vos objectifs.

 

Isabelle Morin, nutritionniste du sport
nutrition.morin@gmail.com

Consulte la bio d’Isabelle par ICI[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_gallery nospace »][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

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