[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern » el_class= »box_content space_t0″][vc_column][vc_column_text]Ton demi ironman approche, en fait, pour la grande majorité des Québécois, il sera le 25 juin, à Tremblant. Que cette course face partie d’une préparation ou qu’elle soit ton objectif principal, elle mérite d’être bien préparée.
À ce stade de la saison, tu as (j’espère bien) un plan d’entraînement bien entamé et tu es depuis quelques jours, dans un volume spécifique. Outre ton entraînement, plusieurs facteurs tels la nutrition peuvent et vont grandement influencer ton expérience. Je dresserai dans cet article, une liste de 3 conseils afin que cette journée soit un succès!
#1 Une course, ça s’étudie!
Troc ton livre de chevet pour le guide de l’athlète. Prends le temps de bien étudier le parcours et ajuste ton équipement en conséquence. As-tu la bonne cassette sur ton vélo? Les stations d’eau se trouvent où sur les parcours? En validant ces 2 points, tu t’assures des montées « faciles » et évite de trainer une citerne d’eau sur ton vélo![/vc_column_text][vc_single_image image= »762″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]
#2 Train as You race!
À quelques semaines de la course, assure-toi que TOUT ce que tu fais en entraînement sera fait de la même façon le jour J. Ton linge doit être testés, tes souliers de course aussi. Ton vélo doit être en ordre et « ready to race ». Ton entraîneur placera surement quelques entraînements « test », profites-en pour les faires EXACTEMENT comme le jour de la compétition.
#3 S’entraîner à… manger!
Eh oui, tu l’as surement négligé et tu remets à demain ta lecture sur l’apport idéal en glucide et protéine. Un demi ironman demande une connaissance nutritionnelle et beaucoup d’essais à l’entraînement. Josiane Tanguay, Nutritionniste spécialiste en sport nous offre quelques chiffres à retenir.
« Un athlète doit viser environ 60 grammes de glucides à l’heure sur le vélo et selon la tolérance, descendre à un minimum 30 grammes à l’heure à la course à pied. La limite, c’est l’absorption intestinale, qui est d’environ 60g de glucides par heure (on peut venir chercher davantage, en combinant différents types de glucides) : Le glucose et maltodextrine utilise un même transporteur qui « sature » à 60g par heure, alors que le fructoseutilise un transporteur, qui lui, sature autour de 30g par heure. Le danger du fructose, il peut causer des inconforts (diarrhée). Pour les protéines, il faut s’assurer d’ingérer un 10 à 15 grammes par bloc de 2 heures. »
Bien que tous ces chiffres soient un excellent outil, la meilleure validation restera le test lors de vos entraînements.
Mes conseils vont vers la nutrition naturelle. Tu veux lire sur le sujet, j’ai testé en 2014 (avec le support de Josiane) un Ironman sans produit modifié. À lire par ici[/vc_column_text][vc_single_image image= »763″ img_size= »large » alignment= »center » onclick= »link_image » qode_css_animation= » »][vc_column_text]
Le finish…
Dans l’article précédent, je te parlais du processus… aujourd’hui, je te parle du résultat. Il est là, devant toi. À ce stade de la saison, ton chrono final est déjà décidé. Je dis souvent à mes athlètes « Ton temps est écrit dans ton dos, tu ne peux juste pas le voir! »
Les 3 facteurs traités dans cet article t’aideront assurément à franchir cette ligne d’arrivée la tête haute! Dans les prochains jours, évite d’essayer d’ajouter des entraînements improvisés et assure-toi de faire tes devoirs!
On se voit sur la ligne d’arrivée!
Francis Bachand
Fondateur et entraîneur Trois Temps Coaching et Capitale Triathlon[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]